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Football: Oliver Kahn fait son mea-culpa
Oliver Kahn, a admis dans la presse que sa suspension pour un match prononcé par son entraîneur Ottmar Hitzfeld était justifiée et qu'il allait devoir se remettre en question. Le gardien de but du Bayern Munich avait critiqué Franck Ribéry et Luca Toni.
"J'accepte la décision de l'entraîneur. Il l'a prise, parce qu'il veut envoyer un message. Il l'a peut-être aussi fait pour me faire réfléchir", a déclaré Kahn au quotidien Bild. " Nous voulons gagner des titres, moi comme l'équipe, c'est pourquoi il faut que je regarde ce que je peux faire de mieux", a reconnu "King-Kahn" qui mettra un terme à sa carrière en juin.
Parce qu'il avait critiqué dans la presse Ribéry et Toni, Kahn ne disputera pas le dernier match de la phase aller du championnat samedi contre Berlin. Il a également été condamné à payer une lourde amende de 25 000 euros (environ 40 000 francs). Le club bavarois a justifié cette lourde sanction en évoquant les critiques de son capitaine à l'égard de ses coéquipiers mais aussi son attitude durant la fête de Noël du club, samedi, qu'il avait quitté tôt pour officiellement s'occuper de ses enfants.
Selon le quotidien Bild, Kahn aurait d'ailleurs menti à ses dirigeants, puisqu'il aurait été aperçu dans la nuit de samedi à dimanche avec sa compagne Verena dans un restaurant de Munich. "Ce ne sont que des rumeurs, je n'ai rien à dire là-dessus, c'est ma vie privée, elle ne regarde personne", s'est défendu Kahn qui fait de nouveau les délices de la presse people, puisqu'il serait sur le point de rompre avec Verena, 25 ans, pour qui il avait quitté sa femme en 2003.
(ats / 13 décembre 2007 10:58)
Oliver Kahn, a admis dans la presse que sa suspension pour un match prononcé par son entraîneur Ottmar Hitzfeld était justifiée et qu'il allait devoir se remettre en question. Le gardien de but du Bayern Munich avait critiqué Franck Ribéry et Luca Toni.
"J'accepte la décision de l'entraîneur. Il l'a prise, parce qu'il veut envoyer un message. Il l'a peut-être aussi fait pour me faire réfléchir", a déclaré Kahn au quotidien Bild. " Nous voulons gagner des titres, moi comme l'équipe, c'est pourquoi il faut que je regarde ce que je peux faire de mieux", a reconnu "King-Kahn" qui mettra un terme à sa carrière en juin.
Parce qu'il avait critiqué dans la presse Ribéry et Toni, Kahn ne disputera pas le dernier match de la phase aller du championnat samedi contre Berlin. Il a également été condamné à payer une lourde amende de 25 000 euros (environ 40 000 francs). Le club bavarois a justifié cette lourde sanction en évoquant les critiques de son capitaine à l'égard de ses coéquipiers mais aussi son attitude durant la fête de Noël du club, samedi, qu'il avait quitté tôt pour officiellement s'occuper de ses enfants.
Selon le quotidien Bild, Kahn aurait d'ailleurs menti à ses dirigeants, puisqu'il aurait été aperçu dans la nuit de samedi à dimanche avec sa compagne Verena dans un restaurant de Munich. "Ce ne sont que des rumeurs, je n'ai rien à dire là-dessus, c'est ma vie privée, elle ne regarde personne", s'est défendu Kahn qui fait de nouveau les délices de la presse people, puisqu'il serait sur le point de rompre avec Verena, 25 ans, pour qui il avait quitté sa femme en 2003.
(ats / 13 décembre 2007 10:58)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Le quotidien allemand Bild rapporte que le club phare de la Bundesliga, le Bayern Munich, prépare activement la succession de son entraîneur actuel, Ottmar Hitzfeld. Engagé pour un an afin d’aider le club bavarois à retrouver les sommets du championnat, Hitzfeld ne compte pas prolonger l’aventure. Critiqué par ses dirigeants, notamment par Karlheinz Rummenigge, pour sa politique de rotation de l’effectif, l’ancien coach du Borussia Dortmund a décidé de quitter le navire munichois durant l’été prochain.
Avertis de la nouvelle, les décideurs du club ont donc d’ores et déjà planché sur le nom de son successeur. Ainsi, selon le quotidien allemand, un nom semble se dégager. Celui de Franck Rijkaard. En poste à Barcelone depuis 2004, le technicien batave aurait le profil recherché par le Bayern notamment parce qu’il parle allemand. Cependant, le Hollandais n’aurait, pour le moment, aucune raison de quitter la Catalogne où il jouit d’une bonne réputation et possède l’un des tous meilleurs effectifs d’Europe.
Néanmoins, les choses pourraient aller très vite. En effet, l’ancien joueur de l’Ajax n’oublie pas qu’il peut être sur la sellette à tout instant. Deuxième du championnat derrière le rival madrilène, le Barça veut à tout prix prendre sa revanche sur le Real qui lui avait soufflé le titre sous le nez l’an passé. Malheureusement pour Rijkaard, les performances de son équipe ont tardé à venir en ce début de saison et les Blaugrana ont déjà pris du retard sur les Merengue. C’est pourquoi, à moins de deux semaines du Clasico, les dirigeants barcelonais auraient intimé l’ordre à Rijkaard de gagner ce match sous peine de faire ses valises.
En cas de défaite, le coach hollandais pourrait donc être débarqué plus tôt que prévu et serait une opportunité rêvée pour le Bayern de le recruter gratuitement. Cependant, si jamais la piste menant à Barcelone se referme, les dirigeants bavarois penseraient à un autre entraîneur en délicate posture, Marco Van Basten. Critiqué dans son pays à cause d’une campagne de qualification à l’Euro sans gloire, nul doute que si le parcours des Oranje en Suisse ne se passait pas bien, il serait remercié.
Fort de ces deux pistes, le Bayern est maintenant en position d’attente.
Avertis de la nouvelle, les décideurs du club ont donc d’ores et déjà planché sur le nom de son successeur. Ainsi, selon le quotidien allemand, un nom semble se dégager. Celui de Franck Rijkaard. En poste à Barcelone depuis 2004, le technicien batave aurait le profil recherché par le Bayern notamment parce qu’il parle allemand. Cependant, le Hollandais n’aurait, pour le moment, aucune raison de quitter la Catalogne où il jouit d’une bonne réputation et possède l’un des tous meilleurs effectifs d’Europe.
Néanmoins, les choses pourraient aller très vite. En effet, l’ancien joueur de l’Ajax n’oublie pas qu’il peut être sur la sellette à tout instant. Deuxième du championnat derrière le rival madrilène, le Barça veut à tout prix prendre sa revanche sur le Real qui lui avait soufflé le titre sous le nez l’an passé. Malheureusement pour Rijkaard, les performances de son équipe ont tardé à venir en ce début de saison et les Blaugrana ont déjà pris du retard sur les Merengue. C’est pourquoi, à moins de deux semaines du Clasico, les dirigeants barcelonais auraient intimé l’ordre à Rijkaard de gagner ce match sous peine de faire ses valises.
