[Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
je lui ai mis quatre-cinq claques et un coup de pied aux fesses. Je ne dis pas qu’il faut baffer des types, je dis juste que c’est la solution que j’ai trouvée à ce moment. C’était une réaction un peu trop «valaisanne» [C. Constantin]
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Tiré du Nouvelliste :
Au moment de reprendre du service, le FC Sion a besoin de temps pour devenir une équipe.
Eternel recommencement ou année de la raison: la situation du FC Sion au moment de reprendre du service fait indubitablement écho au passé récent. Le recrutement effectué par le président-directeur sportif Christian Constantin est alléchant, certes. Mais l'effectif a besoin de temps pour devenir une équipe.
Même le FC Bâle, fort de ses millions, avait eu besoin de plusieurs années pour enfin décrocher, en 2001/02, le premier titre de son règne actuel. La seule question qui se pose alors est celle de la patience. Qualité ne faisant pas partie de la large panoplie de Christian Constantin.
Le président avait annoncé avec fracas que son FC Sion miserait dorénavant sur les jeunes. Promesse qu'à moitié tenue puisque le onze de base qui se dessine dans la tête de l'entraîneur Michel Decastel fait plutôt la part belle aux joueurs expérimentés recrutés cet été (Rüfli, Ferati, Modou, Yartey, Christofi, Herea). Les jeunes loups valaisans sont en nombre dans l'effectif, c'est un fait. Mais ils ne partent pas titulaires pour autant.
Le coach affirme pourtant sa fidélité à une ligne de conduite claire: les meilleurs joueront, un point c'est tout! Aux gamins tels Léo Lacroix, Benjamin Kolloli, Matteo Fedele, Birama Ndoye, Gaëtan Karlen ou Freddy Mveng de saisir leur chance. Ce dernier a laissé une très belle impression lors de la préparation et se profile, malgré ses 21 ans, comme le choix no 1 au poste de milieu récupérateur. Un poste qui réclame de l'expérience et qui, étrangement, est le seul secteur ne pouvant s'appuyer sur aucun joueur chevronné. Pour l'instant...
Il l'a assuré, et les employés du club l'ont confirmé, Christian Constantin est décidé à laisser à cette équipe le temps de grandir, de créer des automatismes, d'être compétitive. Les ambitions seront donc pour une fois un peu plus modestes du côté de Tourbillon. Pas question d'évoquer de course à l'Europe, encore moins de lutte pour le titre. En tout cas en début d'exercice, alors que personne ne sait réellement quel est le niveau de ce Sion remodelé.
Mais le boss n'octroiera pas non plus de blanc-seing à ses joueurs ou à son coach. Ayant repris la main sur un groupe qu'il avait aveuglément confié à Gennaro Gattuso la saison dernière, Constantin a assigné une mission bien définie à Michel Decastel: doter la première équipe de la même animation offensive que les M21 du club que le Neuchâtelois dirigeait alors avec succès.
Si le FC Sion déçoit par son jeu, si le président ne perçoit aucune amélioration, aucune progression au fil des semaines, Decastel sera tout naturellement dans son viseur. L'entraîneur ne manque pas de travail, comme l'a laissé entrevoir la campagne des matches amicaux.
Battu par Lausanne-Sport (1-0) et Wolfsburg (4-0), tenu en échec par Servette (0-0), Sion n'a marqué que lors de sa victoire 6-1 face à Locarno (Challenge League) - avec trois penalties! - et mardi soir contre l'OM (1-1) en toute fin de partie. Il faut dire que son nouveau stratège roumain Ovidiu Herea et son avant-centre Yannick Ndjeng sont très en retard dans leur préparation.
Source: SI
Au moment de reprendre du service, le FC Sion a besoin de temps pour devenir une équipe.
Eternel recommencement ou année de la raison: la situation du FC Sion au moment de reprendre du service fait indubitablement écho au passé récent. Le recrutement effectué par le président-directeur sportif Christian Constantin est alléchant, certes. Mais l'effectif a besoin de temps pour devenir une équipe.
Même le FC Bâle, fort de ses millions, avait eu besoin de plusieurs années pour enfin décrocher, en 2001/02, le premier titre de son règne actuel. La seule question qui se pose alors est celle de la patience. Qualité ne faisant pas partie de la large panoplie de Christian Constantin.
Le président avait annoncé avec fracas que son FC Sion miserait dorénavant sur les jeunes. Promesse qu'à moitié tenue puisque le onze de base qui se dessine dans la tête de l'entraîneur Michel Decastel fait plutôt la part belle aux joueurs expérimentés recrutés cet été (Rüfli, Ferati, Modou, Yartey, Christofi, Herea). Les jeunes loups valaisans sont en nombre dans l'effectif, c'est un fait. Mais ils ne partent pas titulaires pour autant.
Le coach affirme pourtant sa fidélité à une ligne de conduite claire: les meilleurs joueront, un point c'est tout! Aux gamins tels Léo Lacroix, Benjamin Kolloli, Matteo Fedele, Birama Ndoye, Gaëtan Karlen ou Freddy Mveng de saisir leur chance. Ce dernier a laissé une très belle impression lors de la préparation et se profile, malgré ses 21 ans, comme le choix no 1 au poste de milieu récupérateur. Un poste qui réclame de l'expérience et qui, étrangement, est le seul secteur ne pouvant s'appuyer sur aucun joueur chevronné. Pour l'instant...
Il l'a assuré, et les employés du club l'ont confirmé, Christian Constantin est décidé à laisser à cette équipe le temps de grandir, de créer des automatismes, d'être compétitive. Les ambitions seront donc pour une fois un peu plus modestes du côté de Tourbillon. Pas question d'évoquer de course à l'Europe, encore moins de lutte pour le titre. En tout cas en début d'exercice, alors que personne ne sait réellement quel est le niveau de ce Sion remodelé.
Mais le boss n'octroiera pas non plus de blanc-seing à ses joueurs ou à son coach. Ayant repris la main sur un groupe qu'il avait aveuglément confié à Gennaro Gattuso la saison dernière, Constantin a assigné une mission bien définie à Michel Decastel: doter la première équipe de la même animation offensive que les M21 du club que le Neuchâtelois dirigeait alors avec succès.
Si le FC Sion déçoit par son jeu, si le président ne perçoit aucune amélioration, aucune progression au fil des semaines, Decastel sera tout naturellement dans son viseur. L'entraîneur ne manque pas de travail, comme l'a laissé entrevoir la campagne des matches amicaux.
Battu par Lausanne-Sport (1-0) et Wolfsburg (4-0), tenu en échec par Servette (0-0), Sion n'a marqué que lors de sa victoire 6-1 face à Locarno (Challenge League) - avec trois penalties! - et mardi soir contre l'OM (1-1) en toute fin de partie. Il faut dire que son nouveau stratège roumain Ovidiu Herea et son avant-centre Yannick Ndjeng sont très en retard dans leur préparation.
Source: SI
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Mardi soir à Tourbillon, les connaisseurs ont peut-être reconnu dans les tribunes Emmanuel Desplats, directeur général de Sochaux, et Bernard Maraval, directeur sportif du même club. Simple intérêt pour la rencontre de Valais-Cup Sion - Marseille? Pas seulement.
Renseignements pris, il apparaît que le FC Sion est sur le point d'engager le Camerounais Yaya Banana, arrivé à Sochaux de l'Espérance Tunis en janvier 2012, pour un peu plus de 1,8 million de francs. A bientôt 22 ans (il les fêtera le 19 juillet prochain), celui qui compte 14 sélections avec le Cameroun M21 est doté d'un gabarit impressionnant: 192 cm pour 85 kg. Solide arrière central, il peut aussi évoluer en numéro 6. En une saison et demie, il a porté le maillot sochalien à 24 reprises.
Les deux parties sont sur le point - voire en train - de finaliser le transfert, qui s'effectuera sur la base d'un prêt avec option d'achat. Yaya Banana retrouvera à Sion quelques têtes connues: Ishmael Yartey, qu'il a côtoyé à Sochaux, mais aussi Yannick Ndjeng, avec qui il a joué à l'Espérance Tunis, sous les ordres (notamment) d'un certain... Michel Decastel.
Malonga trop gourmand
Par contre, la piste Chris Malonga semble avoir du plomb dans l'aile, tant pour le FC Sion que pour le FC Lausanne-Sport. Le joueur aurait des prétentions salariales trop élevées (plus d'un demi-million d'euros par année).
«On sait que l'AS Monaco essaye de trouver une solution pour Chris, mais à mon avis, il doit avoir d'autres envies que les propositions qui lui sont faites à ce jour, commente le président lausannois Alain Joseph. S'il devait s'annoncer à nous, notre job devra être de nous lever et de tout faire pour concrétiser son retour, mais j'ai peu d'espoir.»
Et Alain Joseph d'ajouter: «Mon interprétation, c'est que Malonga cherche un autre championnat que la Super League suisse. Vu de loin, j'imagine que si cela avait dû se faire avec Sion, l'affaire aurait déjà été conclue depuis longtemps.»
Mais, effectivement, cela traîne...
(Le Matin)
Renseignements pris, il apparaît que le FC Sion est sur le point d'engager le Camerounais Yaya Banana, arrivé à Sochaux de l'Espérance Tunis en janvier 2012, pour un peu plus de 1,8 million de francs. A bientôt 22 ans (il les fêtera le 19 juillet prochain), celui qui compte 14 sélections avec le Cameroun M21 est doté d'un gabarit impressionnant: 192 cm pour 85 kg. Solide arrière central, il peut aussi évoluer en numéro 6. En une saison et demie, il a porté le maillot sochalien à 24 reprises.
Les deux parties sont sur le point - voire en train - de finaliser le transfert, qui s'effectuera sur la base d'un prêt avec option d'achat. Yaya Banana retrouvera à Sion quelques têtes connues: Ishmael Yartey, qu'il a côtoyé à Sochaux, mais aussi Yannick Ndjeng, avec qui il a joué à l'Espérance Tunis, sous les ordres (notamment) d'un certain... Michel Decastel.
Malonga trop gourmand
Par contre, la piste Chris Malonga semble avoir du plomb dans l'aile, tant pour le FC Sion que pour le FC Lausanne-Sport. Le joueur aurait des prétentions salariales trop élevées (plus d'un demi-million d'euros par année).
«On sait que l'AS Monaco essaye de trouver une solution pour Chris, mais à mon avis, il doit avoir d'autres envies que les propositions qui lui sont faites à ce jour, commente le président lausannois Alain Joseph. S'il devait s'annoncer à nous, notre job devra être de nous lever et de tout faire pour concrétiser son retour, mais j'ai peu d'espoir.»
Et Alain Joseph d'ajouter: «Mon interprétation, c'est que Malonga cherche un autre championnat que la Super League suisse. Vu de loin, j'imagine que si cela avait dû se faire avec Sion, l'affaire aurait déjà été conclue depuis longtemps.»
Mais, effectivement, cela traîne...
