Chute et Defiasco font du ski
Chute et Defiasco font du ski
Didier Chute et son pote Didier Defiasco ont quitté leur belle région des Bugnenets et de Morgins pour aller apprendre à skier.
Sur le chemin de Turin, il rencontre Bruno Kernen, le vrai, le Champion du Monde de descente en 1997.
Sur le chemin de Turin, il rencontre Bruno Kernen, le vrai, le Champion du Monde de descente en 1997.
Chute et Defiasco qui ne semblaient pas être au courant que d'autres skieurs venant de Suisse devait représenter le pays aux JO durent rapidement se rendre à l'évidence qu'il ne serait pas si facile pour eux de faire passer des salutations à leurs familles et à la marque ovolmatine via la télé depuis le village olympique.
Malgré ses efforts Chute ne réussi pas à prendre part à la descente, la faute à une grimace de trop dans le portillon de départ.
Un vent de face trop violent ralenti également Defiasco qui termina dans les profondeurs du classement de la descente, alors que Bruno retrouvait une médaille qu'il ramenait tel un bon toutou à son maître sami.
Malgré ses efforts Chute ne réussi pas à prendre part à la descente, la faute à une grimace de trop dans le portillon de départ.
Un vent de face trop violent ralenti également Defiasco qui termina dans les profondeurs du classement de la descente, alors que Bruno retrouvait une médaille qu'il ramenait tel un bon toutou à son maître sami.
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Quelques jours plus tard, Defiasco, Didier de son prénom faut-il le rappeler, obtient une nouvelle chance de prouver son énorme talent lors du combiné olympique.
Priant toute la nuit, invoquant tous les seigneurs de la météo, Defiasco s'élance lors de la descente avec un vent de 120km/h dans le dos...
Priant toute la nuit, invoquant tous les seigneurs de la météo, Defiasco s'élance lors de la descente avec un vent de 120km/h dans le dos...
Une fois encore, Defiasco connu le fiasco...total, la chute, non pas la femme de Chute qui était à Veysonnaz pour admirer le neuchatelois qui parle le dialecte se qualifier sur la piste des dames en vue du super géant.
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Donnée technique de la piste de Veysonnaz:
Altitude de départ: 1456m
Altitude d'arrivée: 1489m
Température de l'air: 30°C
Température de la neige: -4°C
Didier Chute, T-shirt et cheveux au vent, enfile ses skis. Non non, pas les siens mais les skis de Defiasco, les fameux skis des 24m de long qui lui avait permis de gagner le premier super-combiné de la saison avant d'être disqualifier pour un problème de taille de ski.
Malgré un bâton qui se coince dans le portillon de départ, Chute, parvient à se qualifier difficilement face à Tobias Grünenfelder. Une poussée extraordinaire qui lui a permis d'arriver au fond de la piste de l'ours (dans la buvette) en 12'42''.
Altitude de départ: 1456m
Altitude d'arrivée: 1489m
Température de l'air: 30°C
Température de la neige: -4°C
Didier Chute, T-shirt et cheveux au vent, enfile ses skis. Non non, pas les siens mais les skis de Defiasco, les fameux skis des 24m de long qui lui avait permis de gagner le premier super-combiné de la saison avant d'être disqualifier pour un problème de taille de ski.
Malgré un bâton qui se coince dans le portillon de départ, Chute, parvient à se qualifier difficilement face à Tobias Grünenfelder. Une poussée extraordinaire qui lui a permis d'arriver au fond de la piste de l'ours (dans la buvette) en 12'42''.
aujourd'hui, chute et defiasco ont pu prendre part au slalom géant...compte tenu de leurs excellents résultats en coupe du monde.
à cette occasion chute et defiasco ont pu apprendre de la bouche d un journaliste entre les deux manches que deux autres suisses avaient pris part à la descente et au super g, remportant chacun une médaille de bronze au passage.
c était sympa de voir l'étonnement sur le trou de menton ralentisseur de defiasco qui pensait très sincèrement être le seul suisse au JO....
à cette occasion chute et defiasco ont pu apprendre de la bouche d un journaliste entre les deux manches que deux autres suisses avaient pris part à la descente et au super g, remportant chacun une médaille de bronze au passage.
c était sympa de voir l'étonnement sur le trou de menton ralentisseur de defiasco qui pensait très sincèrement être le seul suisse au JO....