En cas de défaite, le coach hollandais pourrait donc être débarqué plus tôt que prévu et serait une opportunité rêvée pour le Bayern de le recruter gratuitement. Cependant, si jamais la piste menant à Barcelone se referme, les dirigeants bavarois penseraient à un autre entraîneur en délicate posture, Marco Van Basten. Critiqué dans son pays à cause d’une campagne de qualification à l’Euro sans gloire, nul doute que si le parcours des Oranje en Suisse ne se passait pas bien, il serait remercié.
Fort de ces deux pistes, le Bayern est maintenant en position d’attente.
TF1??? C'est un bordel de luxe pour les abrutis
Il pourrait au moins se renseigner un peu avant d'ecrire des conneries.Yo a écrit : Cependant, si jamais la piste menant à Barcelone se referme, les dirigeants bavarois penseraient à un autre entraîneur en délicate posture, Marco Van Basten. Critiqué dans son pays à cause d’une campagne de qualification à l’Euro sans gloire, nul doute que si le parcours des Oranje en Suisse ne se passait pas bien, il serait remercié.
Transfert - Pays-Bas: Van Basten quittera son poste après l'Euro
4 déc. 07
LA HAYE (AFP) — Marco Van Basten, le sélectionneur de l'équipe des Pays-Bas, a pris la décision de quitter son poste au terme de l'Euro-2008 de football, a annoncé mardi Henk Kesler, directeur général de la Fédération néerlandaise (KNVB).
Franchement, je sais pas si Hitzfeld serait un bon remplaçant pour Kuhn. Ce type est un peu dépassé côté entrainement et il a toutes les peines du monde à faire plus de 1 changements ! La preuve, aujourd'hui, il fait un seul changement à la 82ème alors que le sjoueurs enchainent les matchs et qu'ils sont creuvés sur le terrain. Il ne connaît pas du tout le turn-over ce type !
L'entraîneur du Bayern Munich, Ottmar Hitzfeld, a assuré mardi que le club bavarois était son interlocuteur privilégié en vue d'une éventuelle prolongation de son contrat en janvier.
"Il y a beaucoup de rumeurs, je ne veux pas y participer", a-t-il déclaré lors de la conférence de presse du Bayern à la veille du match contre l'Aris Salonique en Coupe de l'UEFA. Un quotidien autrichien assure mardi qu'Hitzfeld succédéra à l'Italien Giovanni Trapattoni à la tête de Salzbourg en fin de saison. "Je me suis mis d'accord avec le Bayern pour qu'on discute de l'avenir en janvier", a répété Hitzfeld, dont le contrat expire en juin.
"Le Bayern reste mon premier interlocuteur: on va faire un bilan en janvier et on verra où chacun se situe. Je prendrai ma décision et j'en informerai le Bayern", a ajouté le technicien allemand qui a succédé à Felix Magath en février dernier. L'avenir d'Hitzfeld su cite bien des interrogations en Allemagne: les dirigeants bavarois semblaient vouloir prolonger à tous prix son contrat en octobre, avant que les prestations des dernières semaines de l'équipe ne les incitent à critiquer publiquement leur entraîneur.
Hitzfeld alimente lui-même le flou en rappelant qu'il a été contacté par la fédération suisse pour diriger la sélection helvétique après l'Euro-2008: "Il y a beaucoup de rumeurs, beaucoup de possibilités aussi", a-t-il rappelé. Le Bayern a remporté pour la 16e fois de son histoire le titre honorifique de champion d'automne, mais il n'a engrangé que dix points lors de ses sept derniers matches de Bundesliga avec seulement quatre buts inscrits.
"Il y a beaucoup de rumeurs, je ne veux pas y participer", a-t-il déclaré lors de la conférence de presse du Bayern à la veille du match contre l'Aris Salonique en Coupe de l'UEFA. Un quotidien autrichien assure mardi qu'Hitzfeld succédéra à l'Italien Giovanni Trapattoni à la tête de Salzbourg en fin de saison. "Je me suis mis d'accord avec le Bayern pour qu'on discute de l'avenir en janvier", a répété Hitzfeld, dont le contrat expire en juin.
"Le Bayern reste mon premier interlocuteur: on va faire un bilan en janvier et on verra où chacun se situe. Je prendrai ma décision et j'en informerai le Bayern", a ajouté le technicien allemand qui a succédé à Felix Magath en février dernier. L'avenir d'Hitzfeld su cite bien des interrogations en Allemagne: les dirigeants bavarois semblaient vouloir prolonger à tous prix son contrat en octobre, avant que les prestations des dernières semaines de l'équipe ne les incitent à critiquer publiquement leur entraîneur.
Hitzfeld alimente lui-même le flou en rappelant qu'il a été contacté par la fédération suisse pour diriger la sélection helvétique après l'Euro-2008: "Il y a beaucoup de rumeurs, beaucoup de possibilités aussi", a-t-il rappelé. Le Bayern a remporté pour la 16e fois de son histoire le titre honorifique de champion d'automne, mais il n'a engrangé que dix points lors de ses sept derniers matches de Bundesliga avec seulement quatre buts inscrits.
TF1??? C'est un bordel de luxe pour les abrutis
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Football: Hitzfeld se prononcera en janvier
Ottmar Hitzfeld supporte très mal les critiques du président de son club et dira en janvier s'il rejoint l'équipe de Suisse, selon une interview publiée par L'Illustré. "Lorsque le président du club critique publiquement son entraîneur, le plaisir n'est plus le même. Surtout après 24 matches sans défaite. Au Bayern, les choses sont devenues irrationnelles", se plaint l'entraîneur des Munichois.
"Diriger l'équipe de Suisse m'a toujours intéressé. La Bundesliga n'est plus un combat existentiel pour moi (...). Je donnerai ma réponse en janvier", annonce Ottmar Hitzfeld.
"Je suis conscient que l'ASF ne peut pas rivaliser, question salaire, avec la Bundesliga ou un club de haut niveau. Ce ne sera cependant pas un obstacle. Je ferai les concessions qui s'imposeront", indique t-il dans l'hebdomadaire.
(ats / 19 décembre 2007 16:37)
Ottmar Hitzfeld supporte très mal les critiques du président de son club et dira en janvier s'il rejoint l'équipe de Suisse, selon une interview publiée par L'Illustré. "Lorsque le président du club critique publiquement son entraîneur, le plaisir n'est plus le même. Surtout après 24 matches sans défaite. Au Bayern, les choses sont devenues irrationnelles", se plaint l'entraîneur des Munichois.