(Le Matin)
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
http://www.lenouvelliste.ch/fr/nosdossi ... 34-1201092
Yaya Banana arrive, Margairaz sur le retour
FOOTBALL
Xavier Margairaz: c'était donc un faux départ...
FC Sion.
A trois jours de la reprise du championnat, le président Christian Constantin s'active à régler les derniers dossiers ouverts du FC Sion.
"Ma priorité actuelle est l'engagement d'un élément capable d'évoluer en défense centrale ou devant elle. Un grand gabarit, un joueur athlétique qui possède de l'impact dans les duels" résume-t-il. Le profil décrit parfaitement Yaya Banana, un défenseur camerounais de 22 ans sous contrat avec Sochaux. La transaction devrait se conclure rapidement par le prêt à l'équipe valaisanne d'un joueur qui a affronté l'équipe de Michel Decastel en finale de la Ligue des champions africaine.
Les dernières heures qui précèdent le coup d'envoi officiel de la saison pourraient aussi reconduire Xavier Margairaz à Tourbillon. "Son conseiller nous a contactés" , explique Constan-tin. "Xavier pensait que les pelouses seraient plus vertes ailleurs, il avait oublié les produits chimiques qui peuvent s'y cacher. Je lui ai demandé de signer une lettre de motivation." Le contrat du Vaudois avec le club valaisan court jusqu'en juin 2015 .
Mrdja, Darragi et Yoda sur le départ
Dragan Mrdja et Oussama Darragi emprunteront certainement la voie inverse. L'attaquant serbe souhaite quitter le Valais. Il bénéficie d'une offre du Mexique. Quant à l'international tunisien "la piste la plus chaude se dessine sous la forme d'un retour à l'Espérance de Tunis" confie Constantin. Les deux hommes ne figuraient pas dans le cadre des joueurs convoqués pour affronter Marseille mardi, ni dans celui qui a évolué contre Le Mont hier (voir plan fixe ci-dessous).
Karim Yoda a précédé ces départs potentiels. Arrivé en 2009, l'attaquant français de 24 ans a résilié son contrat d'un commun accord avec la direction du club .
Par STEPHANE FOURNIER
Yaya Banana arrive, Margairaz sur le retour
FOOTBALL
Xavier Margairaz: c'était donc un faux départ...
FC Sion.
A trois jours de la reprise du championnat, le président Christian Constantin s'active à régler les derniers dossiers ouverts du FC Sion.
"Ma priorité actuelle est l'engagement d'un élément capable d'évoluer en défense centrale ou devant elle. Un grand gabarit, un joueur athlétique qui possède de l'impact dans les duels" résume-t-il. Le profil décrit parfaitement Yaya Banana, un défenseur camerounais de 22 ans sous contrat avec Sochaux. La transaction devrait se conclure rapidement par le prêt à l'équipe valaisanne d'un joueur qui a affronté l'équipe de Michel Decastel en finale de la Ligue des champions africaine.
Les dernières heures qui précèdent le coup d'envoi officiel de la saison pourraient aussi reconduire Xavier Margairaz à Tourbillon. "Son conseiller nous a contactés" , explique Constan-tin. "Xavier pensait que les pelouses seraient plus vertes ailleurs, il avait oublié les produits chimiques qui peuvent s'y cacher. Je lui ai demandé de signer une lettre de motivation." Le contrat du Vaudois avec le club valaisan court jusqu'en juin 2015 .
Mrdja, Darragi et Yoda sur le départ
Dragan Mrdja et Oussama Darragi emprunteront certainement la voie inverse. L'attaquant serbe souhaite quitter le Valais. Il bénéficie d'une offre du Mexique. Quant à l'international tunisien "la piste la plus chaude se dessine sous la forme d'un retour à l'Espérance de Tunis" confie Constantin. Les deux hommes ne figuraient pas dans le cadre des joueurs convoqués pour affronter Marseille mardi, ni dans celui qui a évolué contre Le Mont hier (voir plan fixe ci-dessous).
Karim Yoda a précédé ces départs potentiels. Arrivé en 2009, l'attaquant français de 24 ans a résilié son contrat d'un commun accord avec la direction du club .
Par STEPHANE FOURNIER
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
A 21 ans, Freddy Mveng entend franchir un palier
par Marc Fragnière, Sion - Le Vaudois est arrivé à Tourbillon sans faire de bruit, au début du mercato. Prêté la saison dernière par YB à Wohlen, le demi veut se relancer en Valais
Le jeune milieu défensif a déjà passablement roulé sa bosse sur les terrains helvétiques. Arrivé en Suisse à l’âge de 5 ans en provenance du Cameroun, il a suivi la filière de formation du LS avant de changer de lac et de déposer son baluchon à Neuchâtel. C’est là qu’il a fourbi ses premières armes en Super League.
Avec Xamax, il s’était petit à petit fait une place au soleil. L’arrivée du burlesque Bulat Chagaev à la Maladière avait coupé cette trajectoire montante. Freddy Mveng avait été bradé à Young Boys. Dans la capitale, on ne lui a jamais vraiment donné sa chance, si bien qu’il a été prêté, en début du dernier exercice, à Wohlen. Le temps de s’y refaire une santé et d’attiser la convoitise du FC Sion. «Au début je n’étais pas enchanté par cette idée de prêt à Wohlen. Mais je dois reconnaître que pour un jeune joueur, c’est une catégorie de jeu idéale pour se relancer», a analysé le double national helvético-camerounais.
Solides, ses prestations lui ont valu l’intérêt d’un FC Sion où l’heure est désormais à la reconstruction par le biais d’une cure de jouvence: «Les deux clubs (ndlr: YB et Sion) se sont très vite mis d’accord, si bien que je suis arrivé en Valais pour la reprise.»
Très en vue lors des matches de préparation, le milieu récupérateur sait très bien que le vent peut vite tourner: «Ce ne sont que des parties amicales. Mon but est de faire ma place et de la garder en championnat, prévient le Vaudois, qui se plaît dans le vestiaire sédunois: L’ambiance est extraordinaire. Cela n’a rien à voir avec ce qu’on entend ici et là. Avant d’arriver, je nourrissais quelques craintes. Mais il n’en est rien. Il n’y pas d’ego, pas de clans. Nous sommes beaucoup de jeunes joueurs. Et nous nous entendons bien. Le dialogue avec les anciens est très positif également.»
20min
par Marc Fragnière, Sion - Le Vaudois est arrivé à Tourbillon sans faire de bruit, au début du mercato. Prêté la saison dernière par YB à Wohlen, le demi veut se relancer en Valais
Le jeune milieu défensif a déjà passablement roulé sa bosse sur les terrains helvétiques. Arrivé en Suisse à l’âge de 5 ans en provenance du Cameroun, il a suivi la filière de formation du LS avant de changer de lac et de déposer son baluchon à Neuchâtel. C’est là qu’il a fourbi ses premières armes en Super League.
Avec Xamax, il s’était petit à petit fait une place au soleil. L’arrivée du burlesque Bulat Chagaev à la Maladière avait coupé cette trajectoire montante. Freddy Mveng avait été bradé à Young Boys. Dans la capitale, on ne lui a jamais vraiment donné sa chance, si bien qu’il a été prêté, en début du dernier exercice, à Wohlen. Le temps de s’y refaire une santé et d’attiser la convoitise du FC Sion. «Au début je n’étais pas enchanté par cette idée de prêt à Wohlen. Mais je dois reconnaître que pour un jeune joueur, c’est une catégorie de jeu idéale pour se relancer», a analysé le double national helvético-camerounais.
Solides, ses prestations lui ont valu l’intérêt d’un FC Sion où l’heure est désormais à la reconstruction par le biais d’une cure de jouvence: «Les deux clubs (ndlr: YB et Sion) se sont très vite mis d’accord, si bien que je suis arrivé en Valais pour la reprise.»
Très en vue lors des matches de préparation, le milieu récupérateur sait très bien que le vent peut vite tourner: «Ce ne sont que des parties amicales. Mon but est de faire ma place et de la garder en championnat, prévient le Vaudois, qui se plaît dans le vestiaire sédunois: L’ambiance est extraordinaire. Cela n’a rien à voir avec ce qu’on entend ici et là. Avant d’arriver, je nourrissais quelques craintes. Mais il n’en est rien. Il n’y pas d’ego, pas de clans. Nous sommes beaucoup de jeunes joueurs. Et nous nous entendons bien. Le dialogue avec les anciens est très positif également.»
20min
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
FC Sion: Xavier Kouassi en renfort
Kouassi s'est entraîné avec le FC Sion ce lundi.
Crédit: Le Nouvelliste
Xavier Kouassi rejoint le FC Sion. En provenance de Servette, l'Ivoirien a effectué son premier entraînement en Valais.
Christian Constantin poursuit son mercato. Le président du FC Sion a recruté le l'Ivoirien Xavier Kouassi. Le joueur a effectué son premier entraînement avec l'équipe valaisanne ce lundi.
Le jeune milieu de terrain de 23 ans évoluait la saison dernière sous le maillot du FC Servette. Il défendait les couleurs genevoises depuis 2009. Avec l’équipe "grenat", il a participé à nonante-deux rencontres, inscrit deux buts et réalisé huit passes décisives.
Kouassi s'est engagé pour les trois prochaines saisons avec le club valaisan.
Deux départs confirmés
L'annonce de l'arrivée de Kouassi tombe le même jour que la confirmation des départs de Darragi et de Mrdja.
Comme pressenti, le milieu de terrain tunisien Ousama Darragi quitte le Valais. Le joueur, qui avait rejoint le club en juin 2012, a été transféré dans son club d’origine, l'Espérance de Tunis. L’entraîneur Michel Decastel a enregistré récemment les arrivées de Yartey et d'Herea qui peuvent évoluer au poste occupé par Darragi.
Quant à l’attaquant Dragan Mrdja, il a résilié aujourd’hui son contrat avec l’accord des dirigeants valaisans. L’international serbe était arrivé au FC Sion en août 2010.
Par A. C. / S. F.
Kouassi s'est entraîné avec le FC Sion ce lundi.
Crédit: Le Nouvelliste
Xavier Kouassi rejoint le FC Sion. En provenance de Servette, l'Ivoirien a effectué son premier entraînement en Valais.
Christian Constantin poursuit son mercato. Le président du FC Sion a recruté le l'Ivoirien Xavier Kouassi. Le joueur a effectué son premier entraînement avec l'équipe valaisanne ce lundi.
Le jeune milieu de terrain de 23 ans évoluait la saison dernière sous le maillot du FC Servette. Il défendait les couleurs genevoises depuis 2009. Avec l’équipe "grenat", il a participé à nonante-deux rencontres, inscrit deux buts et réalisé huit passes décisives.
Kouassi s'est engagé pour les trois prochaines saisons avec le club valaisan.
Deux départs confirmés
L'annonce de l'arrivée de Kouassi tombe le même jour que la confirmation des départs de Darragi et de Mrdja.