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- Monsieur Belette
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attends d avoir entendu parler des aventures post olympiques de chute et defiasco au japon...tous deux recallés aux paralympiques....où seuls les athlètes souffrant d un handicape physique peuvent concourir...mais pas les handicapés mentaux...Monsieur Belette a écrit :Tcheu j'ai l'ai con de me marrer au milieu de la bilbiothèque !!!
Excellent!
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Voilà pk aucune femme n'est présente :
le Slalom, c'est exclusivement réservé aux hommes.
Par contre, j'ai encore jamais entendu de slalafemme comme discipiline sportive
je suis -->> dehors
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La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
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Ski alpin: la disqualification de Défago devant le TAS
LAUSANNE - La première victoire des skieurs suisses en Coupe du monde depuis deux saisons pourrait tomber en plein été. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) se penche mercredi en dernière instance sur la disqualification de Didier Défago à Val d'Isère en décembre dernier. En raison d'une fixation trop élevée de 0,17 mm, le Valaisan s'était vu retirer son succès lors du supercombiné.
C'est la première fois qu'une fédération nationale attaque la Fédération internationale (FIS) devant le TAS pour une question d'équipement. A Lausanne, Swiss-Ski campera sur sa position: les différentes mesures entre la semelle des skis de Défago et le point le plus haut des fixations ont donné des valeurs différentes et ne peuvent donc pas être prises en compte.
Une argumentation balayée par la FIS qui avait voulu faire du cas Défago un exemple. L'affaire comporte également une question financière. Le skieur de Morgins tentera de récupérer les quelque 150'000 francs attribués au vainqueur du supercombiné de Val d'Isère.
(ats / 27 juin 2006 11:46)
LAUSANNE - La première victoire des skieurs suisses en Coupe du monde depuis deux saisons pourrait tomber en plein été. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) se penche mercredi en dernière instance sur la disqualification de Didier Défago à Val d'Isère en décembre dernier. En raison d'une fixation trop élevée de 0,17 mm, le Valaisan s'était vu retirer son succès lors du supercombiné.
C'est la première fois qu'une fédération nationale attaque la Fédération internationale (FIS) devant le TAS pour une question d'équipement. A Lausanne, Swiss-Ski campera sur sa position: les différentes mesures entre la semelle des skis de Défago et le point le plus haut des fixations ont donné des valeurs différentes et ne peuvent donc pas être prises en compte.
Une argumentation balayée par la FIS qui avait voulu faire du cas Défago un exemple. L'affaire comporte également une question financière. Le skieur de Morgins tentera de récupérer les quelque 150'000 francs attribués au vainqueur du supercombiné de Val d'Isère.
(ats / 27 juin 2006 11:46)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Ski alpin: le TAS confirme la disqualification de Didier Défago
LAUSANNE - Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a rejeté l'appel déposé par Swiss-Ski contre la décision du Tribunal de la Fédération Internationale de Ski (FIS) du 20 février 2006. Ainsi, la disqualification de Didier Défago lors de sa victoire au supercombiné de Val d'Isère est confirmée.
Le 11 décembre 2005, Didier Défago avait terminé à la première place du supercombiné de Val d'Isère, épreuve comptant pour la Coupe du Monde. Peu après la course, le matériel utilisé par Didier Défago a été inspecté par les experts de la FIS. Ceux-ci ont constaté que l'écart entre la semelle du ski et la semelle de la chaussure se situait entre 55,03 et 55,38 millimètres, à savoir au-dessus de la limite autorisée de 55 millimètres.
En dépit des protestations des représentants de Swiss-ski, qui avaient mesuré eux-même un écart oscillant entre 54,89 et 54,97 millimètres, les experts de la FIS ont estimé que le Valaisan n'avait pas respecté le règlement technique et l'ont disqualifié de l'épreuve du supercombiné. Swiss-Ski a déposé un appel auprès du TAS le 16 mars 2006 pour demander l'annulation de la décision du Tribunal de la FIS.
Cette affaire a été soumise à une Formation composée de Me John Faylor, Etats-Unis (Président), Me Patrick Lafranchi, Suisse et Me Dirk-Reiner Martens, Allemagne (co-arbitres). Les parties et leurs représentants ont été entendu par la Formation lors d'une audience qui s'est tenue à Lausanne le 28 juin 2006. Dans leur décision, les arbitres du TAS ont constaté que l'examen technique du matériel de Didier Défago s'était déroulé conformément aux règles de la FIS. A cet effet, ils ont relevé que le contrôle avait été effectué par des experts officiellement nommés par la FIS au moyen d'un instrument de mesure homologué par la FIS.
