32nd America's Cup
32nd America's Cup
Un post consacré à la future victoire de l'équipage du SUI 100
Quels sont dans ce pays les projets porteurs d’énergie et de créativité? Les événements capables de fédérer l’ensemble des Suisses? Oubliez le désastre d’Expo.02 ou de Sion 2006! Ne vous réjouissez pas trop vite d’un Eurofoot 2008 bien mal emmanché! Quant aux enjeux politiques, un bref coup d’œil sur la participation aux dernières votations fédérales aura tôt fait de vous refroidir…
Heureusement, à la veille d’emmener vos familles sur les plages de l’été, il y a Alinghi et la coupe de l’America. Bien sûr, d’aucuns ironiseront sur les fastes de cette compétition de milliardaires. Ou minimiseront l’envergure de l’industriel Ernesto Bertarelli, rappelant autour d’une table de bistrot qu’il doit tout ou presque à son père, et qu’après tout, il n’est pas si Suisse que ça. Ils ont tout faux!
Car le professionnalisme – reconnu à l’étranger – avec lequel l’équipe Bertarelli a repensé et réorganisé cet événement planétaire est une preuve éclatante de la santé du label swiss made. Ce n’est donc pas un hasard si UBS s’affiche au côté d’Alinghi sur les cinq continents. Si l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne et ses jeunes chercheurs sont un partenaire majeur du team suisse. Si nos chantiers navals figurent parmi les meilleurs. Si nos horlogers ont conquis Valence: Audemars Piguet avec l’équipe helvétique, Girard-Perregaux avec Oracle, Omega avec Team New Zealand, TAG Heuer avec China Team ou Hublot avec Luna Rossa. Pourquoi bouder notre plaisir? Le savoir-faire et l’esprit d’entreprise suisses sont toujours des atouts gagnants, n’en déplaise aux spécialistes de la Schadenfreude qui préfèrent brocarder systématiquement la Suisse qui perd.
Pays lacustre, la Confédération n’accueillera certes jamais le plus vieux trophée sportif du monde et ses 4 milliards de retombées pour la région organisatrice. Mais si Alinghi devait conserver l’aiguière d’argent, et si nos professionnels du tourisme daignaient enfin se réveiller,
la Suisse pourrait parfaitement capter une partie non négligeable des 2 milliards de retombées touristiques générés par la Cup.
Quels sont dans ce pays les projets porteurs d’énergie et de créativité? Les événements capables de fédérer l’ensemble des Suisses? Oubliez le désastre d’Expo.02 ou de Sion 2006! Ne vous réjouissez pas trop vite d’un Eurofoot 2008 bien mal emmanché! Quant aux enjeux politiques, un bref coup d’œil sur la participation aux dernières votations fédérales aura tôt fait de vous refroidir…
Heureusement, à la veille d’emmener vos familles sur les plages de l’été, il y a Alinghi et la coupe de l’America. Bien sûr, d’aucuns ironiseront sur les fastes de cette compétition de milliardaires. Ou minimiseront l’envergure de l’industriel Ernesto Bertarelli, rappelant autour d’une table de bistrot qu’il doit tout ou presque à son père, et qu’après tout, il n’est pas si Suisse que ça. Ils ont tout faux!
Car le professionnalisme – reconnu à l’étranger – avec lequel l’équipe Bertarelli a repensé et réorganisé cet événement planétaire est une preuve éclatante de la santé du label swiss made. Ce n’est donc pas un hasard si UBS s’affiche au côté d’Alinghi sur les cinq continents. Si l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne et ses jeunes chercheurs sont un partenaire majeur du team suisse. Si nos chantiers navals figurent parmi les meilleurs. Si nos horlogers ont conquis Valence: Audemars Piguet avec l’équipe helvétique, Girard-Perregaux avec Oracle, Omega avec Team New Zealand, TAG Heuer avec China Team ou Hublot avec Luna Rossa. Pourquoi bouder notre plaisir? Le savoir-faire et l’esprit d’entreprise suisses sont toujours des atouts gagnants, n’en déplaise aux spécialistes de la Schadenfreude qui préfèrent brocarder systématiquement la Suisse qui perd.