Comme pressenti, le milieu de terrain tunisien Ousama Darragi quitte le Valais. Le joueur, qui avait rejoint le club en juin 2012, a été transféré dans son club d’origine, l'Espérance de Tunis. L’entraîneur Michel Decastel a enregistré récemment les arrivées de Yartey et d'Herea qui peuvent évoluer au poste occupé par Darragi.
Quant à l’attaquant Dragan Mrdja, il a résilié aujourd’hui son contrat avec l’accord des dirigeants valaisans. L’international serbe était arrivé au FC Sion en août 2010.
Par A. C. / S. F.
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
(Le Nouvelliste) 19.07.2013, 07:00 - Sion
Actualisé le 19.07.13, 07:08
Reprise du championnat de foot: grogne des riverains de Vissigen
La reprise du championnat de SFL dimanche à Tourbillon ne fait pas que des heureux. Riverains et commerçants de Vissigen en ont marre que le quartier soit paralysé lors du passage des supporters visiteurs.
Douze corners rouges, six corners jaunes. Le FC Sion a-t-il décidé d’évoluer dorénavant sur un terrain en forme d’octadécagone? Pas du tout... En langage policier, l’opération «corner» désigne le dispositif mis en place à l’occasion des rencontres à Tourbillon. La couleur qui suit annonce les risques liés au match et donc les moyens à mobiliser. Sur les 18 parties qui se joueront à Tourbillon jusqu’à la pause de Noël, 12 devraient être classées à très haut risques et six à risques, comme l'an dernier. «L’engagement corner rouge correspond à près de 150 agents contre 80 pour corner jaune», précise Jean-Marie Bornet, chef de l’information de la police cantonale. Il ajoute: «Il y a quelques années, on utilisait la dénomination corner bleu pour les matches sans risques particuliers mais malheureusement, plus aucune rencontre ne répond à ces critères.»
Jean-Marie Bornet n’est pas le seul à regretter l’évolution des choses. A Vissigen, beaucoup dénoncent le fait que tout le quartier «est pris en otage» lorsque les supporters visiteurs se rendent en cortège au stade depuis la gare. «Tout est bouclé. Il faut faire des détours pour pouvoir accéder chez soi. Cela arrive bientôt chaque deux semaines. Il y a même un arrêt de bus qui n’est plus desservi durant les matches», déplore une habitante de la rue de Vissigen.
Découvrez d'autres témoignages des riverains ainsi que des commerçants du quartier et l'analyse de Jean-Marie Bornet, chef de l'information de la police cantonale, dans notre édition du vendredi 19 juillet.
Par David VAQUIN
Actualisé le 19.07.13, 07:08
Reprise du championnat de foot: grogne des riverains de Vissigen
La reprise du championnat de SFL dimanche à Tourbillon ne fait pas que des heureux. Riverains et commerçants de Vissigen en ont marre que le quartier soit paralysé lors du passage des supporters visiteurs.
Douze corners rouges, six corners jaunes. Le FC Sion a-t-il décidé d’évoluer dorénavant sur un terrain en forme d’octadécagone? Pas du tout... En langage policier, l’opération «corner» désigne le dispositif mis en place à l’occasion des rencontres à Tourbillon. La couleur qui suit annonce les risques liés au match et donc les moyens à mobiliser. Sur les 18 parties qui se joueront à Tourbillon jusqu’à la pause de Noël, 12 devraient être classées à très haut risques et six à risques, comme l'an dernier. «L’engagement corner rouge correspond à près de 150 agents contre 80 pour corner jaune», précise Jean-Marie Bornet, chef de l’information de la police cantonale. Il ajoute: «Il y a quelques années, on utilisait la dénomination corner bleu pour les matches sans risques particuliers mais malheureusement, plus aucune rencontre ne répond à ces critères.»
Jean-Marie Bornet n’est pas le seul à regretter l’évolution des choses. A Vissigen, beaucoup dénoncent le fait que tout le quartier «est pris en otage» lorsque les supporters visiteurs se rendent en cortège au stade depuis la gare. «Tout est bouclé. Il faut faire des détours pour pouvoir accéder chez soi. Cela arrive bientôt chaque deux semaines. Il y a même un arrêt de bus qui n’est plus desservi durant les matches», déplore une habitante de la rue de Vissigen.
Découvrez d'autres témoignages des riverains ainsi que des commerçants du quartier et l'analyse de Jean-Marie Bornet, chef de l'information de la police cantonale, dans notre édition du vendredi 19 juillet.
Par David VAQUIN
- Trilu
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Un grand connaisseur parle du FC Sion !!! j'ai même pas écouté, mais peut-être que ça peut intéresser quelqu'un.
http://www.bluewin.ch/fr/index.php/95,2 ... _id=157922
http://www.bluewin.ch/fr/index.php/95,2 ... _id=157922
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux » The English Games
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
«On a l’habitude avec les arbitres suisses allemands»
Michel Decastel avait hier du mal à digérer l’égalisation refusée à Leo pour une faute de Lacroix sur Besle. Son FC Sion, qui s’est incliné contre Saint-Gall (0-1), n’a toujours pas marqué.
Interview: Mathieu Aeschmann.
Michel Decastel, le FC Sion n’a pris qu’un point lors de ses deux premiers matches à Tourbillon, c’est forcément insuffisant?
C’est plus qu’insuffisant, c’est catastrophique. Je suis très déçu de ce résultat contre Saint-Gall. Nous sommes vraiment mal entrés dans le match, en manquant totalement d’agressivité. Et puis, on n’a pas su profiter des quelques occasions qui auraient pu nous permettre d’égaliser. Après je trouve juste inadmissible de se voir refuser l’égalisation de Leo.
Justement, quelle est votre lecture de cette action litigieuse?
Il y a un contact, je le reconnais. Lacroix passe devant son défenseur et lui marche sur le pied. Mais c’est dans le mouvement. Que voulez-vous? Nous les Romands, on commence à avoir l’habitude avec les arbitres suisses allemands. Samedi soir, c’était Lausanne. Aujourd’hui, c’est à notre tour d’être lésé. Je le répète, je trouve inadmissible de refuser un but pareil.
Au-delà de cette action litigieuse, votre équipe a semblé souvent très empruntée. Vous avez une explication?
Toute la semaine, le groupe travaille bien, montre de belles choses. Avant le match, on décide d’aller les presser haut d’entrée. Et puis l’équipe passe au travers de ses vingt premières minutes. C’est vite vu, on était absent. Il n’y avait aucune agressivité, personne n’allait sur les deuxièmes ballons. D’une façon plus générale, mes gars réagissent au lieu d’agir ce que je ne m’explique pas.
Etes-vous inquiet?
Un peu, évidemment puisque nous n’avons pas encore marqué. Après je serais très inquiet si nous n’avions pas été capables de nous créer des occasions, ce qui n’est pas le cas. Par contre je n’arrive pas à comprendre nos vingt premières minutes.
(Le Matin)
Michel Decastel avait hier du mal à digérer l’égalisation refusée à Leo pour une faute de Lacroix sur Besle. Son FC Sion, qui s’est incliné contre Saint-Gall (0-1), n’a toujours pas marqué.
Interview: Mathieu Aeschmann.
Michel Decastel, le FC Sion n’a pris qu’un point lors de ses deux premiers matches à Tourbillon, c’est forcément insuffisant?
C’est plus qu’insuffisant, c’est catastrophique. Je suis très déçu de ce résultat contre Saint-Gall. Nous sommes vraiment mal entrés dans le match, en manquant totalement d’agressivité. Et puis, on n’a pas su profiter des quelques occasions qui auraient pu nous permettre d’égaliser. Après je trouve juste inadmissible de se voir refuser l’égalisation de Leo.
Justement, quelle est votre lecture de cette action litigieuse?
Il y a un contact, je le reconnais. Lacroix passe devant son défenseur et lui marche sur le pied. Mais c’est dans le mouvement. Que voulez-vous? Nous les Romands, on commence à avoir l’habitude avec les arbitres suisses allemands. Samedi soir, c’était Lausanne. Aujourd’hui, c’est à notre tour d’être lésé. Je le répète, je trouve inadmissible de refuser un but pareil.
Au-delà de cette action litigieuse, votre équipe a semblé souvent très empruntée. Vous avez une explication?
Toute la semaine, le groupe travaille bien, montre de belles choses. Avant le match, on décide d’aller les presser haut d’entrée. Et puis l’équipe passe au travers de ses vingt premières minutes. C’est vite vu, on était absent. Il n’y avait aucune agressivité, personne n’allait sur les deuxièmes ballons. D’une façon plus générale, mes gars réagissent au lieu d’agir ce que je ne m’explique pas.
Etes-vous inquiet?
Un peu, évidemment puisque nous n’avons pas encore marqué. Après je serais très inquiet si nous n’avions pas été capables de nous créer des occasions, ce qui n’est pas le cas. Par contre je n’arrive pas à comprendre nos vingt premières minutes.
(Le Matin)
- pinelardo
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
« J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. » George Best
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Constantin: «On devra se battre contre la relégation»
Football
—
Mal barré, Sion inquiète son président. Afin de renforcer une cohésion désunie, l’équipe partira ce soir en camp de travaux généraux à Crans-Montana.
Le 29 juillet 2012: après trois journées et autant de victoires, le FC Sion de Sébastien Fournier pointe au sommet de la hiérarchie helvétique. Avec 6 buts marqués et aucun encaissé, tous les indicateurs sont au vert. Tourbillon chavire alors de bonheur…
Une année plus tard, le contraste est saisissant: après trois fausses sorties (deux défaites et un nul à domicile), le FC Sion bâti par le président recruteur Christian Constantin inquiète. Avec zéro but inscrit et déjà trois reçus, le doute l’emporte. Dans une pesanteur lugubre, Tourbillon gronde d’agacement quand il ne se vide pas.
«Sion ne ressemble pas encore à une équipe, constate froidement Christian Constantin. Hormis des buts, il manque de la discipline collective et de l’implication individuelle. Cela ronronne, personne n’a vraiment envie de gagner ni de secouer le cocotier. Alors que l’équipe a été rajeunie, j’y vois une espèce de routine, qui, à ce niveau-là, m’interpelle.»
Après une échappée marocaine à Marrakech, le patron a replongé dans les tracas d’un classement qui voit Sion englué dans la zone rouge. «Je m’y attendais. On devra se battre pour sauver notre place en Super League, éviter la relégation. On va forcément vivre une saison de transition compliquée. Je ne peux pas prétendre à autre chose.» Le directeur sportif Constantin assume ses choix, un recrutement qui n’a pas encore pris, l’absence d’identité dans le jeu, voire la régression de celui-ci quand les progrès s’étiolent comme avant-hier contre Saint-Gall.
La théorie du (bon) melon
«De toute manière, quelles que soient les difficultés de Sion, j’en serai toujours le seul responsable.» Sur l’étal de Tourbillon, soit à la hauteur de la vérité du terrain, la marchandise offerte n’a pas encore livré les promesses que ses produits contiennent. «Je ne suis pas satisfait de mes recrues estivales, mais je dois quand même leur laisser du temps pour s’adapter. On en revient toujours à la théorie du melon. Pour savoir s’il est bon, il faut l’ouvrir. Dans notre cas, il faut encore le laisser mûrir pour savoir s’il aura du goût.»
