FC Sion 4 ever

Naples remporte une finale de Coupe d'Italie marquée par des blessés par balle
Le Monde.fr avec AFP | 04.05.2014 à 00h16 • Mis à jour le 04.05.2014 à 10h59

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Naples a remporté samedi 3 mai à Rome, contre la Fiorentina (3-1), une finale de Coupe d'Italie très tendue, après la grave blessure par balle d'un tifosi napolitain en marge du match.
Le match a commencé avec trois quarts d'heure de retard, le temps de pacifier la situation dans la tribune des supporteurs du Napoli en colère. La nouvelle que trois tifosi du Napoli avaient été blessés par balles, dont un grièvement, s'est vite propagée, et a enflammé le virage Nord où étaient massés les Napolitains : fumigènes, bombes agricoles et grève des banderoles.

La préfecture de Rome a communiqué en assurant que « l'agression ne semblait pas liée à des affrontements entre tifosi ».

LE MATCH A TENU SES PROMESSES

La finale a tenu ses promesses entre deux équipes réputées pour leur beau jeu. Le capitaine Marek Hamsik, parti parlementer avec les capi (chefs) ultras de se son club pour les calmer, sait aussi jouer au football : au bout de sa chevauchée pour remonter la balle il a servi Lorenzo Insigne dont l'intérieur du droit enroulé a trouvé le poteau avant de rentrer : un but magnifique (11e). Le Slovaque s'est racheté sur ces deux gestes d'une saison en deçà de sa valeur.


Insigne, l'enfant du pays, a signé le doublé sur une nouvelle contre-attaque, cette fois portée par Gonzalo Higuain (16e).

Mais la Fiorentina de Vincenzo Montella ne s'est pas démontée et a réduit le score par Juan Manuel Vargas, servi par une délicieuse aile de pigeon de Josip Ilicic (27e).

La « Viola », qui s'est présentée sans attaquant de métier, n'a fait entré Giuseppe Rossi que pour les vingt dernières minutes, après quatre mois loin des terrains à cause d'une nouvelle blessure au genou.

Goran Pandev, entré à la place d'Higuain, a manqué une balle de match en perdant un face-à-face avec Neto (74e). L'exclusion de Gökhan Inler (second avertissement, 78e) a encore accentué la pression sur le Napoli, mais Ilicic, si brillant une heure plus tôt, a dévoré la balle de prolongation sur un service de Matias Fernandez (84e). Le Belge Mertens a puni cette erreur dans les dernières secondes (90e + 3).

Ce dernier acte a finalement récompensé la force montante du football italien, le Napoli du producteur de cinéma Aurelio De Laurentiis, homme d'affaires avisé, capable d'attirer des acteurs majeurs tels que Rafael Benitez sur le banc, et Higuain à la pointe de l'attaque. Trois fois en Ligue des champions ces quatre dernières saisons, Naples a remporté sa deuxième Coppa Italia après celle de 2012, avec Edinson Cavani, désormais au PSG.

La Fiorentina n'a pas réussi à remporter le premier trophée de l'ère des frères Della Valle, les propriétaires, mais a réussi une belle saison (4e en Serie A) avec pourtant ses deux attaquants, Rossi et Mario Gomez, plus souvent blessés que sur le terrain.

Au coup de sifflet final, des tifosi napolitains ont envahi la pelouse, contraignant leurs propres joueurs à filer au vestiaire. Ils sont allés provoquer les Florentins et ont arraché le filet, avant de regagner les tribunes aux appels du speaker. Une finale mouvementée.

Au coup de sifflet final, des tifosi napolitains ont envahi la pelouse, contraignant leurs propres joueurs à filer au vestiaire.


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Réaction d'un lecteur..

Alphonse 04/05/2014 - 12h13
Dommage que dans l'article on oublie de mentionner que le match a été quand meme joué suite aux pourparlers que la police a entretenu avec le chef de Ultras "Gigino a' carogna" (!!!) (Gigi la charogne) apparemment fils d'un membre de la Camorra, qui portait un t-shirt demandant la libération d'un autre ultras, condamné pour l'assassinat d'un policier (!!!) Voilà qui détient le pouvoir en Italie!

Les affrontements qu'il y a eu en Italie ben ça n'a rien à voir par rapport aux 2-3 casses qu'il y a eu à Berne....

Les ultras laissent s'approcher le capitaine Hamsik avant de repousser toute la plèbe journalistique et sécuritaire à coup de pétards et fumigènes....