Pays lacustre, la Confédération n’accueillera certes jamais le plus vieux trophée sportif du monde et ses 4 milliards de retombées pour la région organisatrice. Mais si Alinghi devait conserver l’aiguière d’argent, et si nos professionnels du tourisme daignaient enfin se réveiller,
la Suisse pourrait parfaitement capter une partie non négligeable des 2 milliards de retombées touristiques générés par la Cup.
Modifié en dernier par faramir le 27.06.2007 16:50, modifié 1 fois.
Les avis c'est comme les trous de balle, tout le monde en a un.
arrête avec des clichés! La Suisse se porte très bien merci pour elleQuels sont dans ce pays les projets porteurs d’énergie et de créativité? Les événements capables de fédérer l’ensemble des Suisses? Oubliez le désastre d’Expo.02 ou de Sion 2006! Ne vous réjouissez pas trop vite d’un Eurofoot 2008 bien mal emmanché! Quant aux enjeux politiques, un bref coup d’œil sur la participation aux dernières votations fédérales aura tôt fait de vous refroidir…

LA SUISSE EST MA PATRIE, LE VALAIS MON PAYS
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Et tu te bases sur quoi pour dire ça ? Tu veux citer des projets actuels porteurs d'énergie et de créativité ? Personnellement je n'en vois pas beaucoup.IlMaestro a écrit :arrête avec des clichés! La Suisse se porte très bien merci pour elleQuels sont dans ce pays les projets porteurs d’énergie et de créativité? Les événements capables de fédérer l’ensemble des Suisses? Oubliez le désastre d’Expo.02 ou de Sion 2006! Ne vous réjouissez pas trop vite d’un Eurofoot 2008 bien mal emmanché! Quant aux enjeux politiques, un bref coup d’œil sur la participation aux dernières votations fédérales aura tôt fait de vous refroidir…
je trouve dommage cette façon de toujours critiquer les choses (désastre expo.02, Sion 2006 ou Euro 08) pour mettre en valeur une activité (en l'occurence ici Alinghi).Et tu te bases sur quoi pour dire ça ? Tu veux citer des projets actuels porteurs d'énergie et de créativité ? Personnellement je n'en vois pas beaucoup.
ce que réussit Alinghi est tout simplement phénoménal (


LA SUISSE EST MA PATRIE, LE VALAIS MON PAYS
Cholololo !Miriam a écrit :C'est tiré de l'édito du Poubelliste si jamais... Même pô capable de citer ses sources...
Miriam est de retour !
Voui tu pourrais au moins dire que ce que tu écris viens du nouvelliste ! Un peu facile ca de faire croire que c'est toi-même qui a écrit ça.
Cela dit je suis impatient de voir cette fameuse coupe de l'america commencer ! Ca risque d'être chaud chaud chaud comme duel entre le bateau néo-zélandais et le bateau du reste du monde (alinghi).
« Maradona good, Pelé better, Georges best »
Ce n'était pas mon but... Tout simplement un oubli de mentionner ma sourceIlluvatar a écrit :Cholololo !Miriam a écrit :C'est tiré de l'édito du Poubelliste si jamais... Même pô capable de citer ses sources...
Miriam est de retour !
Voui tu pourrais au moins dire que ce que tu écris viens du nouvelliste ! Un peu facile ca de faire croire que c'est toi-même qui a écrit ça.
Les avis c'est comme les trous de balle, tout le monde en a un.
Sion2006 n'a pas été un désastre au niveau de l'organisation ou quoi que ce soit. c'est la faute au CIO. et là, on n'y peut rien.
Quant à l'Euro 2008 qui serait mal emmanché? Il faudra qu'on m'explique! Au stade actuel, on est plus avancé que l'Euro2004 l'a été à un an de l'évenement.