Afin d’accélérer le processus et la cohésion du groupe, Sion quittera la plaine ce mardi en fin de journée pour prendre de la hauteur à l’occasion d’un (nouveau) séminaire d’apprentissage de la vie communautaire, à Crans-Montana. «Les joueurs ne peuvent pas se comprendre sur la pelouse s’ils ne parviennent pas à communiquer entre eux également en dehors. Vivre en groupe suppose des règles de communication qu’il importe d’apprendre rapidement.» D’où la mise sur pied de ces 48 heures de rattrapage…
Plongé la veille dans un profond désarroi, Michel Decastel reste l’homme de la situation. Il l’est d’autant plus que le coach demeure «protégé» par la promesse de son président, s’engageant à ne pas en changer cette année («Le Matin» du 21 juin). «Michel doit simplement trouver les réponses à nos problèmes.» Comme l’absence d’un leader, incarné par Vanczak, pourtant sacrifié sur le banc depuis la reprise.
Les Romands volés
Comme Lausanne, Sion, pénalisé dimanche (but de Leo annulé), sait qu’il devra lutter aussi contre les bizarreries du corps arbitral. «En Suisse, le championnat est faussé, car l’arbitrage y est alémanique, pro-club alémanique. En tant que Romands, on est clairement volé. On doit faire 12 points de plus que les autres pour être à égalité avec eux. C’est comme si l’on partait à – 12. Si ça continue comme ça, je pense qu’un jour un président romand en viendra à retirer son équipe.» Il est aisé de deviner laquelle.
(Le Matin)
Football
—
Mal barré, Sion inquiète son président. Afin de renforcer une cohésion désunie, l’équipe partira ce soir en camp de travaux généraux à Crans-Montana.
Le 29 juillet 2012: après trois journées et autant de victoires, le FC Sion de Sébastien Fournier pointe au sommet de la hiérarchie helvétique. Avec 6 buts marqués et aucun encaissé, tous les indicateurs sont au vert. Tourbillon chavire alors de bonheur…
Une année plus tard, le contraste est saisissant: après trois fausses sorties (deux défaites et un nul à domicile), le FC Sion bâti par le président recruteur Christian Constantin inquiète. Avec zéro but inscrit et déjà trois reçus, le doute l’emporte. Dans une pesanteur lugubre, Tourbillon gronde d’agacement quand il ne se vide pas.
«Sion ne ressemble pas encore à une équipe, constate froidement Christian Constantin. Hormis des buts, il manque de la discipline collective et de l’implication individuelle. Cela ronronne, personne n’a vraiment envie de gagner ni de secouer le cocotier. Alors que l’équipe a été rajeunie, j’y vois une espèce de routine, qui, à ce niveau-là, m’interpelle.»
Après une échappée marocaine à Marrakech, le patron a replongé dans les tracas d’un classement qui voit Sion englué dans la zone rouge. «Je m’y attendais. On devra se battre pour sauver notre place en Super League, éviter la relégation. On va forcément vivre une saison de transition compliquée. Je ne peux pas prétendre à autre chose.» Le directeur sportif Constantin assume ses choix, un recrutement qui n’a pas encore pris, l’absence d’identité dans le jeu, voire la régression de celui-ci quand les progrès s’étiolent comme avant-hier contre Saint-Gall.
La théorie du (bon) melon
«De toute manière, quelles que soient les difficultés de Sion, j’en serai toujours le seul responsable.» Sur l’étal de Tourbillon, soit à la hauteur de la vérité du terrain, la marchandise offerte n’a pas encore livré les promesses que ses produits contiennent. «Je ne suis pas satisfait de mes recrues estivales, mais je dois quand même leur laisser du temps pour s’adapter. On en revient toujours à la théorie du melon. Pour savoir s’il est bon, il faut l’ouvrir. Dans notre cas, il faut encore le laisser mûrir pour savoir s’il aura du goût.»
Afin d’accélérer le processus et la cohésion du groupe, Sion quittera la plaine ce mardi en fin de journée pour prendre de la hauteur à l’occasion d’un (nouveau) séminaire d’apprentissage de la vie communautaire, à Crans-Montana. «Les joueurs ne peuvent pas se comprendre sur la pelouse s’ils ne parviennent pas à communiquer entre eux également en dehors. Vivre en groupe suppose des règles de communication qu’il importe d’apprendre rapidement.» D’où la mise sur pied de ces 48 heures de rattrapage…
Plongé la veille dans un profond désarroi, Michel Decastel reste l’homme de la situation. Il l’est d’autant plus que le coach demeure «protégé» par la promesse de son président, s’engageant à ne pas en changer cette année («Le Matin» du 21 juin). «Michel doit simplement trouver les réponses à nos problèmes.» Comme l’absence d’un leader, incarné par Vanczak, pourtant sacrifié sur le banc depuis la reprise.
Les Romands volés
Comme Lausanne, Sion, pénalisé dimanche (but de Leo annulé), sait qu’il devra lutter aussi contre les bizarreries du corps arbitral. «En Suisse, le championnat est faussé, car l’arbitrage y est alémanique, pro-club alémanique. En tant que Romands, on est clairement volé. On doit faire 12 points de plus que les autres pour être à égalité avec eux. C’est comme si l’on partait à – 12. Si ça continue comme ça, je pense qu’un jour un président romand en viendra à retirer son équipe.» Il est aisé de deviner laquelle.
(Le Matin)
Juste pour l'amour du maillot... SION 1909
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
« Dans un club de football, il y a une Sainte Trinité : les joueurs, l'entraîneur et les supporters. Les présidents n'en font pas partie. Ils sont juste là pour signer les chèques. »
Bill Shankly
Bill Shankly
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
25.08.2013 Le FC Sion se forge une 2ème légende !! Bravo !!
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Contre les supporters modernes qui prennent en otage et tuent le football
18.02.16 antoinette : "Belle équipe ce Braga"

18.02.16 antoinette : "Belle équipe ce Braga"






Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Moins 12: le bilan ridicule des Romands
13 buts encaissés, un seul inscrit: voilà le bilan sans appel des deux clubs romands depuis le début de la saison.

Soupe à la grimace? Berezina? Fiasco? Le journalisme sportif fourmille d'expressions fleuries pour qualifier un départ manqué. Et c'est tant mieux, sinon il n'échapperait pas à quelques répétitions en scrutant d'un regard inquiet le début de saison des deux clubs romands de Super League.
En 5 matches chacun, Lausanne et Sion ont respectivement inscrit 1 et 0 but. Dans le même temps, ils en ont respectivement encaissé 9 et 4. Soit un goal average romand qui sombre à -12. Si la recette dans le football dit qu'il faut d'abord ne pas prendre de buts avant d'aller chercher à en inscrire, nos deux représentants dans l'élite font bien tout le contraire.
Au niveau purement comptable, le bilan n'est guère plus réjouissant. En 10 matches, soit 5 chacun, les deux romands ont ramené 3 misérables points au bercail. Soit une moyenne inquiétante, digne d'un rythme de relégable, de 0,3 point par match.
Sans surprise, Lausanne et Sion pointent aux deux dernières place du classement de la Super League.
Seule perspective réjouissante, il n'y a plus qu'un seul relégable. La présence d'au moins un club romand dans l'élite la saison prochaine est donc assurée. Et dire qu'il y en avait 4 à l'entame de la saison 2011-2012...
13 buts encaissés, un seul inscrit: voilà le bilan sans appel des deux clubs romands depuis le début de la saison.

Soupe à la grimace? Berezina? Fiasco? Le journalisme sportif fourmille d'expressions fleuries pour qualifier un départ manqué. Et c'est tant mieux, sinon il n'échapperait pas à quelques répétitions en scrutant d'un regard inquiet le début de saison des deux clubs romands de Super League.
En 5 matches chacun, Lausanne et Sion ont respectivement inscrit 1 et 0 but. Dans le même temps, ils en ont respectivement encaissé 9 et 4. Soit un goal average romand qui sombre à -12. Si la recette dans le football dit qu'il faut d'abord ne pas prendre de buts avant d'aller chercher à en inscrire, nos deux représentants dans l'élite font bien tout le contraire.
Au niveau purement comptable, le bilan n'est guère plus réjouissant. En 10 matches, soit 5 chacun, les deux romands ont ramené 3 misérables points au bercail. Soit une moyenne inquiétante, digne d'un rythme de relégable, de 0,3 point par match.
Sans surprise, Lausanne et Sion pointent aux deux dernières place du classement de la Super League.
Seule perspective réjouissante, il n'y a plus qu'un seul relégable. La présence d'au moins un club romand dans l'élite la saison prochaine est donc assurée. Et dire qu'il y en avait 4 à l'entame de la saison 2011-2012...
selon CC
«Les entraîneurs, c’est comme les melons. Quand tu les vois de l’extérieur, ils sont tout beaux. Mais, une fois que tu les ouvres, ils n’ont pas forcément le même goût.»
«Les entraîneurs, c’est comme les melons. Quand tu les vois de l’extérieur, ils sont tout beaux. Mais, une fois que tu les ouvres, ils n’ont pas forcément le même goût.»
- Trilu
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Constantin revient en jeu

Christian Constantin veut arrêter le mauvais début de saison de son équipe. "Les tests sont terminés", dit-il. CLERC
En retrait et discret depuis le début de la saison, le président attend une réaction de son équipe, de son encadrement et des arbitres. Dès demain contre Sursee en coupe.
Christian Constantin revient en jeu. Absent lors des deux dernières rencontres du FC Sion en championnat, il ne manquera pas le rendez-vous du premier tour de la coupe de Suisse. L'équipe valaisanne affronte Sursee demain sur la pelouse du pensionnaire lucernois de première ligue classique (14 h 30). Le retour du président sonne comme un ordre de mobilisation générale. Comme un retour à la normale après un début de saison vécu en retrait du terrain et des acteurs.
Comment s'expliquent les vacances de Christian Constantin alors que son équipe prend le plus mauvais départ en championnat sous sa présidence?
J'avais annoncé que l'entraîneur disposerait de cinq semaines pour mettre en place une équipe et qu'un premier bilan serait tiré à ce moment-là. Je me suis donc fait discret et j'ai laissé les gens travailler. Mais l'univers du football ressemble à un iceberg. Etre absent de la partie qui émerge ne signifie pas être inactif. Il a fallu sortir 25 ou 26 contrats pour renouveler l'effectif. Economiquement, nous possédons pour l'instant une balance positive sur le marché des transferts avec notamment plus de 6,5 millions de francs de rentrées. Atteindre un tel montant exige beaucoup d'engagement.
Vous aviez quand même des contacts avec Michel Decastel et les membres de l'encadrement...