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Une finale de la Coupe d'Italie dans le sang et le chaos

"Tifoso" dans un état critique, inculpation pour tentative de meurtre, lancers de fumigènes sur les pompiers: le "calcio" a montré samedi son pire visage à Rome lors de la finale de la Coupe d'Italie Naples-Fiorentina (3-1). Ces violences ont indigné l'Italie dimanche.

Les heurts dans le Stade Olympique de Rome ont commencé avant le match, lorsque les Napolitains massés dans la tribune nord ont lancé des fumigènes et des bombes agricoles sur la pelouse, blessant un pompier. Ces incidents ont entraÎné un report du coup d'envoi de 45 minutes, après une médiation des autorités.

Les débordements ont repris dès le coup de sifflet final, pour l'essentiel à environ 300 mètres du stade. Le service d'ordre a été complètement dépassé. Trois supporters de Naples ont été blessés dont l'un d'eux, a été gravement touché.

Une balle lui a perforé un poumon avant de se loger près de la colonne vertébrale. Son état était jugé "désespéré", selon une source médicale de l'agence l'Ansa citée dimanche matin.

Roué de coups
C'est un homme connu des autorités, identifié comme un "ultra" de l'AS Rome (qui ne participait pas au match) qui aurait tiré des coups de feu en direction des "tifosi" napolitains. Roué de coups après son geste, selon la "Gazzetta dello sport", et hospitalisé pour une fracture de la jambe, il a été inculpé de "tentative d'homicide".

Par ailleurs, l'image du capitaine du "Napoli", le Slovaque Marek Hamsik, parlementant avec le "capo" (chef) des Mastiffs, un des plus importants groupes d'ultras du Napoli, a fait le tour du pays. "Ce n'est pas un tifoso qui décide si un match se joue ou pas", a tonné le président du club de Naples, Aurelio De Laurentiis.

Violences condamnées
Dimanche matin, les condamnations pleuvaient en Italie. "Un match de foot ne peut pas se transformer en guerre entre bandes", a estimé le président du Sénat, Pietro Grasso, présent au match comme le président du Conseil, Matteo Renzi.

Pour le maire de la Ville Eternelle, Ignazio Marino, ces incidents "intolérables ont gâché la fête. Rome et le pays ne méritent pas d'être ainsi outragés".

(ats / 04.05.2014 13h53)

nufc a écrit :Une finale de la Coupe d'Italie dans le sang et le chaos

"Tifoso" dans un état critique, inculpation pour tentative de meurtre, lancers de fumigènes sur les pompiers: le "calcio" a montré samedi son pire visage à Rome lors de la finale de la Coupe d'Italie Naples-Fiorentina (3-1). Ces violences ont indigné l'Italie dimanche.

Les heurts dans le Stade Olympique de Rome ont commencé avant le match, lorsque les Napolitains massés dans la tribune nord ont lancé des fumigènes et des bombes agricoles sur la pelouse, blessant un pompier. Ces incidents ont entraÎné un report du coup d'envoi de 45 minutes, après une médiation des autorités.

Les débordements ont repris dès le coup de sifflet final, pour l'essentiel à environ 300 mètres du stade. Le service d'ordre a été complètement dépassé. Trois supporters de Naples ont été blessés dont l'un d'eux, a été gravement touché.

Une balle lui a perforé un poumon avant de se loger près de la colonne vertébrale. Son état était jugé "désespéré", selon une source médicale de l'agence l'Ansa citée dimanche matin.

Roué de coups
C'est un homme connu des autorités, identifié comme un "ultra" de l'AS Rome (qui ne participait pas au match) qui aurait tiré des coups de feu en direction des "tifosi" napolitains. Roué de coups après son geste, selon la "Gazzetta dello sport", et hospitalisé pour une fracture de la jambe, il a été inculpé de "tentative d'homicide".

Par ailleurs, l'image du capitaine du "Napoli", le Slovaque Marek Hamsik, parlementant avec le "capo" (chef) des Mastiffs, un des plus importants groupes d'ultras du Napoli, a fait le tour du pays. "Ce n'est pas un tifoso qui décide si un match se joue ou pas", a tonné le président du club de Naples, Aurelio De Laurentiis.

Violences condamnées
Dimanche matin, les condamnations pleuvaient en Italie. "Un match de foot ne peut pas se transformer en guerre entre bandes", a estimé le président du Sénat, Pietro Grasso, présent au match comme le président du Conseil, Matteo Renzi.

Pour le maire de la Ville Eternelle, Ignazio Marino, ces incidents "intolérables ont gâché la fête. Rome et le pays ne méritent pas d'être ainsi outragés".