Difficile de critiquer objectivement qqch qui n'a pas encore eu lieu....
Bref, ici ce n'est pas le débat euro-JO contre Alinghi.
Mais je me réjouis de cette coupe et surtout... j'espère qu'elel reste en europe
Quant à l'Euro 2008 qui serait mal emmanché? Il faudra qu'on m'explique! Au stade actuel, on est plus avancé que l'Euro2004 l'a été à un an de l'évenement.
Difficile de critiquer objectivement qqch qui n'a pas encore eu lieu....
Bref, ici ce n'est pas le débat euro-JO contre Alinghi.
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La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
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Alinghi pèche par un mauvais calcul
Un virement de bord trop rapide coûte une confortable avance (et la victoire) au Défi suisse. La compétition pourra-t-elle être serrée jusqu'au bout?
Thomas Dayer - 24/06/2007
Le Matin
«Ces bateaux-là n'auront jamais suffisamment de différence pour réparer une erreur faite sur le bateau.» Avant le début du Match, Ernesto Bertarelli l'avait répété. Hier, Alinghi l'a expérimenté. «On a bien régaté durant les trois quarts de la course, lance-t-il. Mais au deuxième bord de près, nous avons manqué notre dernier croisement qui est le plus important.» Deux paramètres ont alors joué à plein.
1. Le vent. Alors que le Défi suisse se trouvait sur la droite, «une grosse bascule est arrivée par la gauche», explique Ernesto Bertarelli. Plus globalement, les conditions ont été difficilement maîtrisables hier. «C'était une journée difficile avec beaucoup de sautes de vent», confirme le patron du syndicat suisse. Samedi, lors de la première journée, des vents de 13 noeuds avaient été mesurés, accouchant de vagues turbulentes. Hier en revanche, tant les airs (8-10 noeuds) que la mer sont restés plus tranquilles. Dans ces conditions légères, «NZL92» a démontré de belles compétences.
2. Des erreurs de jugement. «À la fin du deuxième bord de près, nous avons viré une longueur trop tôt», lance Ernesto Bertarelli. «Nous n'avons pas placé le bateau à la bonne position, confirme le skipper Brad Butterworth. Si nous avions attendu encore un peu pour virer de bord, la vie aurait été plus facile.» Ce mauvais calcul s'est avéré coûteux pour Alinghi, déporté au-delà de la layline (terrain de jeu virtuel). Mais il aura eu un excellent mérite: celui de mettre en lumière le facteur humain. «C'est la preuve que la vitesse du bateau ne suffit pas pour vous amener systématiquement à la victoire», sourit Ernesto Bertarelli.
Cette bêtise aura déchiré la copie conforme de la veille entrevue en début de course, avec un «SUI100» très rapide pouvant rapidement s'appuyer sur une confortable avance. «C'était un moment déprimant de les voir être encore devant alors que nous étions bien partis», rigole Ray Davies, stratégiste d'un Team New Zealand qui a finalement pu profiter d'une erreur d'Alinghi. «C'est notre première défaite en Coupe de l'America, j'espère que ce sera la dernière», sourit Ernesto Bertarelli.
Fin de série pour Brad Butterworth
Le skipper du défi suisse n'avait pas perdu une seule régate dans le Match depuis 1995. «Oh, mais vous savez, j'ai perdu beaucoup de courses en douze ans!» Brad Butterworth, si plaisantin, est presque gêné. Alors qu'Alinghi vient de concéder sa première défaite en Coupe de l'America, tout le monde lui rappelle qu'il n'avait plus perdu une seule régate dans le Match depuis 1995.
16 victoires, c'était sans doute assez. La série s'est arrêtée hier à Valence. Le stratégiste des «Kiwis» Ray Davies n'a pas manqué d'adresser ses chaleureuses félicitations au skipper et tacticien pour cette impressionnante performance. En fait, c'est tout le «top 5» néo-zélandais d'Alinghi qui les mérite: Brad Butterworth donc, mais aussi Murray Jones, Dean Phipps, Simon Daubney et Warwick Fleury. Cinq gars considérés comme les disciplines de... Russell Coutts. Pas impossible d'ailleurs que tout ce petit monde se retrouve lors de la prochaine Coupe de l'America.