Oui, je leur ai dit une seule chose depuis le début de saison. Qu'il fallait aborder le match de Grasshopper avec un groupe plus musclé. Si nous sommes trop tendres comme lors des premiers matches, nous serons embêtés toute la saison.
Quel bilan dressez-vous de ce début de saison?
Je le ferai après la rencontre de coupe.
Quel jugement portez-vous sur les performances de votre équipe, du moins sur les matches que vous avez suivis?
J'étais présent physiquement à YB et contre Saint-Gall, j'ai suivi les autres matches à la télévision et par enregistrement. Mon équipe, mon entraîneur et mes joueurs ont envie de bien faire, mais ils manquent de détermination. L'élément athlétique joue un rôle essentiel aussi. Lacroix et Bakrac seront les premiers jeunes qui s'imposeront parce qu'ils ont cette dimension que Karlen et Veloso doivent acquérir en durcissant leur jeu. Kolloli doit comprendre qu'il est devenu joueur professionnel et Mveng retrouver le rythme de la première division.
Et les recrues?
Certains doivent comprendre les exigences du championnat de Suisse, Herea notamment. Pa Modou, Yartey ou Rufli ont été freinés par le Ramadan. Il est terminé désormais, ils doivent se remettre à niveau. Je veux revoir le Yartey de Servette. Christofi doit faire le pas pour avoir de la force sur nonante minutes.
Le totomat menace-t-il Michel Decastel ?
Non, mais comme pour un pilote d'essai en formule un, les tests sont terminés. Cinq matches me semblent un délai raisonnable pour tirer un premier bilan avec une équipe en construction. Ces remarques ne remettent pas l'entraîneur en cause. Je dois aussi assumer mes responsabilités de président en terminant le renouvellement du contingent à disposition, notamment dans la phase offensive. La touche finale sera apportée avant le 31 août avec un ou deux renforts dans ce secteur. Assifuah (ndlr. international junior ghanéen et meilleur buteur de la coupe du monde M20) est là, mais nous ne pouvons pas nous en remettre à un jeune de 20 ans. L'inconnue existe toujours quant à son adaptation au football européen.
Pourquoi avoir cédé Yannick Ndjeng pour recruter d'autres éléments offensifs dans la foulée?
L'entraîneur m'a dit que Ndjeng lui posait un problème dans le jeu, c'est un premier facteur. L'Espérance et le Club Africain, deux clubs de Tunis, ont manifesté leur intérêt pour le joueur. La concurrence a joué et nous avons réussi une très bonne opération.
Bluffez-vous quand vous parlez d'un FC Sion engagé dans la lutte contre la relégation?
Pour l'instant, nous sommes avant-derniers du classement et nous sommes la seule équipe qui n'a pas encore inscrit le moindre but. Il faut que ça change.
ARBITRAGE: MENACE DE FORFAIT
Constantin et les arbitres ne sont pas réconciliés. Après la lettre écrite avec Sylvio Bernasconi, l'ancien président de Xamax, en été 2010 et la menace d'une dénonciation via des spots à la télévision en novembre de la même année, le président envisage une nouvelle méthode de protestation. "Je recourrai au forfait si nous sommes toujours lésés. Je demande simplement que les arbitres se mettent à niveau. On nous annule un but valable contre Saint-Gall. On interrompt pour un hors-jeu inexistant la course d'Herea qui avait dribblé le gardien contre GC et qui était parti en position régulière. Notre joueur se trouvait en plus du même côté que l'assistant qui a levé le drapeau, il s'était lancé entre deux défenseurs. Si ça se poursuit, nous n'irons pas à Bâle par exemple. Ces coups de sifflet n'expliquent pas notre début de saison, ils y participent et c'est l'un des éléments à corriger." SF
http://www.lenouvelliste.ch/fr/nosdossi ... 34-1209026

Christian Constantin veut arrêter le mauvais début de saison de son équipe. "Les tests sont terminés", dit-il. CLERC
En retrait et discret depuis le début de la saison, le président attend une réaction de son équipe, de son encadrement et des arbitres. Dès demain contre Sursee en coupe.
Christian Constantin revient en jeu. Absent lors des deux dernières rencontres du FC Sion en championnat, il ne manquera pas le rendez-vous du premier tour de la coupe de Suisse. L'équipe valaisanne affronte Sursee demain sur la pelouse du pensionnaire lucernois de première ligue classique (14 h 30). Le retour du président sonne comme un ordre de mobilisation générale. Comme un retour à la normale après un début de saison vécu en retrait du terrain et des acteurs.
Comment s'expliquent les vacances de Christian Constantin alors que son équipe prend le plus mauvais départ en championnat sous sa présidence?
J'avais annoncé que l'entraîneur disposerait de cinq semaines pour mettre en place une équipe et qu'un premier bilan serait tiré à ce moment-là. Je me suis donc fait discret et j'ai laissé les gens travailler. Mais l'univers du football ressemble à un iceberg. Etre absent de la partie qui émerge ne signifie pas être inactif. Il a fallu sortir 25 ou 26 contrats pour renouveler l'effectif. Economiquement, nous possédons pour l'instant une balance positive sur le marché des transferts avec notamment plus de 6,5 millions de francs de rentrées. Atteindre un tel montant exige beaucoup d'engagement.
Vous aviez quand même des contacts avec Michel Decastel et les membres de l'encadrement...
Oui, je leur ai dit une seule chose depuis le début de saison. Qu'il fallait aborder le match de Grasshopper avec un groupe plus musclé. Si nous sommes trop tendres comme lors des premiers matches, nous serons embêtés toute la saison.
Quel bilan dressez-vous de ce début de saison?
Je le ferai après la rencontre de coupe.
Quel jugement portez-vous sur les performances de votre équipe, du moins sur les matches que vous avez suivis?
J'étais présent physiquement à YB et contre Saint-Gall, j'ai suivi les autres matches à la télévision et par enregistrement. Mon équipe, mon entraîneur et mes joueurs ont envie de bien faire, mais ils manquent de détermination. L'élément athlétique joue un rôle essentiel aussi. Lacroix et Bakrac seront les premiers jeunes qui s'imposeront parce qu'ils ont cette dimension que Karlen et Veloso doivent acquérir en durcissant leur jeu. Kolloli doit comprendre qu'il est devenu joueur professionnel et Mveng retrouver le rythme de la première division.
Et les recrues?
Certains doivent comprendre les exigences du championnat de Suisse, Herea notamment. Pa Modou, Yartey ou Rufli ont été freinés par le Ramadan. Il est terminé désormais, ils doivent se remettre à niveau. Je veux revoir le Yartey de Servette. Christofi doit faire le pas pour avoir de la force sur nonante minutes.
Le totomat menace-t-il Michel Decastel ?
Non, mais comme pour un pilote d'essai en formule un, les tests sont terminés. Cinq matches me semblent un délai raisonnable pour tirer un premier bilan avec une équipe en construction. Ces remarques ne remettent pas l'entraîneur en cause. Je dois aussi assumer mes responsabilités de président en terminant le renouvellement du contingent à disposition, notamment dans la phase offensive. La touche finale sera apportée avant le 31 août avec un ou deux renforts dans ce secteur. Assifuah (ndlr. international junior ghanéen et meilleur buteur de la coupe du monde M20) est là, mais nous ne pouvons pas nous en remettre à un jeune de 20 ans. L'inconnue existe toujours quant à son adaptation au football européen.
Pourquoi avoir cédé Yannick Ndjeng pour recruter d'autres éléments offensifs dans la foulée?
L'entraîneur m'a dit que Ndjeng lui posait un problème dans le jeu, c'est un premier facteur. L'Espérance et le Club Africain, deux clubs de Tunis, ont manifesté leur intérêt pour le joueur. La concurrence a joué et nous avons réussi une très bonne opération.
Bluffez-vous quand vous parlez d'un FC Sion engagé dans la lutte contre la relégation?
Pour l'instant, nous sommes avant-derniers du classement et nous sommes la seule équipe qui n'a pas encore inscrit le moindre but. Il faut que ça change.
ARBITRAGE: MENACE DE FORFAIT
Constantin et les arbitres ne sont pas réconciliés. Après la lettre écrite avec Sylvio Bernasconi, l'ancien président de Xamax, en été 2010 et la menace d'une dénonciation via des spots à la télévision en novembre de la même année, le président envisage une nouvelle méthode de protestation. "Je recourrai au forfait si nous sommes toujours lésés. Je demande simplement que les arbitres se mettent à niveau. On nous annule un but valable contre Saint-Gall. On interrompt pour un hors-jeu inexistant la course d'Herea qui avait dribblé le gardien contre GC et qui était parti en position régulière. Notre joueur se trouvait en plus du même côté que l'assistant qui a levé le drapeau, il s'était lancé entre deux défenseurs. Si ça se poursuit, nous n'irons pas à Bâle par exemple. Ces coups de sifflet n'expliquent pas notre début de saison, ils y participent et c'est l'un des éléments à corriger." SF
http://www.lenouvelliste.ch/fr/nosdossi ... 34-1209026
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Pas bien.
http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/31659499
Et pis il n 'y a pas que les notres qui font des absurdités en train.
http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/11107807


http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/31659499
Et pis il n 'y a pas que les notres qui font des absurdités en train.

http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/11107807

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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
25.08.2013 Le FC Sion se forge une 2ème légende !! Bravo !!
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Christian Constantin menace de retirer son équipe
FOOTBALL— Excédé par les erreurs d’arbitrage qui pénalisent son club, le boss de Tourbillon envisage de faire l’impasse sur un prochain match, en faisant une grève «antisifflets».
Les vacances n’ont pas franchement assagi Christian Constantin, qui fait toujours des arbitres sa cible prioritaire. «Un jour, vous verrez, un président d’une équipe de Super League romande retirera son équipe tellement il ne pourra plus supporter l’injustice dont son club est victime», nous expliquait le boss du FC Sion voici déjà 3 semaines.
Aujourd’hui que les erreurs n’ont pas diminué, continuant de lourdement pénaliser le club de Tourbillon à l’image du hors-jeu injustifié sifflé il y a 8 jours à Zurich alors que Herea s’en allait seul au but (0-0 contre GC), son président se dit prêt à passer à l’action à la prochaine décision lésant son équipe.
«Si cela continue ainsi, je vais retirer l’équipe. On fera la grève, quitte à perdre par forfait. Ça suffit! Les arbitres doivent être juste avec tout le monde.» Se confiant au Blick, Constantin ne craint pas les retombées d’une défaite sur le tapis vert, encore moins une éventuelle exclusion de la Ligue. «C’est seulement après un troisième forfait que l’on pourrait éventuellement nous exclure.» CC tiendra-t-il parole? «Vous verrez, je ne plaisante pas, on ira au bout.»
En attendant, si les arbitres ont effectivement déjà coûté plusieurs points à Sion en championnat, ils ne sont pour rien dans la très pâle prestation offerte samedi en Coupe…
(Le Matin)
FOOTBALL— Excédé par les erreurs d’arbitrage qui pénalisent son club, le boss de Tourbillon envisage de faire l’impasse sur un prochain match, en faisant une grève «antisifflets».