(ats / 04.05.2014 13h53)

Une phrase où l'on peut remplacer Rome par Berne.

Journée de la honte en Italie

Comme ça le football va mourir.............. gazzetta

http://www.blick.ch/sport/fussball/inte ... 31676.html

Un article qui change un peu de la grosse désinformation de la majorité des médias :

http://www.lagrinta.fr/la-verite-sur-le ... poli&7245/

et pour les italophones :

http://www.sportpeople.net/la-finale-de ... zzo-morto/

Reste que c'est une honte pour le football!!

Après accusé la presse de désinformation............. c'est les arguments des dictatures en principe...

Si on laisse aller il n'y aura plus que des mecs en noirs cagoulés.......

nestor clausen a écrit :Reste que c'est une honte pour le football!!

Après accusé la presse de désinformation............. c'est les arguments des dictatures en principe...

Si on laisse aller il n'y aura plus que des mecs en noirs cagoulés.......

Dans le mesure où la presse ne vérifie pas ses sources et raconte les rumeurs les plus farfelues sans dire la vérité, oui elle désinforme. Elle cherche plus à faire scandale pour écouler quelques tirages de plus que de réellement faire un travail d'information/investigation. Mais ca, c'est un constat pour la grande majorité des journaux à l'heure actuelle...

C'est une généralité, méchant policier, affreux journaliste....... Facile........ quand ça nous arrange.

mais les gars en noires qui se battent avec des barres de fers près du tunnel c'est un photomontage????

Le supporter napolitain qui a s'est fait tiré dessus, qui luttait pour sa survie, c'est une invention journalistique...........

Je dis juste d'essayer de comprendre mieux. Parce que là on joue encore à l'émotionnel où les gens lisent juste le titre et en font des théories.

"Les gars en noir" J'adore toujours ce genre d'expression. On a pas le droit d'être habillé en noir ? Si ils étaient en blanc, ils seraient d'office pacifiste ?

Bref, ca me fait c**** de débattre avec toi parce que t'as même pas lu le lien que j'ai posté de la Grinta qui démontre parfaitement ce que les journalistes font.

Et pour Ciro, le supporter blessé, les policiers sont allés le cueillir à l'hôpital alors qu'il était encore dans un état inquiétant. Que de braves hommes ces policiers..

Marat' a écrit :Je dis juste d'essayer de comprendre mieux. Parce que là on joue encore à l'émotionnel où les gens lisent juste le titre et en font des théories.

"Les gars en noir" J'adore toujours ce genre d'expression. On a pas le droit d'être habillé en noir ? Si ils étaient en blanc, ils seraient d'office pacifiste ?

Bref, ca me fait c**** de débattre avec toi parce que t'as même pas lu le lien que j'ai posté de la Grinta qui démontre parfaitement ce que les journalistes font.

Et pour Ciro, le supporter blessé, les policiers sont allés le cueillir à l'hôpital alors qu'il était encore dans un état inquiétant. Que de braves hommes ces policiers..

Si tu considère les articles des journaliste comme étant totalement orienté et manipulé, comment arrives-tu à considérer la Grinta comme une source d'info fiable, neutre et objective?
Autant je suis d'accord avec toi pour ce qui est de lire les journaux avec un regard critique, autant j'ai de la peine à prendre tes référence plus au sérieux que les écris du matin vu que sur le site en question, il n'y a absolument aucune informations sur les rédacteurs des articles de ce site.
Cela serait un site édité par un mvt d'extreme droite ou d'extreme gauche (pure fiction de ma part) qui utilise le foot pour manipuler les opinions de ceux que le lisent que cela serait exactement la même chose.

Tout simplement pour ça :

Une situation impensable, combinaison d’un grand n’importe quoi à l’italienne, qui prend naissance à la suite d’une somme d’erreurs. Distinguons d’une part la légèreté de la presse transalpine (puis française) dans son traitement de l’information, mais également d’autre part, la légèreté des pouvoirs publics au moment d’encadrer le bon déroulement d’événements sportifs.