Résultats
2e manche: Team New Zealand bat Alinghi avec 28 secondes d'avance. Les deux syndicats sont à égalité 1-1.
Alinghi et Team New Zealand sont à égalité 1-1
Prochain rendez-vous demain à 15 h pour la Troisième régate
Un virement de bord trop rapide coûte une confortable avance (et la victoire) au Défi suisse. La compétition pourra-t-elle être serrée jusqu'au bout?
Thomas Dayer - 24/06/2007
Le Matin
«Ces bateaux-là n'auront jamais suffisamment de différence pour réparer une erreur faite sur le bateau.» Avant le début du Match, Ernesto Bertarelli l'avait répété. Hier, Alinghi l'a expérimenté. «On a bien régaté durant les trois quarts de la course, lance-t-il. Mais au deuxième bord de près, nous avons manqué notre dernier croisement qui est le plus important.» Deux paramètres ont alors joué à plein.
1. Le vent. Alors que le Défi suisse se trouvait sur la droite, «une grosse bascule est arrivée par la gauche», explique Ernesto Bertarelli. Plus globalement, les conditions ont été difficilement maîtrisables hier. «C'était une journée difficile avec beaucoup de sautes de vent», confirme le patron du syndicat suisse. Samedi, lors de la première journée, des vents de 13 noeuds avaient été mesurés, accouchant de vagues turbulentes. Hier en revanche, tant les airs (8-10 noeuds) que la mer sont restés plus tranquilles. Dans ces conditions légères, «NZL92» a démontré de belles compétences.
2. Des erreurs de jugement. «À la fin du deuxième bord de près, nous avons viré une longueur trop tôt», lance Ernesto Bertarelli. «Nous n'avons pas placé le bateau à la bonne position, confirme le skipper Brad Butterworth. Si nous avions attendu encore un peu pour virer de bord, la vie aurait été plus facile.» Ce mauvais calcul s'est avéré coûteux pour Alinghi, déporté au-delà de la layline (terrain de jeu virtuel). Mais il aura eu un excellent mérite: celui de mettre en lumière le facteur humain. «C'est la preuve que la vitesse du bateau ne suffit pas pour vous amener systématiquement à la victoire», sourit Ernesto Bertarelli.
Cette bêtise aura déchiré la copie conforme de la veille entrevue en début de course, avec un «SUI100» très rapide pouvant rapidement s'appuyer sur une confortable avance. «C'était un moment déprimant de les voir être encore devant alors que nous étions bien partis», rigole Ray Davies, stratégiste d'un Team New Zealand qui a finalement pu profiter d'une erreur d'Alinghi. «C'est notre première défaite en Coupe de l'America, j'espère que ce sera la dernière», sourit Ernesto Bertarelli.
Fin de série pour Brad Butterworth
Le skipper du défi suisse n'avait pas perdu une seule régate dans le Match depuis 1995. «Oh, mais vous savez, j'ai perdu beaucoup de courses en douze ans!» Brad Butterworth, si plaisantin, est presque gêné. Alors qu'Alinghi vient de concéder sa première défaite en Coupe de l'America, tout le monde lui rappelle qu'il n'avait plus perdu une seule régate dans le Match depuis 1995.
16 victoires, c'était sans doute assez. La série s'est arrêtée hier à Valence. Le stratégiste des «Kiwis» Ray Davies n'a pas manqué d'adresser ses chaleureuses félicitations au skipper et tacticien pour cette impressionnante performance. En fait, c'est tout le «top 5» néo-zélandais d'Alinghi qui les mérite: Brad Butterworth donc, mais aussi Murray Jones, Dean Phipps, Simon Daubney et Warwick Fleury. Cinq gars considérés comme les disciplines de... Russell Coutts. Pas impossible d'ailleurs que tout ce petit monde se retrouve lors de la prochaine Coupe de l'America.