Les vacances n’ont pas franchement assagi Christian Constantin, qui fait toujours des arbitres sa cible prioritaire. «Un jour, vous verrez, un président d’une équipe de Super League romande retirera son équipe tellement il ne pourra plus supporter l’injustice dont son club est victime», nous expliquait le boss du FC Sion voici déjà 3 semaines.
Aujourd’hui que les erreurs n’ont pas diminué, continuant de lourdement pénaliser le club de Tourbillon à l’image du hors-jeu injustifié sifflé il y a 8 jours à Zurich alors que Herea s’en allait seul au but (0-0 contre GC), son président se dit prêt à passer à l’action à la prochaine décision lésant son équipe.
«Si cela continue ainsi, je vais retirer l’équipe. On fera la grève, quitte à perdre par forfait. Ça suffit! Les arbitres doivent être juste avec tout le monde.» Se confiant au Blick, Constantin ne craint pas les retombées d’une défaite sur le tapis vert, encore moins une éventuelle exclusion de la Ligue. «C’est seulement après un troisième forfait que l’on pourrait éventuellement nous exclure.» CC tiendra-t-il parole? «Vous verrez, je ne plaisante pas, on ira au bout.»
En attendant, si les arbitres ont effectivement déjà coûté plusieurs points à Sion en championnat, ils ne sont pour rien dans la très pâle prestation offerte samedi en Coupe…
(Le Matin)
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
http://www.lematin.ch/sports/football/m ... y/10579070
Voir les photos... Vannins qui danse sur du Saint-Saëns et Vanczak qui fait l'âne !
Voir les photos... Vannins qui danse sur du Saint-Saëns et Vanczak qui fait l'âne !

Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
25.08.2013 Le FC Sion se forge une 2ème légende !! Bravo !!
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
http://www.blick.ch/sport/fussball/supe ... 20184.html
En mini résumé Türkyilmaz pense que CC devrait être président et basta.
En mini résumé Türkyilmaz pense que CC devrait être président et basta.
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Christian Constantin à l'interview: http://www.nzz.ch/aktuell/sport/fussbal ... 1.18142205
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Les Verts veulent que le FC Sion paie pour la sécurité
"Les verts demandent que les frais occasionnés par les mesures de sécurité à mettre en place autour des matches du FC Sion en Valais soient facturés au club. ", réclament la députée Marylène Volpi Fournier et ses collègues verts dans un postulat.
Pour elle, c'est un question d'égalité de traitement avec les autres organisateurs de manifestations sportives.
Renseignements pris, les mesures de sécurité pour les dix-huit matches de championnat coûtent 2,2 millions, dont 1,7 million sont actuellement pris en charge par les contribuables.
jyg
"Les verts demandent que les frais occasionnés par les mesures de sécurité à mettre en place autour des matches du FC Sion en Valais soient facturés au club. ", réclament la députée Marylène Volpi Fournier et ses collègues verts dans un postulat.
Pour elle, c'est un question d'égalité de traitement avec les autres organisateurs de manifestations sportives.
Renseignements pris, les mesures de sécurité pour les dix-huit matches de championnat coûtent 2,2 millions, dont 1,7 million sont actuellement pris en charge par les contribuables.
jyg
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Le FC Sion a perdu près de 10'000 spectateurs de moyenne
Les affluences au stade de Tourbillon sont en chute libre. Les trois premières rencontres disputées à domicile par le FC Sion ont enregistré une baisse proche des 10'000 spectateurs en moyenne par match par rapport à 2012. Christian Constantin espère lancer l'opération redressement dès dimanche contre Bâle.
Le public fuit le stade de Tourbillon. L’affluence moyenne lors des trois premières rencontres à domicile du FC Sion a diminué de plus de 9000 personnes par rapport à celle enregistrée la saison dernière lors des mêmes échéances. De 14300 à 5900 spectateurs. Ce total est le plus faible depuis le retour de Christian Constantin à la présidence du FC Sion lors de la saison 2003/2004.
Les facteurs se multiplient pour expliquer ce net recul. La perte de qualité dans le jeu, les mouvements incessants de joueurs et d’entraîneurs, la contestation des groupes organisés de supporters ou la guerre déclarée aux engins pyrotechniques font du pèlerin de Tourbillon une espèce en voie de diminution. Constantin livre son analyse du phénomène. "En 2013, ils n’ont eu ni résultats, ni spectacle. Quelle motivation auraient-ils à se déplacer?", explique le dirigeant valaisan. "Politique de jeunes promise et non tenue, crainte des contrôles d’identité ou lassitude face à l’argent qui envahit le sport", répondent de manière anonyme les supporters qui ont quitté le navire.
Retrouvez les affluences en détail, les réactions de fans et de "déserteurs" et l'analyse de Christian Constantin dans l'édition du "Nouvelliste" de ce jeudi 19 septembre.
(Nouvelliste)
Les affluences au stade de Tourbillon sont en chute libre. Les trois premières rencontres disputées à domicile par le FC Sion ont enregistré une baisse proche des 10'000 spectateurs en moyenne par match par rapport à 2012. Christian Constantin espère lancer l'opération redressement dès dimanche contre Bâle.
Le public fuit le stade de Tourbillon. L’affluence moyenne lors des trois premières rencontres à domicile du FC Sion a diminué de plus de 9000 personnes par rapport à celle enregistrée la saison dernière lors des mêmes échéances. De 14300 à 5900 spectateurs. Ce total est le plus faible depuis le retour de Christian Constantin à la présidence du FC Sion lors de la saison 2003/2004.
Les facteurs se multiplient pour expliquer ce net recul. La perte de qualité dans le jeu, les mouvements incessants de joueurs et d’entraîneurs, la contestation des groupes organisés de supporters ou la guerre déclarée aux engins pyrotechniques font du pèlerin de Tourbillon une espèce en voie de diminution. Constantin livre son analyse du phénomène. "En 2013, ils n’ont eu ni résultats, ni spectacle. Quelle motivation auraient-ils à se déplacer?", explique le dirigeant valaisan. "Politique de jeunes promise et non tenue, crainte des contrôles d’identité ou lassitude face à l’argent qui envahit le sport", répondent de manière anonyme les supporters qui ont quitté le navire.
Retrouvez les affluences en détail, les réactions de fans et de "déserteurs" et l'analyse de Christian Constantin dans l'édition du "Nouvelliste" de ce jeudi 19 septembre.
(Nouvelliste)
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Les trois premiers matches à domicile de la saison ont attiré en moyenne près de 10'000 spectateurs de moins qu'en 2012

Le public fuit le stade de Tourbillon. Les trois premières rencontres de la saison ont atti ré 17 700 spectateurs, soit une moyenne de 5900 par match. Le total le plus faible depuis le retour de Christian Constantin à la présidence du FC Sion lors de la saison 2003/2004. Même lors des trois exercices disputés en Challenge League, les rendez-vous du début de saison avaient rassemblé plus de monde dans l'enceinte sédunoise. Les facteurs se multiplient pour expliquer ce net recul. La perte de qualité dans le jeu, les mouvements incessants de joueurs et d'entraîneurs, la contestation des groupes organisés de supporters ou la guerre déclarée aux engins pyrotechniques font du pèlerin de Tourbillon une espèce en voie de diminution. Constantin livre son analyse du phénomène.
Comment vivez-vous la nette baisse de fréquentation du stade de Tourbillon depuis le coup d'envoi de la saison?
Je ne peux pas dire qu'elle me réjouit, nous souhaiterions toujours avoir le plus de gens possible au stade. Je la regarde aussi de manière réaliste. Nous avons joué deux fois sur trois à 13 h 45 le dimanche après-midi durant la saison la plus chaude de l'année, alors que la ligue s'évertue à nous faire terminer le premier tour avec des matches à 19 h 45 le samedi soir dans le canton au climat le plus froid du championnat. Les performances de cette première partie de saison et ceux du printemps n'incitent pas les spectateurs à venir au stade. En 2013, ils n'ont eu ni résultats, ni spectacle. Quelle motivation auraient-ils à se déplacer? J'ai déjà vécu cette situation. En automne 1994, l'équipe de Bertine ne décollait pas. Nous avons joué contre Lugano devant 3650 personnes. Ils étaient 16 000 deux semaines plus tard contre l'OM et 25 000 en finale de coupe contre GC en mai.
Cette diminution ne sanctionne-t-elle pas également votre politique sportive faite de mouvements incessants?
Peut-être, mais je la reçois aussi comme une information qui me conforte dans mon approche du club. Le replacer dans une catégorie inférieure sera indispensable lorsque je me retirerai. Il tourne actuellement en surrégime par rapport au potentiel économique et public réel de la région. Les statistiques fédérales montrent que Sion est la neuvième agglomération en Super League par rapport au nombre d'habitants. Seul Aarau en recense moins que nous. Si l'on inclut la Challenge League dans le calcul, Sion recule au 13e ou 14e rang sur vingt. Le club pourrait donc jouer la partie supérieure de D2 par rapport à ses possibilités dans un sport où le classement se fixe de plus en plus en fonction des moyens à disposition.
Le phénomène menace-t-il vos ambitions?
Recadrons correctement le sujet. J'ai aussi l'impression qu'on profite d'un moment favorable pour tirer sur l'ambulance. Nous parlons de trois matches, les conclusions qui mentionnent déjà une désaffection de Tour billon sont hâtives. Recevoir Zurich, Saint-Gall et Thoune ne nous donne pas le calendrier le plus attractif. Comment le comparer à celui de la saison dernière quand nous avions reçu Servette, Bâle et YB avec une victoire à GC pour lancer le championnat?
Le rappel des chiffres de la saison dernière vous agace-t-il?
Non parce que j'inclus tous les facteurs dans mon analyse. La nomination de Fournier comme entraîneur avait donné un premier élan. L'engagement de Gattuso a été un coup d'accélérateur phénoménal, le FC Sion a pris une dimension supérieure en suscitant un intérêt médiatique incroyable. Amener le capitaine de l'AC Milan chez toi parle plus aux gens que de faire jouer Lacroix ou Ndoye. Je le dis sans manquer de respect à personne. Ensuite, le problème peut être tourné et retourné dans tous les sens, nous n'avons pas cette saison les résultats de l'été dernier. Dès que tu perds, les gens se détournent. Ils veulent une équipe qui gagne, ils préfèrent la défaite chez les autres. Si nous sommes compétitifs pour gagner le titre, Sion peut avoir une moyenne de 12 000 spectateurs dans la configuration actuelle du stade. Avec une enceinte neuve, le potentiel maximal serait de 16 000.
Comment expliquez-vous la différence avec les 25 000 supporters qui se sont déplacés pour les finales de coupe?
Ces chiffres montrent l'attachement à une histoire. Le Valaisan est monté et monte à Berne pour prouver qu'il existe. Le véritable test interviendra après une défaite en finale. Combien seront-ils lors de la suivante?
Le conflit avec les groupes de supporters organisés est-il réglé?