"Diriger l'équipe de Suisse m'a toujours intéressé. La Bundesliga n'est plus un combat existentiel pour moi (...). Je donnerai ma réponse en janvier", annonce Ottmar Hitzfeld.
"Je suis conscient que l'ASF ne peut pas rivaliser, question salaire, avec la Bundesliga ou un club de haut niveau. Ce ne sera cependant pas un obstacle. Je ferai les concessions qui s'imposeront", indique t-il dans l'hebdomadaire.
(ats / 19 décembre 2007 16:37)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Beckenbauer n'exclut pas une arrivée de Mourinho au Bayern
La légende du football allemand, Franz Beckenbauer, n'exclut pas l'arrivée de Jose Mourinho au Bayern Munich pour succéder à Ottmar Hitzfeld au poste d'entraîneur à la fin de la saison 2007-08, indique-t-il dans un entretien au quotidien allemand Bild.
"Mourinho ? Pourquoi pas ? Il pourrait suivre un cours de langue (allemande) d'ici l'été", a-t-il affirmé, précisant que la décision revenait toutefois aux dirigeants du club et non au conseil de surveillance dont il assure la présidence. Le futur entraîneur du leader du Championnat devra être "un tacticien rusé, avoir déjà de l'expérience et maîtriser la langue allemande", a-t-il ajouté.
"Notre équipe a besoin d'une personnalité forte", a également relevé l'ancien champion du monde, dont les avis sont toujours très respectés en Allemagne. Le nom de Jose Mourinho, limogé de Chelsea en début de saison, revient régulièrement depuis l'annonce du départ d'Ottmar Hitzfeld, ainsi que ceux de l'ex-international allemand Lothar Matthäus et des Néerlandais Marco van Basten et Frank Rijkaard.
Le Portugais avait exclu en décembre de devenir le nouveau sélectionneur de l'équipe d'Angleterre alors qu'il était considéré comme un des favoris à la succession de Steve McClaren.
Ottmar Hitzfeld a annoncé mercredi qu'il quitterait le club bavarois en juin après seulement 16 mois passés au Bayern. Il n'a pas précisé les raisons de son départ mais il pourrait prendre la tête de la sélection suisse à l'issue de l'EURO 2008.
(ats / 04 janvier 2008 10:36)
La légende du football allemand, Franz Beckenbauer, n'exclut pas l'arrivée de Jose Mourinho au Bayern Munich pour succéder à Ottmar Hitzfeld au poste d'entraîneur à la fin de la saison 2007-08, indique-t-il dans un entretien au quotidien allemand Bild.
"Mourinho ? Pourquoi pas ? Il pourrait suivre un cours de langue (allemande) d'ici l'été", a-t-il affirmé, précisant que la décision revenait toutefois aux dirigeants du club et non au conseil de surveillance dont il assure la présidence. Le futur entraîneur du leader du Championnat devra être "un tacticien rusé, avoir déjà de l'expérience et maîtriser la langue allemande", a-t-il ajouté.
"Notre équipe a besoin d'une personnalité forte", a également relevé l'ancien champion du monde, dont les avis sont toujours très respectés en Allemagne. Le nom de Jose Mourinho, limogé de Chelsea en début de saison, revient régulièrement depuis l'annonce du départ d'Ottmar Hitzfeld, ainsi que ceux de l'ex-international allemand Lothar Matthäus et des Néerlandais Marco van Basten et Frank Rijkaard.
Le Portugais avait exclu en décembre de devenir le nouveau sélectionneur de l'équipe d'Angleterre alors qu'il était considéré comme un des favoris à la succession de Steve McClaren.
Ottmar Hitzfeld a annoncé mercredi qu'il quitterait le club bavarois en juin après seulement 16 mois passés au Bayern. Il n'a pas précisé les raisons de son départ mais il pourrait prendre la tête de la sélection suisse à l'issue de l'EURO 2008.
(ats / 04 janvier 2008 10:36)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Le Bayern continue sa balade. Il est encore en course sur les 3 tableaux, c'est vraiment fou !
Après avoir gagné la coupe de la ligue, il nous reste l'UEFA, le championnat et la Coupe. Un quadruplé en vue ?
En UEFA, on a pas forcé, maintenant Anderlecht, une équipe vraiment à notre portée, ca devrait passer sans trop de problèmes.
En Championnat, suite à la défaite du Werder et de Schalke ( quel but au passage du Bayer !
), le Bayern a la possibilité de porter son avance à 6 points s'il bat demain Hambourg à domicile, ce qui nous donnerait plus de liberté !
En Coupe, après une grosse frayeur au premier tour, nous voilà en 1/4 de finale. Un magnifique derby bavarois décidera de notre suite de parcours ! Bayern-TSV Munich à ne pas manquer, ce mercredi à 20H30 !
Après avoir gagné la coupe de la ligue, il nous reste l'UEFA, le championnat et la Coupe. Un quadruplé en vue ?
En UEFA, on a pas forcé, maintenant Anderlecht, une équipe vraiment à notre portée, ca devrait passer sans trop de problèmes.
En Championnat, suite à la défaite du Werder et de Schalke ( quel but au passage du Bayer !
), le Bayern a la possibilité de porter son avance à 6 points s'il bat demain Hambourg à domicile, ce qui nous donnerait plus de liberté !En Coupe, après une grosse frayeur au premier tour, nous voilà en 1/4 de finale. Un magnifique derby bavarois décidera de notre suite de parcours ! Bayern-TSV Munich à ne pas manquer, ce mercredi à 20H30 !
Vraiment un triste gaillard ce Van Bommel :
Honteux Van Bommel. Le Néerlandais prend un jaune pour un tacle limite sur Van der Vaart. Il se fend ensuite d'un bras d'honneur qui lui vaut un rouge mérité. C'est un comportement indigne à ce niveau.
[pris sur eurosport.fr]
Van Bommel avait déjà fait un bras d'honneur en Champions League contre le Real, il y a quelques années. Ce genre de comportement, c'est tout simplement scandaleux. Une lourde sanction serait pas injuste pour ce multi-récidiviste.
J'ai trouvé un texte pour ceux qui veulent mieux cerner le type:
L’intolérable Van Bommel
Joueur aux qualités reconnues et au joli palmarès, Mark Van Bommel incarne pourtant tous les vices du footballeur. Il est sans conteste l’un des joueurs les plus détestables et détestés dans le monde du ballon rond.
Pour atteindre un tel niveau d’antipathie, le Néerlandais s’est doté d’un bel attirail. De la simulation au tacle par derrière, du crachat au bras d’honneur, le Batave dispose d’une panoplie de gestes antisportifs impressionnante. Tout au long de sa carrière, il a pris un malin plaisir à se faire remarquer par des frasques toutes les plus stupides ou méchantes, les unes que les autres. Outre les plongeons et autres tirages de maillots, finalement anodins, Van Bommel use aussi régulièrement de sa salive pour insulter son vis-à-vis ou lui cracher au visage. Le bad boy n’hésite pas non plus à souvent se servir de sa semelle. Non pas pour contrôler le ballon, mais pour tatouer ses adversaires de l’empreinte de ses crampons ; une sorte de coutume chez lui.