La presse italienne d’abord. Aux environs de 18 heures, les premiers incidents entre tifosi sont signalés. Rapidement, les brèves se répandent sur la toile. Quelques minutes plus tard, les informations évoluent: plusieurs Napolitains auraient été blessés par balle. Le mal est fait. La presse italienne annonce que ces coups de feu font suite à une rixe entre Florentins et Napolitains. Les incidents sont immédiatement imputés aux ultras des deux camps. Nouvelle dépêche. Il ne s’agirait pas en réalité d’ultras de la Fiorentina, mais d’ultras de la Lazio. Erratum, énième correction, il s’agirait in fine d’ultras de la Roma et du Hellas. Schizophrénie. Parallèlement, certains médias commencent à annoncer la mort d’un supporter napolitain. Les réseaux sociaux font le reste. La rumeur enfle, sans que l’on ne sache vraiment la part de vrai ou de faux, jusqu’à parvenir aux fans déjà présents au stade. Pour la suite que l’on connaît.

Ensuite pour la Grinta, c'est un site spécialisé sur le foot et ses supporters. Je ne connais pas les rédacteurs mais ils semblent bien connaître la réalité du terrain. Bien sûr ils défendent les droits de supporters et ils ont un parti pris, mais dans de nombreux cas ils rétablissent certains faits que les médias omettent de parler. Personnellement, je prends toujours avec des pincettes les articles des médias "mainstream".

Marat' a écrit :"Les gars en noir" J'adore toujours ce genre d'expression. On a pas le droit d'être habillé en noir ? Si ils étaient en blanc, ils seraient d'office pacifiste ?

déchu oui... Qui interdit aux gens de s'habiller en noir? Je le suis souvent. La différence je ne vais me battre (avec des barres en métal ou autres) avec le premier venu car il est différent, qu'il supporte un autre club, etc.
Savoir rester civilisé ou, encore plus simplement, être humain et ne pas agir et réagir comme des sauvages ou des animaux, ça aide dans ce monde de brutes.

Et pis en noir (avec capuche et cagoule pour se cacher) pour aller supporter un club qui joue en rouge et blanc ou autres? Mouaif...

Tu le dis toi même ils ont un parti pris!! et en plus c'est anonyme!!!!! alors tu as bien résumé.

Mais bon ce qui m'a choqué c'est ce tir de pistolet sur ce jeune supporter napolitain, après que le tireur soit un supporter de la Roma

certainement vu qu'il a été arrêté, l'habit noir n'est pas important , mais ces barres de fer, cette fusillade..........

Comme le dit l'article et aussi la "grinta" que j'ai lu, c'est un jour de honte.

Et voici les derniers développements, par Rinaldo Frignani, l'hypothèse d'un commando de ultras de la Roma

http://roma.corriere.it/notizie/cronaca ... 414c.shtml


http://roma.corriere.it/notizie/cronaca ... 4fc3.shtml

5 ans de DASPO (IDS) pour Genny, le capo napolitain. Motif, son t-shirt "Speziale libero". Quand on sait plus quoi faire pour anéantir la liberté d'expression, voilà ce qui arrive. Saleté d'état policier.

Tu as de nouveau tout faux, bon c'est triste mais tu es un habitué. A jouer les révolutionnaires de salon.

http://roma.corriere.it/notizie/cronaca ... 4fc3.shtml

J'adore, le type ne doit pas capter un mot de rital et me sort un article qui n'a absolument rien à voir.

"La culture c'est comme la confiture..."

Si tu m'adores sache que ce n'est pas réciproque, et pour ma compréhension de l'italien, tu repasseras.

Mais tu vois tu n'es pas très franc, tu cites un article qui se veut la vérité..... mais la suite semble leur donné tort et tu n'as même pas l'élégance de le relever alors tu passes autres choses..... tu fuis, lâchement..........


Tu joues les révolutionnaires de salon, mais essaie d'être franc tu en sortiras grandi

Ahahah mais génial. Tout ce que je dis c'est que le capo napolitain a reçu une DASPO de 5 ans pour avoir porté le t-shirt Speziale libero. Je sais pas pourquoi tu me ressors ton article en bois. Essaie de relire, ou demande de l'aide à quelqu'un si tu ne parviens pas à comprendre un texte. Aujourd'hui si tu arbores un t-shirt "Speziale libero" tu risques une interdiction de stade de plusieurs années. Plus grosse l'atteinte à liberté d'expression tu peux pas. Pendant ce temps-là certains flics applaudissent sans vergogne leurs collègues assassins de longues minutes durant lors d'un congrès.

Bref, la bise du révolutionnaire de salon.

Essaie, de te relire avant de changer de sujet...... tu parlais de désinformation de la presse..... et citait ton site de référence....

tu t'en souviens plus, c'est sûrement un hasard.



Bon je te laisse à tes incohérences...........

Ciro esposito est décéde. RIP

Suite aux incidents d'avant match d la coupe d'Italie.