Ainsi, les mesures effectuées par des tiers sur les skis de lathlète ne pouvaient pas être prises en considération. Les arbitres ont considéré qu'il n'appartenait pas au TAS de procéder lui-même à un contrôle technique de cette nature en lieu et place des experts de la FIS, sauf si des éléments concrets laissaient apparaître que ceux-ci avaient agi de manière arbitraire ou de mauvaise foi, ce qui n'était manifestement pas le cas en l'espèce.
(ats / 29 août 2006 15:28)
LAUSANNE - Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a rejeté l'appel déposé par Swiss-Ski contre la décision du Tribunal de la Fédération Internationale de Ski (FIS) du 20 février 2006. Ainsi, la disqualification de Didier Défago lors de sa victoire au supercombiné de Val d'Isère est confirmée.
Le 11 décembre 2005, Didier Défago avait terminé à la première place du supercombiné de Val d'Isère, épreuve comptant pour la Coupe du Monde. Peu après la course, le matériel utilisé par Didier Défago a été inspecté par les experts de la FIS. Ceux-ci ont constaté que l'écart entre la semelle du ski et la semelle de la chaussure se situait entre 55,03 et 55,38 millimètres, à savoir au-dessus de la limite autorisée de 55 millimètres.
En dépit des protestations des représentants de Swiss-ski, qui avaient mesuré eux-même un écart oscillant entre 54,89 et 54,97 millimètres, les experts de la FIS ont estimé que le Valaisan n'avait pas respecté le règlement technique et l'ont disqualifié de l'épreuve du supercombiné. Swiss-Ski a déposé un appel auprès du TAS le 16 mars 2006 pour demander l'annulation de la décision du Tribunal de la FIS.
Cette affaire a été soumise à une Formation composée de Me John Faylor, Etats-Unis (Président), Me Patrick Lafranchi, Suisse et Me Dirk-Reiner Martens, Allemagne (co-arbitres). Les parties et leurs représentants ont été entendu par la Formation lors d'une audience qui s'est tenue à Lausanne le 28 juin 2006. Dans leur décision, les arbitres du TAS ont constaté que l'examen technique du matériel de Didier Défago s'était déroulé conformément aux règles de la FIS. A cet effet, ils ont relevé que le contrôle avait été effectué par des experts officiellement nommés par la FIS au moyen d'un instrument de mesure homologué par la FIS.
Ainsi, les mesures effectuées par des tiers sur les skis de lathlète ne pouvaient pas être prises en considération. Les arbitres ont considéré qu'il n'appartenait pas au TAS de procéder lui-même à un contrôle technique de cette nature en lieu et place des experts de la FIS, sauf si des éléments concrets laissaient apparaître que ceux-ci avaient agi de manière arbitraire ou de mauvaise foi, ce qui n'était manifestement pas le cas en l'espèce.
(ats / 29 août 2006 15:28)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
aurait-on changé l'équipe des préparateurs de skis? (qui ont un rôle tellement important à jouer... si grand que les skis (notemment le fart) ont davantage d'importance que le skieur pour des résultats optimaux)
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
avec le dossard 60 sur le dosJojo a écrit :Pendant ce temps, la Suisse renoue avec le succès grace a Berthod
De la 26eme a la 1ere place en 2eme manche
2ème record de tous les temps (après ... ? me souviens plus avec le dossard 64 ? ...)
peut-être bien Benjamin Raich ... ?
magnifique l'attente et le soutien dans l'aire d'arrivée ...
magnifique l'attitude et la tronche de Marc Berthod avec son air simple, incrédule et souriant ...
je recommence à aimer le ski
« Un jour les Valaisans domineront le monde. Mais pas demain, y'a apéro »
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c'était un ou une Kostelic avec le dossard 64 il me semble!
ca fait plaisir, on a du succès, il manque plus que les maillots gruyère et c'est parfait
ca fait plaisir, on a du succès, il manque plus que les maillots gruyère et c'est parfait
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
CONSTANTIN DEMISSION
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
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