Si le footballeur, triple champion des Pays-Bas avec le PSV Eindhoven, champion d’Espagne et vainqueur de la Ligue des Champions avec le Barça, n’est pas mauvais, l’être humain, lui, l’est. La récente double confrontation entre le Bayern Munich et le Real Madrid en huitième de finale de la Ligue des Champions fut d’ailleurs l’exemple parfait du paradoxe Van Bommel. Au match aller, alors que son équipe est menée 3-1 en terre espagnole, l’athlétique milieu de terrain munichois (1m87, 85 kg) réduit la marque d’une superbe demi-volée du droit. Un but très précieux dans l’optique du match retour qui va être fêté à sa juste valeur par l’ex-Barcelonais. En effet, Van Bommel va alors exprimer toute sa classe en adressant au public du stade Santiago Bernabeu un somptueux bras d’honneur. L’illustration parfaite du bonhomme, capable du meilleur avec ce but de toute beauté, comme du pire avec ce geste inqualifiable. Deux semaines plus tard, le Hollandais se chamaille comme un gamin avec Mahamadou Diarra pour être le mieux placé avant un penalty madrilène. L’idiote brouille vaut aux deux joueurs de se faire expulser. Cette énième démonstration d’infantilisme coûtera à Van Bommel sa participation au prochain quart de finale de C1 face au Milan AC. Et ses antécédents sont nombreux, on peut par exemple citer le fameux match opposant le Portugal aux Pays-Bas à la dernière Coupe du Monde. Lors de ce 8e de finale, le sale gosse a encore une fois été le premier à déclencher les hostilités en écopant d’un carton jaune dès la 3e minute de jeu pour un vilain tacle sur Cristiano Ronaldo, la perle lusitanienne. Le match va alors dégénérer, Van Bommel se retrouvera même un peu plus tard tête contre tête avec Luis Figo, l’autre star portugaise. Mais étonnement, le Néerlandais passera entre les mailles du filet dans cette partie très heurtée, marquée par 16 cartons jaunes et quatre expulsions, rien que ça ! Van Bommel peut toutefois se targuer d’avoir été celui qui a mis le feu au poudre, certainement une fierté pour ce pourrisseur né.
Tricheur, râleur et provocateur de génie, le complet milieu de terrain batave collectionne les tares. Sa lourde frappe de balle peut faire lever les foules, mais malheureusement, la plupart du temps, c’est en salissant le football que Van Bommel s‘illustre. Jamais sanctionné pour une longue durée, le multirécidiviste est pourtant un très mauvais exemple. Exécutant des gestes à la limite du supportable et adoptant un comportement inapproprié sur le rectangle vert, la brute transpire la haine et véhicule les plus intolérables images du plus médiatique des sports. Par ses actes d’antijeu et ses coups à répétition, le Bavarois incarne les fléaux du foot à l’heure où l’on lutte contre la violence dans les stades et que l’on prône le fair-play sur le terrain. Honte à vous Monsieur Van Bommel !
Honteux Van Bommel. Le Néerlandais prend un jaune pour un tacle limite sur Van der Vaart. Il se fend ensuite d'un bras d'honneur qui lui vaut un rouge mérité. C'est un comportement indigne à ce niveau.
[pris sur eurosport.fr]
Van Bommel avait déjà fait un bras d'honneur en Champions League contre le Real, il y a quelques années. Ce genre de comportement, c'est tout simplement scandaleux. Une lourde sanction serait pas injuste pour ce multi-récidiviste.
J'ai trouvé un texte pour ceux qui veulent mieux cerner le type:
L’intolérable Van Bommel
Joueur aux qualités reconnues et au joli palmarès, Mark Van Bommel incarne pourtant tous les vices du footballeur. Il est sans conteste l’un des joueurs les plus détestables et détestés dans le monde du ballon rond.
Pour atteindre un tel niveau d’antipathie, le Néerlandais s’est doté d’un bel attirail. De la simulation au tacle par derrière, du crachat au bras d’honneur, le Batave dispose d’une panoplie de gestes antisportifs impressionnante. Tout au long de sa carrière, il a pris un malin plaisir à se faire remarquer par des frasques toutes les plus stupides ou méchantes, les unes que les autres. Outre les plongeons et autres tirages de maillots, finalement anodins, Van Bommel use aussi régulièrement de sa salive pour insulter son vis-à-vis ou lui cracher au visage. Le bad boy n’hésite pas non plus à souvent se servir de sa semelle. Non pas pour contrôler le ballon, mais pour tatouer ses adversaires de l’empreinte de ses crampons ; une sorte de coutume chez lui.
Si le footballeur, triple champion des Pays-Bas avec le PSV Eindhoven, champion d’Espagne et vainqueur de la Ligue des Champions avec le Barça, n’est pas mauvais, l’être humain, lui, l’est. La récente double confrontation entre le Bayern Munich et le Real Madrid en huitième de finale de la Ligue des Champions fut d’ailleurs l’exemple parfait du paradoxe Van Bommel. Au match aller, alors que son équipe est menée 3-1 en terre espagnole, l’athlétique milieu de terrain munichois (1m87, 85 kg) réduit la marque d’une superbe demi-volée du droit. Un but très précieux dans l’optique du match retour qui va être fêté à sa juste valeur par l’ex-Barcelonais. En effet, Van Bommel va alors exprimer toute sa classe en adressant au public du stade Santiago Bernabeu un somptueux bras d’honneur. L’illustration parfaite du bonhomme, capable du meilleur avec ce but de toute beauté, comme du pire avec ce geste inqualifiable. Deux semaines plus tard, le Hollandais se chamaille comme un gamin avec Mahamadou Diarra pour être le mieux placé avant un penalty madrilène. L’idiote brouille vaut aux deux joueurs de se faire expulser. Cette énième démonstration d’infantilisme coûtera à Van Bommel sa participation au prochain quart de finale de C1 face au Milan AC. Et ses antécédents sont nombreux, on peut par exemple citer le fameux match opposant le Portugal aux Pays-Bas à la dernière Coupe du Monde. Lors de ce 8e de finale, le sale gosse a encore une fois été le premier à déclencher les hostilités en écopant d’un carton jaune dès la 3e minute de jeu pour un vilain tacle sur Cristiano Ronaldo, la perle lusitanienne. Le match va alors dégénérer, Van Bommel se retrouvera même un peu plus tard tête contre tête avec Luis Figo, l’autre star portugaise. Mais étonnement, le Néerlandais passera entre les mailles du filet dans cette partie très heurtée, marquée par 16 cartons jaunes et quatre expulsions, rien que ça ! Van Bommel peut toutefois se targuer d’avoir été celui qui a mis le feu au poudre, certainement une fierté pour ce pourrisseur né.