Je n'interdis pas l'usage des fumigènes dans un stade, la loi l'interdit. Nous nous sommes rencontrés, le club a maintenu cette exigence. Les groupes ont pris la décision de ne plus venir au stade pour cette raison. Je ne leur demande pas de me donner raison, mais je souhaite que nous puissions dialoguer pour le bien du club afin de mobiliser toutes les forces disponibles pour encourager l'équipe. Je ne sais pas quelle est la position des groupes aujourd'hui.
Que manque-t-il pour remplir à nouveau Tourbillon?
Des résultats, je l'ai déjà dit et répété. Nous y jouons trois matches en deux semaines contre Bâle, Lausanne et Young Boys. Avec un déplacement à Bâle dans l'intervalle, ces quatre journées orienteront définitivement notre saison.
OPERATION "TOUS A TOURBILLON"
Les Forces Motrices Valaisannes relanceront-elles la fréquentation du stade de Tourbillon? L'entreprise offre la gratuité en tribunes B, soit le gradin nord, pour les deux prochaines rencontres à domicile du FC Sion face à Bâle dimanche, puis face à Lausanne mercredi.
"Les FMV sont notre partenaire fair-play. Elles ont compris que l'équipe a besoin de ses supporters et elle a fait l'effort nécessaire en achetant la tribune concernée pour les deux matches" , explique Christian Constantin.
Le président du club valaisan ne dévoile pas le montant de la transaction. "Si des personnes ou des sociétés sont intéressées à investir dans une opération similaire, elles peuvent me contacter."
Cette initiative n'est pas une première pour le FC Sion.
Lors de la saison 2002/2003, un mécène discret avait offert l'entrée gratuite au stade lors des deux dernières rencontres du tour de qualification de Ligue nationale B contre Vaduz et contre Lausanne.
Il s'appelait Christian Constantin. Le montant estimé de la transaction était de 180 000 francs. "Je n'ai toujours pas la mémoire des chiffres" , souligne-t-il. L'équipe se battait pour obtenir sa qualification pour le tour de promotion-relégation, elle avait besoin du soutien de son public. Je l'avais fait à titre purement personnel."
Les affluences à Tourbillon avaient pris l'ascenseur pour atteindre 9000 personnes contre Vaduz et 12 000 contre Lausanne.
www.lenouvelliste.ch

Le public fuit le stade de Tourbillon. Les trois premières rencontres de la saison ont atti ré 17 700 spectateurs, soit une moyenne de 5900 par match. Le total le plus faible depuis le retour de Christian Constantin à la présidence du FC Sion lors de la saison 2003/2004. Même lors des trois exercices disputés en Challenge League, les rendez-vous du début de saison avaient rassemblé plus de monde dans l'enceinte sédunoise. Les facteurs se multiplient pour expliquer ce net recul. La perte de qualité dans le jeu, les mouvements incessants de joueurs et d'entraîneurs, la contestation des groupes organisés de supporters ou la guerre déclarée aux engins pyrotechniques font du pèlerin de Tourbillon une espèce en voie de diminution. Constantin livre son analyse du phénomène.
Comment vivez-vous la nette baisse de fréquentation du stade de Tourbillon depuis le coup d'envoi de la saison?
Je ne peux pas dire qu'elle me réjouit, nous souhaiterions toujours avoir le plus de gens possible au stade. Je la regarde aussi de manière réaliste. Nous avons joué deux fois sur trois à 13 h 45 le dimanche après-midi durant la saison la plus chaude de l'année, alors que la ligue s'évertue à nous faire terminer le premier tour avec des matches à 19 h 45 le samedi soir dans le canton au climat le plus froid du championnat. Les performances de cette première partie de saison et ceux du printemps n'incitent pas les spectateurs à venir au stade. En 2013, ils n'ont eu ni résultats, ni spectacle. Quelle motivation auraient-ils à se déplacer? J'ai déjà vécu cette situation. En automne 1994, l'équipe de Bertine ne décollait pas. Nous avons joué contre Lugano devant 3650 personnes. Ils étaient 16 000 deux semaines plus tard contre l'OM et 25 000 en finale de coupe contre GC en mai.
Cette diminution ne sanctionne-t-elle pas également votre politique sportive faite de mouvements incessants?
Peut-être, mais je la reçois aussi comme une information qui me conforte dans mon approche du club. Le replacer dans une catégorie inférieure sera indispensable lorsque je me retirerai. Il tourne actuellement en surrégime par rapport au potentiel économique et public réel de la région. Les statistiques fédérales montrent que Sion est la neuvième agglomération en Super League par rapport au nombre d'habitants. Seul Aarau en recense moins que nous. Si l'on inclut la Challenge League dans le calcul, Sion recule au 13e ou 14e rang sur vingt. Le club pourrait donc jouer la partie supérieure de D2 par rapport à ses possibilités dans un sport où le classement se fixe de plus en plus en fonction des moyens à disposition.
Le phénomène menace-t-il vos ambitions?
Recadrons correctement le sujet. J'ai aussi l'impression qu'on profite d'un moment favorable pour tirer sur l'ambulance. Nous parlons de trois matches, les conclusions qui mentionnent déjà une désaffection de Tour billon sont hâtives. Recevoir Zurich, Saint-Gall et Thoune ne nous donne pas le calendrier le plus attractif. Comment le comparer à celui de la saison dernière quand nous avions reçu Servette, Bâle et YB avec une victoire à GC pour lancer le championnat?
Le rappel des chiffres de la saison dernière vous agace-t-il?
Non parce que j'inclus tous les facteurs dans mon analyse. La nomination de Fournier comme entraîneur avait donné un premier élan. L'engagement de Gattuso a été un coup d'accélérateur phénoménal, le FC Sion a pris une dimension supérieure en suscitant un intérêt médiatique incroyable. Amener le capitaine de l'AC Milan chez toi parle plus aux gens que de faire jouer Lacroix ou Ndoye. Je le dis sans manquer de respect à personne. Ensuite, le problème peut être tourné et retourné dans tous les sens, nous n'avons pas cette saison les résultats de l'été dernier. Dès que tu perds, les gens se détournent. Ils veulent une équipe qui gagne, ils préfèrent la défaite chez les autres. Si nous sommes compétitifs pour gagner le titre, Sion peut avoir une moyenne de 12 000 spectateurs dans la configuration actuelle du stade. Avec une enceinte neuve, le potentiel maximal serait de 16 000.
Comment expliquez-vous la différence avec les 25 000 supporters qui se sont déplacés pour les finales de coupe?
Ces chiffres montrent l'attachement à une histoire. Le Valaisan est monté et monte à Berne pour prouver qu'il existe. Le véritable test interviendra après une défaite en finale. Combien seront-ils lors de la suivante?
Le conflit avec les groupes de supporters organisés est-il réglé?
Je n'interdis pas l'usage des fumigènes dans un stade, la loi l'interdit. Nous nous sommes rencontrés, le club a maintenu cette exigence. Les groupes ont pris la décision de ne plus venir au stade pour cette raison. Je ne leur demande pas de me donner raison, mais je souhaite que nous puissions dialoguer pour le bien du club afin de mobiliser toutes les forces disponibles pour encourager l'équipe. Je ne sais pas quelle est la position des groupes aujourd'hui.
Que manque-t-il pour remplir à nouveau Tourbillon?
Des résultats, je l'ai déjà dit et répété. Nous y jouons trois matches en deux semaines contre Bâle, Lausanne et Young Boys. Avec un déplacement à Bâle dans l'intervalle, ces quatre journées orienteront définitivement notre saison.
OPERATION "TOUS A TOURBILLON"
Les Forces Motrices Valaisannes relanceront-elles la fréquentation du stade de Tourbillon? L'entreprise offre la gratuité en tribunes B, soit le gradin nord, pour les deux prochaines rencontres à domicile du FC Sion face à Bâle dimanche, puis face à Lausanne mercredi.
"Les FMV sont notre partenaire fair-play. Elles ont compris que l'équipe a besoin de ses supporters et elle a fait l'effort nécessaire en achetant la tribune concernée pour les deux matches" , explique Christian Constantin.
Le président du club valaisan ne dévoile pas le montant de la transaction. "Si des personnes ou des sociétés sont intéressées à investir dans une opération similaire, elles peuvent me contacter."
Cette initiative n'est pas une première pour le FC Sion.
Lors de la saison 2002/2003, un mécène discret avait offert l'entrée gratuite au stade lors des deux dernières rencontres du tour de qualification de Ligue nationale B contre Vaduz et contre Lausanne.
Il s'appelait Christian Constantin. Le montant estimé de la transaction était de 180 000 francs. "Je n'ai toujours pas la mémoire des chiffres" , souligne-t-il. L'équipe se battait pour obtenir sa qualification pour le tour de promotion-relégation, elle avait besoin du soutien de son public. Je l'avais fait à titre purement personnel."
Les affluences à Tourbillon avaient pris l'ascenseur pour atteindre 9000 personnes contre Vaduz et 12 000 contre Lausanne.
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Juste pour l'amour du maillot... SION 1909
Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Le FC Sion recrute Kervens Belfort Fils pour le mois de janvier
Le FC Sion commence déjà son recrutement hivernal selon des sources haïtiennes. Kervens Belfort Fils, un attaquant de 21 ans, annonce sur le réseau social Facebook son engagement pour trois dans dès le mois de janvier.
Christian Constantin ne perd pas de temps si l’on en croit une source haïtienne. Celle-ci annonce l’arrivée au FC Sion dès le mois de janvier de Kervens Belfort Fils.
Le joueur révèle lui-même l’information sur le réseau social Facebook. "Désormais, j’ai une nouvelle équipe, le FC Sion. J’en profite pour remercier Dieu, car il peut tout faire", écrit-il. Il poste également deux photos, l’une en compagnie du président Constantin et l’autre prise dans les locaux du club valaisan au côté de maillots rouges et blancs.
Agé de 21 ans, cet attaquant formé à Haïti avait rejoint Le Mans en 2011. Il y a évolué durant deux saisons avant de subir comme ses coéquipiers la crise financière qui a entraîné la relégation administrative du club manceau et la perte de son statut professionnel. Il avait auparavant tenté sa chance auprès du Benfica Lisbonne.
Aux journalistes de ashaps.com, le site sur la grande toile de l’association haïtienne de la presse sportive, le joueur a précisé qu’il était en Suisse le mardi 16 septembre dans le but de finaliser les détails administratifs en vue de signer son nouveau bail avec l’équipe présidée par Christian Constantin. "Moi, Franco Forchia et mon agent, Marc-Daniel Saint-Ange, nous étions en Suisse. C’est le président de l’équipe (Christian Constantin) qui nous a envoyé son avion privé. J’ai signé pour une durée de trois années. J’en profite pour visiter le local du club. La traditionnelle visite médicale, je le ferai en janvier avant de faire mes débuts sur les couleurs du FC Sion", explique notamment Belfort.
Le club sédunois confirme pour sa part "une option prise sur le joueur".