Résultats
2e manche: Team New Zealand bat Alinghi avec 28 secondes d'avance. Les deux syndicats sont à égalité 1-1.
Alinghi et Team New Zealand sont à égalité 1-1
Prochain rendez-vous demain à 15 h pour la Troisième régate
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3ème régate
quelqu'un sait ou on peut suivre les régates en live sur le net...hormis avec l'animation graphique à deux balles mise à dispo généreusement par ernesto et ses sbires?
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en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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http://www.americascup.org/fr/mad max a écrit :3ème régate
quelqu'un sait ou on peut suivre les régates en live sur le net...hormis avec l'animation graphique à deux balles mise à dispo généreusement par ernesto et ses sbires?
Contre les supporters modernes qui prennent en otage et tuent le football
18.02.16 antoinette : "Belle équipe ce Braga"

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merci, j'avais vu ca...
me demandais si il n'y avait pas un truc un peu plus élaboré et gratuit, voir des images tv gratos en live.
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en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
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En tout cas jamais il ne sera autant bien organisé que celui de 2004 et dire que la Suisse est considérée comme un pays riche et le portugal un pays pauvre et pourtant la suisse construit des stades a tout juste 30 000 places alors qu au portugal tout les stades avait une capacité plus haute que 35 000 places et meme 120 000 pour celui de la finalMystik a écrit :Sion2006 n'a pas été un désastre au niveau de l'organisation ou quoi que ce soit. c'est la faute au CIO. et là, on n'y peut rien.
Quant à l'Euro 2008 qui serait mal emmanché? Il faudra qu'on m'explique! Au stade actuel, on est plus avancé que l'Euro2004 l'a été à un an de l'évenement.
Difficile de critiquer objectivement qqch qui n'a pas encore eu lieu....
Bref, ici ce n'est pas le débat euro-JO contre Alinghi.
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C'était pas 250'000 place le stade de la finale????Tourbillonator a écrit :En tout cas jamais il ne sera autant bien organisé que celui de 2004 et dire que la Suisse est considérée comme un pays riche et le portugal un pays pauvre et pourtant la suisse construit des stades a tout juste 30 000 places alors qu au portugal tout les stades avait une capacité plus haute que 35 000 places et meme 120 000 pour celui de la finalMystik a écrit :Sion2006 n'a pas été un désastre au niveau de l'organisation ou quoi que ce soit. c'est la faute au CIO. et là, on n'y peut rien.
Quant à l'Euro 2008 qui serait mal emmanché? Il faudra qu'on m'explique! Au stade actuel, on est plus avancé que l'Euro2004 l'a été à un an de l'évenement.
Difficile de critiquer objectivement qqch qui n'a pas encore eu lieu....
Bref, ici ce n'est pas le débat euro-JO contre Alinghi.
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http://zattoo.com/mad max a écrit :merci, j'avais vu ca...
me demandais si il n'y avait pas un truc un peu plus élaboré et gratuit, voir des images tv gratos en live.
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Nouvelle erreur d'Alinghi lors du dernier bord
Les suisses sont menés 2-1 mais ont montré de belles choses aujourd'hui en remontant notament un retard de 300m. ( = 1mn30)

Les suisses sont menés 2-1 mais ont montré de belles choses aujourd'hui en remontant notament un retard de 300m. ( = 1mn30)
<<Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.>>
Le défi suisse laisse échapper la troisième régate contre Team New Zealand au terme d'une journée spectaculaire. Dans des conditions de vent instables et difficiles, «SUI100» avait fait le plus difficile en rattrapant un retard insurmontable. Et puis tout a fondu dans le dernier bord
«Ils ont fait ce qu'ils ont pu!» Christian Scherrer, navigant zurichois consultant sur la télévision suisse-alémanique, abonde dans le sens général: «Dans de telles conditions de vent, il est super difficile de couvrir (réd.: tourner systématiquement en fonction de l'adversaire pour le contrôler). Je dirais surtout qu'ils ont fait un boulot incroyable de remonter dans un premier temps!» Alinghi n'a-t-il donc pas fauté dans le dernier bord au portant? N'était-il pas possible de mieux se défendre et de préserver l'avance acquise? «Peut-être avons-nous mal évalué le plan d'eau», reconnaît le directeur sportif Jochen Schuemann. La journée d'hier aura en tout cas accouché d'une certitude facilement compréhensible: Alinghi a perdu sa deuxième régate dans le Match de la Coupe de l'America au terme d'un après-midi fou, fou, fou, bourré de rebondissements. Du coup, le défi suisse se retrouve mené (2-1).
Les airs instables ont rendu la tâche extrêmement difficile aux tacticiens. Dans ce domaine, Team New Zealand a systématiquement choisi les meilleures options. Ou les a gracieusement acceptées, comme au départ, où le défi suisse lui a laissé la droite du plan d'eau, plus favorable. Dans le deuxième bord sous spi, Alinghi est tombé en panne sèche de vent sur son côté tandis que les «Kiwis» filaient gaiement vers la victoire. «Aujourd'hui, les conditions météo étaient plus proches d'un Bol d'Or que d'une Coupe de l'America», peste Ernesto Bertarelli avec raison. Bon, on récapitule: c'est la faute au vent. Mais au moins le terrain de jeu naturel (le même pour tout le monde, au passage) aura-t-il permis aux spectateurs d'assister à un show truffé de suspense et d'images fortes. Un navigant de Team New Zealand a même manqué de peu de passer à la flotte alors que «NZL92» enroulait la porte sous le vent et que le spi était affalé.
À l'heure de l'interview, le skipper néo-zélandais Brad Butterworth - d'habitude si plaisantin - a eu la pudeur d'apparaître affecté par le résultat du jour. Entonner la marche funèbre serait toutefois démesuré. Aujourd'hui, les conditions de vent devraient favoriser le défi suisse. Qui n'a pas intérêt à s'étaler, sans quoi il risque de ruminer durant une bonne partie de son jour de repos, demain.
Ernesto Bertarelli: «Je me suis bien amusé!»
«Bienvenue à Las Vegas! Choisirez-vous le rouge ou le noir?» Après la régate d'hier, Ernesto Bertarelli a pimenté ses interviews de piques à l'attention du comité de course. «Il a fallu deux heures pour donner un départ alors qu'il ne s'est jamais établi, lâche le patron du défi suisse. Je ne sais pas pourquoi ils l'ont donné, je dois avouer. Mais bon, vous savez, quant à moi, je me suis bien amusé. (Sourire.)» Tout l'avantage brûlé sous spi sur le dernier bord ne semble pas davantage avoir affecté le milliardaire. «On a bien régaté, sourit-il même. Nous avons adopté le comportement normal pour retourner vers la layline. Quant au départ, nous n'avons pas d'indications pour la gauche ou la droite. Non, globalement, je reste confiant pour la suite.»
source Le Matin
«Ils ont fait ce qu'ils ont pu!» Christian Scherrer, navigant zurichois consultant sur la télévision suisse-alémanique, abonde dans le sens général: «Dans de telles conditions de vent, il est super difficile de couvrir (réd.: tourner systématiquement en fonction de l'adversaire pour le contrôler). Je dirais surtout qu'ils ont fait un boulot incroyable de remonter dans un premier temps!» Alinghi n'a-t-il donc pas fauté dans le dernier bord au portant? N'était-il pas possible de mieux se défendre et de préserver l'avance acquise? «Peut-être avons-nous mal évalué le plan d'eau», reconnaît le directeur sportif Jochen Schuemann. La journée d'hier aura en tout cas accouché d'une certitude facilement compréhensible: Alinghi a perdu sa deuxième régate dans le Match de la Coupe de l'America au terme d'un après-midi fou, fou, fou, bourré de rebondissements. Du coup, le défi suisse se retrouve mené (2-1).
Les airs instables ont rendu la tâche extrêmement difficile aux tacticiens. Dans ce domaine, Team New Zealand a systématiquement choisi les meilleures options. Ou les a gracieusement acceptées, comme au départ, où le défi suisse lui a laissé la droite du plan d'eau, plus favorable. Dans le deuxième bord sous spi, Alinghi est tombé en panne sèche de vent sur son côté tandis que les «Kiwis» filaient gaiement vers la victoire. «Aujourd'hui, les conditions météo étaient plus proches d'un Bol d'Or que d'une Coupe de l'America», peste Ernesto Bertarelli avec raison. Bon, on récapitule: c'est la faute au vent. Mais au moins le terrain de jeu naturel (le même pour tout le monde, au passage) aura-t-il permis aux spectateurs d'assister à un show truffé de suspense et d'images fortes. Un navigant de Team New Zealand a même manqué de peu de passer à la flotte alors que «NZL92» enroulait la porte sous le vent et que le spi était affalé.
À l'heure de l'interview, le skipper néo-zélandais Brad Butterworth - d'habitude si plaisantin - a eu la pudeur d'apparaître affecté par le résultat du jour. Entonner la marche funèbre serait toutefois démesuré. Aujourd'hui, les conditions de vent devraient favoriser le défi suisse. Qui n'a pas intérêt à s'étaler, sans quoi il risque de ruminer durant une bonne partie de son jour de repos, demain.
Ernesto Bertarelli: «Je me suis bien amusé!»
«Bienvenue à Las Vegas! Choisirez-vous le rouge ou le noir?» Après la régate d'hier, Ernesto Bertarelli a pimenté ses interviews de piques à l'attention du comité de course. «Il a fallu deux heures pour donner un départ alors qu'il ne s'est jamais établi, lâche le patron du défi suisse. Je ne sais pas pourquoi ils l'ont donné, je dois avouer. Mais bon, vous savez, quant à moi, je me suis bien amusé. (Sourire.)» Tout l'avantage brûlé sous spi sur le dernier bord ne semble pas davantage avoir affecté le milliardaire. «On a bien régaté, sourit-il même. Nous avons adopté le comportement normal pour retourner vers la layline. Quant au départ, nous n'avons pas d'indications pour la gauche ou la droite. Non, globalement, je reste confiant pour la suite.»
source Le Matin
Les avis c'est comme les trous de balle, tout le monde en a un.
franchement, je pense qu'Alinghi est mal barré...à tous les sens du terme...ABN-AMRO a écrit :Nouvelle erreur d'Alinghi lors du dernier bord![]()
Les suisses sont menés 2-1 mais ont montré de belles choses aujourd'hui en remontant notament un retard de 300m. ( = 1mn30)

sens propre: les choix tactiques tournent toujours à l'avantage des kiwis...
sens figuré: les kiwis mènent 2-1 et leur cellule arrière a pris un immense avantage psychologique sur celle d'alinghi.
perso je serais pas étonné dans ces conditions de voir le coupe retourner en nouvelle zeeland et avec ce retour l'introduction dans les règles de la coupe par le nouveau defender de dispositions concernant la nationalité des marins à bord...de sorte que bertarelli soit amené à gaspiller son argent dans d'autres causes...même si l'on sait qu'il n'investit qu'une infime partie de ses deniers dans l'affaire...qui a été plutôt rentable pour lui jusqu'ici...
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Mais c'est quand même grâce à lui que ca s'appelle défi suisse...mad max a écrit :de sorte que bertarelli soit amené à gaspiller son argent dans d'autres causes...même si l'on sait qu'il n'investit qu'une infime partie de ses deniers dans l'affaire...qui a été plutôt rentable pour lui jusqu'ici...


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supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
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