Tricheur, râleur et provocateur de génie, le complet milieu de terrain batave collectionne les tares. Sa lourde frappe de balle peut faire lever les foules, mais malheureusement, la plupart du temps, c’est en salissant le football que Van Bommel s‘illustre. Jamais sanctionné pour une longue durée, le multirécidiviste est pourtant un très mauvais exemple. Exécutant des gestes à la limite du supportable et adoptant un comportement inapproprié sur le rectangle vert, la brute transpire la haine et véhicule les plus intolérables images du plus médiatique des sports. Par ses actes d’antijeu et ses coups à répétition, le Bavarois incarne les fléaux du foot à l’heure où l’on lutte contre la violence dans les stades et que l’on prône le fair-play sur le terrain. Honte à vous Monsieur Van Bommel !
LE BAYERN MUNCHEN REMPORTE SA 14ème COUPE D'ALLEMAGNE
C'est entendu, le Bayern Munich avait la faveur du pronostic face au Borussia Dortmund qu'il avait étrillé la semaine dernière en Bundesliga (5-0). Mais les Bavarois ont dû batailler ferme pour accrocher une quatorzième Coupe d'Allemagne à leur palmarès grâce à un but décisif de Luca Toni dans la prolongation (2-1). L'attaquant italien avait déjà signé l'ouverture du score en début de rencontre sur un centre de Franck Ribéry - son quatrième doublé consécutif toute compétitions confondues ! Les deux hommes s'offrent leur premier titre sous leurs nouvelles couleurs, la deuxième coupe nationale pour le Français après celle remportée en Turquie en 2005 avec Galatasaray. Loin encore des quatre finales gagnées en Bavière par Willy Sagnol, rentré en fin de match (86e).
Au stade olympique de Berlin, là même ou Italiens et Français s'étaient affrontés en finale de Coupe du monde en 2006, le Bayern Muncih s'est fait peur. Idéalement satellisés par le but de Luca Toni dès la 11e minute de jeu, les Munichois pouvaient croire à une finale pavée de roses. Il n'en a rien été, le Borussia, sans victoire en Coupe depuis 1989, s'ingéniant à contrarier les leaders de la Bundesliga. Alexander Frei aurait même pu obtenir un penalty mais la faute de la défense rouge et blanche était annulée par une position hors-jeu de l'ancien Rennais (35e). Miroslav Klose s'essayait plusieurs fois de la tête mais ratait le cadre ou butait sur Marc Ziegler, le portier du Borussia. A force de ne pas savoir se mettre à l'abri, le Bayern s'exposait à un coup de Jarnac. Il arriva dans le temps additionnel sous la forme d'un ballon cafouillé dans la surface d'Oliver Kahn et poussé au fond des filets par l'attaquant croate du Borussia Malden Patric (1-1, 90e+2). Tout était à refaire.
La délivrance est donc venue de Luca Toni, l'homme en forme du Bayern qui détorunait dans le but de Ziegler un tir de Podolski (103e). Dortmund, malgré ses efforts, ne parvenait pas à rééditer sa suprise du chef et terminait même à dix suite à l'expulsion de Blaszczykowski (deuxième jaune, 109e). Avec le gain de la Coupe, Ottmar Hitzfeld réalise la première partie de son rêve : quitter le Bayern (pour la sélection suisse) sur un triplé. Pour la Bundesliga, les Munichois sont bien partis (dix points d'avance sur le Werder Brême). Qualifiés in extremis pour les demi-finales de la Coupe de l'UEFA contre Getafe, Ribéry et les siens seront opposés au Zenith Saint-Petersbourg les 24 avril et 1er mai. Les tombeurs de l'Olympique de Marseille sont prévenus. L'histoire est en marche ![/b]
C'est entendu, le Bayern Munich avait la faveur du pronostic face au Borussia Dortmund qu'il avait étrillé la semaine dernière en Bundesliga (5-0). Mais les Bavarois ont dû batailler ferme pour accrocher une quatorzième Coupe d'Allemagne à leur palmarès grâce à un but décisif de Luca Toni dans la prolongation (2-1). L'attaquant italien avait déjà signé l'ouverture du score en début de rencontre sur un centre de Franck Ribéry - son quatrième doublé consécutif toute compétitions confondues ! Les deux hommes s'offrent leur premier titre sous leurs nouvelles couleurs, la deuxième coupe nationale pour le Français après celle remportée en Turquie en 2005 avec Galatasaray. Loin encore des quatre finales gagnées en Bavière par Willy Sagnol, rentré en fin de match (86e).
Au stade olympique de Berlin, là même ou Italiens et Français s'étaient affrontés en finale de Coupe du monde en 2006, le Bayern Muncih s'est fait peur. Idéalement satellisés par le but de Luca Toni dès la 11e minute de jeu, les Munichois pouvaient croire à une finale pavée de roses. Il n'en a rien été, le Borussia, sans victoire en Coupe depuis 1989, s'ingéniant à contrarier les leaders de la Bundesliga. Alexander Frei aurait même pu obtenir un penalty mais la faute de la défense rouge et blanche était annulée par une position hors-jeu de l'ancien Rennais (35e). Miroslav Klose s'essayait plusieurs fois de la tête mais ratait le cadre ou butait sur Marc Ziegler, le portier du Borussia. A force de ne pas savoir se mettre à l'abri, le Bayern s'exposait à un coup de Jarnac. Il arriva dans le temps additionnel sous la forme d'un ballon cafouillé dans la surface d'Oliver Kahn et poussé au fond des filets par l'attaquant croate du Borussia Malden Patric (1-1, 90e+2). Tout était à refaire.
La délivrance est donc venue de Luca Toni, l'homme en forme du Bayern qui détorunait dans le but de Ziegler un tir de Podolski (103e). Dortmund, malgré ses efforts, ne parvenait pas à rééditer sa suprise du chef et terminait même à dix suite à l'expulsion de Blaszczykowski (deuxième jaune, 109e). Avec le gain de la Coupe, Ottmar Hitzfeld réalise la première partie de son rêve : quitter le Bayern (pour la sélection suisse) sur un triplé. Pour la Bundesliga, les Munichois sont bien partis (dix points d'avance sur le Werder Brême). Qualifiés in extremis pour les demi-finales de la Coupe de l'UEFA contre Getafe, Ribéry et les siens seront opposés au Zenith Saint-Petersbourg les 24 avril et 1er mai. Les tombeurs de l'Olympique de Marseille sont prévenus. L'histoire est en marche ![/b]
Ca irait mieux comme ca...ssee a écrit :LE FC TONI REMPORTE SA 14ème COUPE D'ALLEMAGNE
C'est entendu, le Bayern Munich avait la faveur du pronostic face au Borussia Dortmund qu'il avait étrillé la semaine dernière en Bundesliga (5-0). Mais les Bavarois ont dû batailler ferme pour accrocher une quatorzième Coupe d'Allemagne à leur palmarès grâce à un but décisif de Luca Toni dans la prolongation (2-1). L'attaquant italien avait déjà signé l'ouverture du score en début de rencontre sur un centre de Franck Ribéry - son quatrième doublé consécutif toute compétitions confondues ! Les deux hommes s'offrent leur premier titre sous leurs nouvelles couleurs, la deuxième coupe nationale pour le Français après celle remportée en Turquie en 2005 avec Galatasaray. Loin encore des quatre finales gagnées en Bavière par Willy Sagnol, rentré en fin de match (86e).
Au stade olympique de Berlin, là même ou Italiens et Français s'étaient affrontés en finale de Coupe du monde en 2006, le Bayern Muncih s'est fait peur. Idéalement satellisés par le but de Luca Toni dès la 11e minute de jeu, les Munichois pouvaient croire à une finale pavée de roses. Il n'en a rien été, le Borussia, sans victoire en Coupe depuis 1989, s'ingéniant à contrarier les leaders de la Bundesliga. Alexander Frei aurait même pu obtenir un penalty mais la faute de la défense rouge et blanche était annulée par une position hors-jeu de l'ancien Rennais (35e). Miroslav Klose s'essayait plusieurs fois de la tête mais ratait le cadre ou butait sur Marc Ziegler, le portier du Borussia. A force de ne pas savoir se mettre à l'abri, le Bayern s'exposait à un coup de Jarnac. Il arriva dans le temps additionnel sous la forme d'un ballon cafouillé dans la surface d'Oliver Kahn et poussé au fond des filets par l'attaquant croate du Borussia Malden Patric (1-1, 90e+2). Tout était à refaire.
La délivrance est donc venue de Luca Toni, l'homme en forme du Bayern qui détorunait dans le but de Ziegler un tir de Podolski (103e). Dortmund, malgré ses efforts, ne parvenait pas à rééditer sa suprise du chef et terminait même à dix suite à l'expulsion de Blaszczykowski (deuxième jaune, 109e). Avec le gain de la Coupe, Ottmar Hitzfeld réalise la première partie de son rêve : quitter le Bayern (pour la sélection suisse) sur un triplé. Pour la Bundesliga, les Munichois sont bien partis (dix points d'avance sur le Werder Brême). Qualifiés in extremis pour les demi-finales de la Coupe de l'UEFA contre Getafe, Ribéry et les siens seront opposés au Zenith Saint-Petersbourg les 24 avril et 1er mai. Les tombeurs de l'Olympique de Marseille sont prévenus. L'histoire est en marche ![/b]
SEULEMENT SION !
Ribéry m'impressionne tout autant voire plus.ItAlIa_RePrEzAnTe a écrit :Ca irait mieux comme ca...ssee a écrit :LE FC TONI REMPORTE SA 14ème COUPE D'ALLEMAGNE
C'est entendu, le Bayern Munich avait la faveur du pronostic face au Borussia Dortmund qu'il avait étrillé la semaine dernière en Bundesliga (5-0). Mais les Bavarois ont dû batailler ferme pour accrocher une quatorzième Coupe d'Allemagne à leur palmarès grâce à un but décisif de Luca Toni dans la prolongation (2-1). L'attaquant italien avait déjà signé l'ouverture du score en début de rencontre sur un centre de Franck Ribéry - son quatrième doublé consécutif toute compétitions confondues ! Les deux hommes s'offrent leur premier titre sous leurs nouvelles couleurs, la deuxième coupe nationale pour le Français après celle remportée en Turquie en 2005 avec Galatasaray. Loin encore des quatre finales gagnées en Bavière par Willy Sagnol, rentré en fin de match (86e).
Au stade olympique de Berlin, là même ou Italiens et Français s'étaient affrontés en finale de Coupe du monde en 2006, le Bayern Muncih s'est fait peur. Idéalement satellisés par le but de Luca Toni dès la 11e minute de jeu, les Munichois pouvaient croire à une finale pavée de roses. Il n'en a rien été, le Borussia, sans victoire en Coupe depuis 1989, s'ingéniant à contrarier les leaders de la Bundesliga. Alexander Frei aurait même pu obtenir un penalty mais la faute de la défense rouge et blanche était annulée par une position hors-jeu de l'ancien Rennais (35e). Miroslav Klose s'essayait plusieurs fois de la tête mais ratait le cadre ou butait sur Marc Ziegler, le portier du Borussia. A force de ne pas savoir se mettre à l'abri, le Bayern s'exposait à un coup de Jarnac. Il arriva dans le temps additionnel sous la forme d'un ballon cafouillé dans la surface d'Oliver Kahn et poussé au fond des filets par l'attaquant croate du Borussia Malden Patric (1-1, 90e+2). Tout était à refaire.
La délivrance est donc venue de Luca Toni, l'homme en forme du Bayern qui détorunait dans le but de Ziegler un tir de Podolski (103e). Dortmund, malgré ses efforts, ne parvenait pas à rééditer sa suprise du chef et terminait même à dix suite à l'expulsion de Blaszczykowski (deuxième jaune, 109e). Avec le gain de la Coupe, Ottmar Hitzfeld réalise la première partie de son rêve : quitter le Bayern (pour la sélection suisse) sur un triplé. Pour la Bundesliga, les Munichois sont bien partis (dix points d'avance sur le Werder Brême). Qualifiés in extremis pour les demi-finales de la Coupe de l'UEFA contre Getafe, Ribéry et les siens seront opposés au Zenith Saint-Petersbourg les 24 avril et 1er mai. Les tombeurs de l'Olympique de Marseille sont prévenus. L'histoire est en marche ![/b]
Coupe de l'UEFA: le Zenit Saint-Pétersbourg corrige le Bayern Munich
Le Zenit Saint-Pétersbourg a créé la surprise jeudi en infligeant une correction au Bayern Munich (4-0) qui lui a permis de décrocher son premier billet pour la finale de la Coupe de l'UEFA, qui l'opposera aux Glasgow Rangers le 14 mai à Manchester.
Les Rangers ont eu besoin de la séance des tirs au but (4-2) pour faire la différence contre la Fiorentina après un match aussi verrouillé au retour qu'à l'aller (0-0).
L'élimination du Bayern, c'est la grande surprise de cette C3. Les Bavarois étaient en course pour un fabuleux triplé. Ils ne pourront donc savourer au mieux que le doublé Coupe d'Allemagne (déjà en leur possession) et Championnat (virtuellement dans leur escarcelle). Grands favoris de l'épreuve, ils se sont fait deux fois des frayeurs, en quart de finale aller et demi-finale aller, à chaque fois contraints au nul 1-1 chez eux. Le retour en quart contre Getafe (3-3 a.p. au retour) avait été somptueux.
La demi-finale retour face au Zenit a tourné à l'humiliation (4-0). Franck Ribéry, qui n'avait pas oublié que le Zenit avait éliminé Marseille, le club de son coeur, dans cette épreuve, a des raisons d'être frustré. Luca Toni n'a pas non plus pu inverser la tendance. Le Bayern avait déjà gagné la C3 en 1996. Oliver Kahn part donc sur un échec européen. Willy Sagnol, écarté pour avoir critiqué son entraîneur, a au moins échappé à cette désillusion en terre russe.
Le Zenit Saint-Pétersbourg a créé la surprise jeudi en infligeant une correction au Bayern Munich (4-0) qui lui a permis de décrocher son premier billet pour la finale de la Coupe de l'UEFA, qui l'opposera aux Glasgow Rangers le 14 mai à Manchester.
Les Rangers ont eu besoin de la séance des tirs au but (4-2) pour faire la différence contre la Fiorentina après un match aussi verrouillé au retour qu'à l'aller (0-0).
L'élimination du Bayern, c'est la grande surprise de cette C3. Les Bavarois étaient en course pour un fabuleux triplé. Ils ne pourront donc savourer au mieux que le doublé Coupe d'Allemagne (déjà en leur possession) et Championnat (virtuellement dans leur escarcelle). Grands favoris de l'épreuve, ils se sont fait deux fois des frayeurs, en quart de finale aller et demi-finale aller, à chaque fois contraints au nul 1-1 chez eux. Le retour en quart contre Getafe (3-3 a.p. au retour) avait été somptueux.
La demi-finale retour face au Zenit a tourné à l'humiliation (4-0). Franck Ribéry, qui n'avait pas oublié que le Zenit avait éliminé Marseille, le club de son coeur, dans cette épreuve, a des raisons d'être frustré. Luca Toni n'a pas non plus pu inverser la tendance. Le Bayern avait déjà gagné la C3 en 1996. Oliver Kahn part donc sur un échec européen. Willy Sagnol, écarté pour avoir critiqué son entraîneur, a au moins échappé à cette désillusion en terre russe.
Code : Tout sélectionner
http://www.liberation.fr/actualite/sports/324256.FR.php
Déçu par le non-match fait par le Bayern ! On annoncait que le plus important match depuis 7 ans allait avoir lieu et on a eu droit à la plus grosse honte depuis 7 ans ! Hitzfeld l'avait annoncé, bref, rien de bien est arrivé !
Le score reflète cependant pas beaucoup le match, on a été maladroit et peu intelligent, tout le contraire des russes qui ont tout bien fait et avec un réalisme énorme ! Notamment Progrebnyak (?) !!
Enfin, un Fiorentina-Bayern aurait été pas mal, surtout avec un duel avec son ancien club pour Toni !
Sinon, Toni va peut-être battre un record en inscrivant le plus de but pour le bayern en une saison ! Pas mal pour une première saison non ?
Le score reflète cependant pas beaucoup le match, on a été maladroit et peu intelligent, tout le contraire des russes qui ont tout bien fait et avec un réalisme énorme ! Notamment Progrebnyak (?) !!
Enfin, un Fiorentina-Bayern aurait été pas mal, surtout avec un duel avec son ancien club pour Toni !
Sinon, Toni va peut-être battre un record en inscrivant le plus de but pour le bayern en une saison ! Pas mal pour une première saison non ?
Le Bayern champion d'Allemagne
C'était annoncé depuis le début de la saison : le Bayern Munich a retrouvé son titre de championnat d'Allemagne. Sans surprise, les Bavarois, qui avaient frappé fort lors de la période des transferts pour revenir au top, ont décrochéle 21e sacre national de leur histoire.
Toute l'Allemagne n'attendait que cela. Depuis l'été dernier, les parieurs de la Bundesliga avaient tous misé sur un nouveau sacre du Bayern Munich. Pas une grande prise de risque. La figure de proue du football allemand avait mis les petits plats dans les grands dès l'été. Agacé après avoir signé sa pire saison depuis 1995 soldée par une piteuse quatrième place, l'ogre bavarois avait frappé fort lors de la campagne de recrutement. Très fort. 70 millions d'euros dépensés. Rien que cela. Histoire d'attirer dans ses filets Luca Toni (Fiorentina), Miroslav Klose (Werder Brême) et surtout Franck Ribéry. Histoire surtout de revenir très vite sur le devant de la scène.
Avec sa pléiade de stars, on ne voyait pas vraiment ce qui pouvait empêcher le Bayern d'empocher un 21e titre national. Le seul risque ? Que la mayonnaise ne prenne pas. Que le FC Hollywood reprenne ses droits et oublie de jouer en équipe sur la pelouse. Mais voilà, l'expérimenté Ottmar Hitzfeld n'a pas manqué sa mission. Aux commandes de cette formidable armada, l'entraîneur bavarois aux deux victoires en Ligue des Champions (1997, 2001) a su trouver la bonne alchimie. Sa plus grande réussite ? L'intégration des trois grandes recrues estivales.
Des recrues vite redoutables
Malgré la pression d'être le plus gros transfert de l'histoire du Bayern... et de la Bundesliga (26 millions d'euros), Franck Ribéry s'est tout de suite intégré. Ses accélérations ont fait des ravages devant les lourds défenseurs allemands. Sa bonne humeur permanente a enchanté tous les Bavarois. Et une "Ribérymania" s'est même installée sur les bords de l'Isar. "C'est une merveille. Tout ce qu'il fait pour nous, c'est tout simplement merveilleux. L'énergie dont recèle son petit gabarit, c'est tout simplement fou, incroyable", s'est réjouit Uli Hoeness, le manager général dans un entretien au magazine Sport Bild paru mercredi. Mais, Ribéry n'est pas la seule belle trouvaille du Bayern.
Luca Toni, qui a vite été aussi efficace qu'en Italie (21 buts) pour former l'un des duos les plus prolifiques d'Europe avec Miroslav Klose, n'a pas été en reste. "La politique de transfert a porté ses fruits", s'amuse Franz Beckenbauer, le président du conseil de surveillance du Bayern Munich. Résultat : dès la première journée, le Bayern a trusté la premier place pour ne jamais la lâcher. Une performance que seulement trois équipes ont réussie dans l'histoire de la Bundesliga. Les deux autres étaient le... Bayern en 1972/1973 et 1984/1985. Malgré une petite baisse de régime en hiver, certains coups de gueule d'Oliver Kahn, le Bayern a donc retrouvé son statut. Et de belle manière. A trois journées du terme de la saison, le club bavarois, déjà vainqueur de la Coupe d'Allemagne et de la Coupe de la Ligue, s'offre un sans-faute dans ses compétitions domestiques.
Vivement la C1
Cette belle saison restera pourtant marquée par une grande désillusion. Et pas des moindres. Souverains dans leur pays, les Bavarois ont échoué dans la quête d'un titre continental en Coupe de l'UEFA. Avec une déroute contre le Zénit Saint-Pétersbourg en demi-finale de la C3 (1-1, 0-4) qui, pour bien des observateurs, a terni une saison presque parfaite. "Il faut arrêter de dire que le Bayern n'a plus aucun poids sur la scène internationale, nous étions fatigués, un point c'est tout", s'est emporté Uli Hoeness. Mais l'essentiel est ailleurs. Le Bayern est redevenu maitre sur ses terres. Et retrouvera la Ligue des Champions la saison prochaine.
Une nouvelle page de l'histoire du Bayern s'écrira alors. Sans son mythique gardien "Vul-kahn" qui prend sa retraite après avoir brandi pour la huitième fois de sa carrière le "Schale", le trophée remis au champion. Et sans Ottmar Hitzfeld qui quitte le Bayern en fin de saison pour diriger la sélection suisse. Mais avec Jürgen Klinsmann sur le banc. L'ancien sélectionneur de la Nationalmannschaft aura la lourde tâche de guider le Bayern pour ses retrouvailles avec la compétition la plus importante aux yeux des dirigeants bavarois. "La Ligue des champions, c'est vraiment notre catégorie", a admis Hoeness. Toute l'Allemagne n'attend que ça...
Voilà, c'est aujourd'hui qu'a eu lieu la fête à Munich, le départ du Général et du Titan. Que c'était beau, Hitz a pleuré en début de match alors que kahn n'a jamais été aussi ému... C'est par un carton 4-1 que l'on finit une magnifique saison synonyme de renouveau !
C'était annoncé depuis le début de la saison : le Bayern Munich a retrouvé son titre de championnat d'Allemagne. Sans surprise, les Bavarois, qui avaient frappé fort lors de la période des transferts pour revenir au top, ont décrochéle 21e sacre national de leur histoire.
Toute l'Allemagne n'attendait que cela. Depuis l'été dernier, les parieurs de la Bundesliga avaient tous misé sur un nouveau sacre du Bayern Munich. Pas une grande prise de risque. La figure de proue du football allemand avait mis les petits plats dans les grands dès l'été. Agacé après avoir signé sa pire saison depuis 1995 soldée par une piteuse quatrième place, l'ogre bavarois avait frappé fort lors de la campagne de recrutement. Très fort. 70 millions d'euros dépensés. Rien que cela. Histoire d'attirer dans ses filets Luca Toni (Fiorentina), Miroslav Klose (Werder Brême) et surtout Franck Ribéry. Histoire surtout de revenir très vite sur le devant de la scène.
Avec sa pléiade de stars, on ne voyait pas vraiment ce qui pouvait empêcher le Bayern d'empocher un 21e titre national. Le seul risque ? Que la mayonnaise ne prenne pas. Que le FC Hollywood reprenne ses droits et oublie de jouer en équipe sur la pelouse. Mais voilà, l'expérimenté Ottmar Hitzfeld n'a pas manqué sa mission. Aux commandes de cette formidable armada, l'entraîneur bavarois aux deux victoires en Ligue des Champions (1997, 2001) a su trouver la bonne alchimie. Sa plus grande réussite ? L'intégration des trois grandes recrues estivales.
Des recrues vite redoutables
Malgré la pression d'être le plus gros transfert de l'histoire du Bayern... et de la Bundesliga (26 millions d'euros), Franck Ribéry s'est tout de suite intégré. Ses accélérations ont fait des ravages devant les lourds défenseurs allemands. Sa bonne humeur permanente a enchanté tous les Bavarois. Et une "Ribérymania" s'est même installée sur les bords de l'Isar. "C'est une merveille. Tout ce qu'il fait pour nous, c'est tout simplement merveilleux. L'énergie dont recèle son petit gabarit, c'est tout simplement fou, incroyable", s'est réjouit Uli Hoeness, le manager général dans un entretien au magazine Sport Bild paru mercredi. Mais, Ribéry n'est pas la seule belle trouvaille du Bayern.
Luca Toni, qui a vite été aussi efficace qu'en Italie (21 buts) pour former l'un des duos les plus prolifiques d'Europe avec Miroslav Klose, n'a pas été en reste. "La politique de transfert a porté ses fruits", s'amuse Franz Beckenbauer, le président du conseil de surveillance du Bayern Munich. Résultat : dès la première journée, le Bayern a trusté la premier place pour ne jamais la lâcher. Une performance que seulement trois équipes ont réussie dans l'histoire de la Bundesliga. Les deux autres étaient le... Bayern en 1972/1973 et 1984/1985. Malgré une petite baisse de régime en hiver, certains coups de gueule d'Oliver Kahn, le Bayern a donc retrouvé son statut. Et de belle manière. A trois journées du terme de la saison, le club bavarois, déjà vainqueur de la Coupe d'Allemagne et de la Coupe de la Ligue, s'offre un sans-faute dans ses compétitions domestiques.
Vivement la C1
Cette belle saison restera pourtant marquée par une grande désillusion. Et pas des moindres. Souverains dans leur pays, les Bavarois ont échoué dans la quête d'un titre continental en Coupe de l'UEFA. Avec une déroute contre le Zénit Saint-Pétersbourg en demi-finale de la C3 (1-1, 0-4) qui, pour bien des observateurs, a terni une saison presque parfaite. "Il faut arrêter de dire que le Bayern n'a plus aucun poids sur la scène internationale, nous étions fatigués, un point c'est tout", s'est emporté Uli Hoeness. Mais l'essentiel est ailleurs. Le Bayern est redevenu maitre sur ses terres. Et retrouvera la Ligue des Champions la saison prochaine.
Une nouvelle page de l'histoire du Bayern s'écrira alors. Sans son mythique gardien "Vul-kahn" qui prend sa retraite après avoir brandi pour la huitième fois de sa carrière le "Schale", le trophée remis au champion. Et sans Ottmar Hitzfeld qui quitte le Bayern en fin de saison pour diriger la sélection suisse. Mais avec Jürgen Klinsmann sur le banc. L'ancien sélectionneur de la Nationalmannschaft aura la lourde tâche de guider le Bayern pour ses retrouvailles avec la compétition la plus importante aux yeux des dirigeants bavarois. "La Ligue des champions, c'est vraiment notre catégorie", a admis Hoeness. Toute l'Allemagne n'attend que ça...
Voilà, c'est aujourd'hui qu'a eu lieu la fête à Munich, le départ du Général et du Titan. Que c'était beau, Hitz a pleuré en début de match alors que kahn n'a jamais été aussi ému... C'est par un carton 4-1 que l'on finit une magnifique saison synonyme de renouveau !