Par Stéphane FOURNIER
Le FC Sion commence déjà son recrutement hivernal selon des sources haïtiennes. Kervens Belfort Fils, un attaquant de 21 ans, annonce sur le réseau social Facebook son engagement pour trois dans dès le mois de janvier.
Christian Constantin ne perd pas de temps si l’on en croit une source haïtienne. Celle-ci annonce l’arrivée au FC Sion dès le mois de janvier de Kervens Belfort Fils.
Le joueur révèle lui-même l’information sur le réseau social Facebook. "Désormais, j’ai une nouvelle équipe, le FC Sion. J’en profite pour remercier Dieu, car il peut tout faire", écrit-il. Il poste également deux photos, l’une en compagnie du président Constantin et l’autre prise dans les locaux du club valaisan au côté de maillots rouges et blancs.
Agé de 21 ans, cet attaquant formé à Haïti avait rejoint Le Mans en 2011. Il y a évolué durant deux saisons avant de subir comme ses coéquipiers la crise financière qui a entraîné la relégation administrative du club manceau et la perte de son statut professionnel. Il avait auparavant tenté sa chance auprès du Benfica Lisbonne.
Aux journalistes de ashaps.com, le site sur la grande toile de l’association haïtienne de la presse sportive, le joueur a précisé qu’il était en Suisse le mardi 16 septembre dans le but de finaliser les détails administratifs en vue de signer son nouveau bail avec l’équipe présidée par Christian Constantin. "Moi, Franco Forchia et mon agent, Marc-Daniel Saint-Ange, nous étions en Suisse. C’est le président de l’équipe (Christian Constantin) qui nous a envoyé son avion privé. J’ai signé pour une durée de trois années. J’en profite pour visiter le local du club. La traditionnelle visite médicale, je le ferai en janvier avant de faire mes débuts sur les couleurs du FC Sion", explique notamment Belfort.
Le club sédunois confirme pour sa part "une option prise sur le joueur".
Par Stéphane FOURNIER
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Re: [Revue de presse du FC Sion] Uniquement les articles
Réactions à l'article du Nouvelliste:
ULTRAS SION: RETOUR AU STADE
Le groupe de supporters Ultras Sion 1994 reprend ses activités. Les différents événements de la saison dernière les avaient incités à «se mettre en sommeil» selon l’expression utilisée dans un communiqué diffusé durant la semaine. Une assemblée générale extraordinaire a permis aux différents membres de s’exprimer. Les débats ont débouché sur la décision de «revenir aux bases et aux fondements de nos activités, à savoir le soutien inconditionnel aux joueurs de la première équipe du FC Sion». Les Ultras reprendront donc place dans la tribune nord de Tourbillon dès dimanche lors de la rencontre face à Bâle. Chants et animations comprises. «Nous garderons bien évidemment un oeil attentif sur la gestion de notre club de coeur et n’hésiterons pas, comme par le passé, à nous montrer critiques à l’aide des moyens traditionnels dont tout groupe de supporters dispose». De nombreuses banderoles avaient brocardé la politique de Christian Constantin la saison dernière. «Nous n’entrerons pas en matière concernant les exigences du club envers le groupe et ses supporters.» La missive diffusée sur le site http://www.ultras-sion.ch appelle également «à l’union sacrée». «Ce n’est qu’unis et soudés que Tourbillon retrouvera son aura d’antan… L’ambiance et la popularité sont les bases du retour aux vraies valeurs du club, sentons nous tous concernés!», conclut notamment le message. Ce retour au stade permettra de redonner vie à un gradin déserté et muet depuis la reprise.
ILS TOURNENT LE DOS À TOURBILLON SANS LE DIRE OUVERTEMENT
Quitter Tourbillon est une chose, le dire de manière ouverte une autre. Tous les témoins contactés pour exprimer les motifs de leur renoncement aux rencontres à domicile du FC Sion souhaitent conserver l’anonymat. Ils invoquent des raisons professionnelles ou privées. «On nous a parlé de jouer la carte jeunes au terme de la saison dernière. Où sont-ils? On ne les voit pas sur le terrain», confie un ancien abonné de la tribune est. «La politique de Christian Constantin a joué un rôle dans ma décision sans être essentielle», avoue un ancien junior du club et membre du Club des 100, puis des 1000 durant plus de vingt ans. «Je ne suis plus les matches depuis deux ans parce que je ne partage plus les valeurs du foot, à Sion ou ailleurs, qui sont l’argent et la violence. Je ne peux plus m’identifier à ça.» Des visiteurs traditionnels se sont éloignés de la tribune nord parce qu’ils «ne veulent pas de billets ou d’abonnements nominatifs avec présentation de carte d’identité comme le club avait menacé de les introduire» ou «revendiquent le droit d’utiliser des fumigènes qui appartiennent intégralement à la culture des supporters». Les plus calmes déplorent «les mauvais résultats et le spectacle». «Quel est le dernier match spectaculaire vu à Tourbillon?», interrogent-ils.
REPERES
14 383 spectateurs, soit la capacité maximale du stade de Tourbillon dans sa configuration actuelle. 767 places ont été supprimées en début de saison dans le secteur des supporters visiteurs qui se trouvent sur le côté droit de la tribune sud.
19 500 spectateurs, soit le record d’affluence enregisré au stade de Tourbillon depuis sa création en 1968. L’événement remonte au 4 juin 1997. Sion s’impose contre Lausanne grâce à une réussite d’Ahmed Ouattara (1-0). Le club remporte le deuxième titre de son histoire. Il avait fêté le premier devant 19 200 personnes le 30 mai 1992 en battant Saint-Gall (2-1), après avoir assuré son premier rang le week-end précédent à Genève contre Servette.
16 500 spectateurs, soit la meilleure affluence enregistrée lors d’un match de coupe d’Europe au stade de Tourbillon. Le 17 octobre 1996, Sion s’incline 1-2 contre Liverpool au deuxième tour principal de la Coupe des vainqueurs de coupe. 14 500 personnes avaient assisté au match aller contre Porto (2-2) en éliminatoires de la Ligue des champions le 21 octobre 1992. Ils étaient 15 500 contre l’Olympique de Marseille en seizièmes de finale de la coupe de l’UEFA le 17 octobre 1996. Le FC Sion n’a jamais joué à guichets fermés au stade de Tourbillon.
De 12 À 150, en francs, le prix du billlet de match le moins cher au stade de Tourbillon aujourd’hui, soit un sésame enfant moins de 16 ans en secteur debout, au ticket le plus onéreux, soit une entrée en business seats. Des montants fixes pour toutes les rencontres de la saison.
[Le Nouvelliste du jour]
ULTRAS SION: RETOUR AU STADE
Le groupe de supporters Ultras Sion 1994 reprend ses activités. Les différents événements de la saison dernière les avaient incités à «se mettre en sommeil» selon l’expression utilisée dans un communiqué diffusé durant la semaine. Une assemblée générale extraordinaire a permis aux différents membres de s’exprimer. Les débats ont débouché sur la décision de «revenir aux bases et aux fondements de nos activités, à savoir le soutien inconditionnel aux joueurs de la première équipe du FC Sion». Les Ultras reprendront donc place dans la tribune nord de Tourbillon dès dimanche lors de la rencontre face à Bâle. Chants et animations comprises. «Nous garderons bien évidemment un oeil attentif sur la gestion de notre club de coeur et n’hésiterons pas, comme par le passé, à nous montrer critiques à l’aide des moyens traditionnels dont tout groupe de supporters dispose». De nombreuses banderoles avaient brocardé la politique de Christian Constantin la saison dernière. «Nous n’entrerons pas en matière concernant les exigences du club envers le groupe et ses supporters.» La missive diffusée sur le site http://www.ultras-sion.ch appelle également «à l’union sacrée». «Ce n’est qu’unis et soudés que Tourbillon retrouvera son aura d’antan… L’ambiance et la popularité sont les bases du retour aux vraies valeurs du club, sentons nous tous concernés!», conclut notamment le message. Ce retour au stade permettra de redonner vie à un gradin déserté et muet depuis la reprise.
ILS TOURNENT LE DOS À TOURBILLON SANS LE DIRE OUVERTEMENT
Quitter Tourbillon est une chose, le dire de manière ouverte une autre. Tous les témoins contactés pour exprimer les motifs de leur renoncement aux rencontres à domicile du FC Sion souhaitent conserver l’anonymat. Ils invoquent des raisons professionnelles ou privées. «On nous a parlé de jouer la carte jeunes au terme de la saison dernière. Où sont-ils? On ne les voit pas sur le terrain», confie un ancien abonné de la tribune est. «La politique de Christian Constantin a joué un rôle dans ma décision sans être essentielle», avoue un ancien junior du club et membre du Club des 100, puis des 1000 durant plus de vingt ans. «Je ne suis plus les matches depuis deux ans parce que je ne partage plus les valeurs du foot, à Sion ou ailleurs, qui sont l’argent et la violence. Je ne peux plus m’identifier à ça.» Des visiteurs traditionnels se sont éloignés de la tribune nord parce qu’ils «ne veulent pas de billets ou d’abonnements nominatifs avec présentation de carte d’identité comme le club avait menacé de les introduire» ou «revendiquent le droit d’utiliser des fumigènes qui appartiennent intégralement à la culture des supporters». Les plus calmes déplorent «les mauvais résultats et le spectacle». «Quel est le dernier match spectaculaire vu à Tourbillon?», interrogent-ils.
REPERES
14 383 spectateurs, soit la capacité maximale du stade de Tourbillon dans sa configuration actuelle. 767 places ont été supprimées en début de saison dans le secteur des supporters visiteurs qui se trouvent sur le côté droit de la tribune sud.
19 500 spectateurs, soit le record d’affluence enregisré au stade de Tourbillon depuis sa création en 1968. L’événement remonte au 4 juin 1997. Sion s’impose contre Lausanne grâce à une réussite d’Ahmed Ouattara (1-0). Le club remporte le deuxième titre de son histoire. Il avait fêté le premier devant 19 200 personnes le 30 mai 1992 en battant Saint-Gall (2-1), après avoir assuré son premier rang le week-end précédent à Genève contre Servette.
16 500 spectateurs, soit la meilleure affluence enregistrée lors d’un match de coupe d’Europe au stade de Tourbillon. Le 17 octobre 1996, Sion s’incline 1-2 contre Liverpool au deuxième tour principal de la Coupe des vainqueurs de coupe. 14 500 personnes avaient assisté au match aller contre Porto (2-2) en éliminatoires de la Ligue des champions le 21 octobre 1992. Ils étaient 15 500 contre l’Olympique de Marseille en seizièmes de finale de la coupe de l’UEFA le 17 octobre 1996. Le FC Sion n’a jamais joué à guichets fermés au stade de Tourbillon.
De 12 À 150, en francs, le prix du billlet de match le moins cher au stade de Tourbillon aujourd’hui, soit un sésame enfant moins de 16 ans en secteur debout, au ticket le plus onéreux, soit une entrée en business seats. Des montants fixes pour toutes les rencontres de la saison.
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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein