La SFL qui fait dans le journalisme orangé !nufc a écrit :FC Sion
Stats de la saison précédente:
Classement: 8. Raiffeisen Super League
Meilleur scorer: Ovidiu Herea (5 buts/6 assists)
Signe particulier: le club n’a officiellement toujours pas d’entraîneur
Quoi de neuf? Le retour de Carlitos. Le transfert le plus spectaculaire concerne un ancien de Tourbillon. Carlos Alberto Alves Garcia, bref «Carlitos», jouait en Valais, voici 7 ans (26 matchs/8 buts en 2006/07). Ses qualités ont fait ensuite le bonheur du FC Bâle (2007-2010), où le Portugais – car contrairement aux apparences, il n’est pas Brésilien – a obtenu 2 titres de champion et une Coupe de Suisse. Avec Léo Itaperuna (8 buts 2013/14), Ebenezer Assifuah (7 buts/3 assists) et Carlitos, les Sédunois disposent d’un trident d’attaque qui a belle allure sur le papier. Après un passage discret par la Bundesliga (Hanovre 96/8 matchs en 2 ans) et un retour au Portugal (Estoril), on pourrait revoir ses sauts périlleux arrière. Il a cependant bientôt 32 ans.
Ce qui manque: un entraîneur! Bien que Claudio Gentile ait signé un contrat pour deux ans au FC Sion, l’Italien n’a jamais posé ses valises en Valais. L’intérim est assuré par Freddy Chassot, qui a déjà occupé bien des postes (joueur, co-entraîneur, coach, responsable des M21, directeur sportif, chef du marketing, scout, secrétaire, bonne fée…), sauf celui de président. A une semaine du début du championnat de Raiffeisen Super League, le président sédunois Christian Constantin n’a toujours pas annoncé officiellement le nom d’un nouveau mentor.
Ce qui ne fait pas défaut: l’animation en tous genres. Le FC Sion vit en permanent décalage avec le monde du football. L’originalité produit des effets positifs pour les uns, négatifs pour les autres. Le débat est en cours. La date de péremption d’un entraîneur à Tourbillon est de 3 mois et demi (moyenne calculée sur 37 entraîneurs en 11 saisons, les duos, tels Chassot/Maccoppi actuellement, ne comptant que pour un!).
Le FC Sion en chanson: «Trouble» (Pink). «No attorneys to plead my case», chante Pink, qui a vendu près de 50 millions d’albums à travers le monde. «Aucun avocat pour plaider ma cause». Pour les supporters les moins jeunes, on aurait aussi pu choisir «Le Tourbillon de la vie» de Jeanne Moreau. (On s'est connu, on s'est reconnu, On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu d'vue / On s'est retrouvé, on s'est réchauffé, Puis on s'est séparé). Sur les 37 entraîneurs cités plus haut, 7 sont partis plus d’une fois (Roussey, Roessli, Tholot, Moulin, Bigon, Barberis, Decastel), un autre genre de fidélité.
(sfl.ch)


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