Forum de discussion sur le site www.fcsion4ever.com. Ici vous trouverez les descriptifs des mises à jour importantes. Donnez votre opinion et signalez les bugs éventuels.
bouryves a écrit :Un post pour retrouver ou avoir des nouvelles de nos amis forumeurs que l'ont de voit plus ici...
Si qqun a des nouvelles de :
- Bedjuis
- Osiri
- Consensuel
il serait bien de les partager...
Consensuel est parti suite à "l'affaire overgame"... si ça en était une. Il l'a dit dans un post.
Il avait aussi dit qu'il était revenu sur sa décision de partir. Donc il a peut-être changé de pseudo.
J'ai ma petite idée, mais rien n'est sûr, donc on tient sa langue.
Faut les sujets du forum, la réponse est surement dedans.
(___)
(o|o)
_(")_
(-)(-)___ "SI ON est uni... on sera imbattable!" FC Sion
Consensuel est parti suite à "l'affaire overgame"... si ça en était une.
Il l'a dit dans un post.
Il avait aussi dit qu'il était revenu sur sa décision de partir. Donc il a peut-être changé de pseudo.
J'ai ma petite idée, mais rien n'est sûr, donc on tient sa langue.
C_doux_nous_mMm, enquêteur de pointe?
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Ils sont un peu trop dans l’euphorie dans ce club. Tu perds un match et tu as l’impression que tu es dernier du championnat. Puis tu en enchaînes deux bons et on te parle déjà de Ligue des champions. . " Vincent Rüfli, 12.10.2016"
Le brave Zorgg... un certain humour_ _ a eu sa peau. Remarquez que moi aussi il m'est arrivé de ne plus mettre les pieds sur ce forum pendant des périodes de plus d'une année. Il est peut-être amoureux
Ils sont un peu trop dans l’euphorie dans ce club. Tu perds un match et tu as l’impression que tu es dernier du championnat. Puis tu en enchaînes deux bons et on te parle déjà de Ligue des champions. . " Vincent Rüfli, 12.10.2016"
Tu manques à Tourbillon, la barrière rouille depuis trop longtemps...
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
je suis là, je suis là... j'avais juste trop les boules avant la finale pour repasser ici... d'où ces quelques semaines d'inactivité afin de ne pas y penser...
Le forum sans toi il perd beaucoup de sa saveur...
Vas-y mtn défoules-toi pour rattraper le temps perdu, c'est trop bon!
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Mr. Blonde a écrit :p***** tu ne me refais plus JAMAIS ça!!!
Le forum sans toi il perd beaucoup de sa saveur...
Vas-y mtn défoules-toi pour rattraper le temps perdu, c'est trop bon!
les modos n'ont plus de travail quand je suis pas là. c'est ça? avant chaque finale je suis obligé de faire ça : sinon je mange plus, je dors plus, je travaille plus et je divorce
Non les (je parle pour moi et ça n'engage donc que moi) modos ont besoin d'un p***** de rentre dedans à la formule choc et aux phrases courtes.
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017 CONSTANTIN DEMISSION
Ben si tu veux mon avis la demi-meule passera dans la rubrique "promesses électorales non tenues" ...
Si ça se trouve elle a déjà été mangée et digérée...
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Ahah j'espère bien qu'on allait pas manger la vieille machine d'il y a 2 ans!
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017 CONSTANTIN DEMISSION
Un membre avec un grand coeur. Un Grand Humaniste. Il me manque beaucoup sur le forum mais je me réjouis de partager un bon Johannis avec lui...
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Le fameux gnol.
On en a vu disparaître, de bonnes recrues!
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Voilà un interview très sympa de celui qui était mon idole dans les grandes années du FC Sion !
Mirsad Baljic, plus valaisan que nature
Arrivé en Valais en 1988 comme joueur du FC Sion, Mirsad Baljic adopte sa nouvelle patrie footballistique au point de s’y établir définitivement après avoir marqué l’histoire du club sédunois.
PAR STEPHANE.FOURNIER @LENOUVELLISTE.CH
Mirsad Baljic a remporté la finale de la Coupe de Suisse en 1991 et le premier titre de champion du FC Sion en 1992. dr
Mirsad Baljic a remporté la finale de la Coupe de Suisse en 1991 et le premier titre de champion du FC Sion en 1992. dr
Mirsad Baljic découvre le stade de Tourbillon le 7 novembre 1984. Il permet au Zelejnicar Sarajevo de défendre le but d’avance acquis face au FC Sion lors de la première manche jouée en Bosnie. Trois ans et demi plus tard, le latéral gauche international enfile le maillot rouge et blanc. Il l’enlève en 1992 après avoir remporté la finale de la Coupe de Suisse en 1991 et le premier titre de champion de l’histoire du club sédunois en 1992.
Mirsad Baljic aurait-il fait une carrière plus prestigieuse s’il avait moins cédé à la facilité sur le terrain?
Peut-être, j’ai toujours reconnu que j’étais un peu paresseux face aux efforts physiques. Cette attitude n’explique pas mon passage de défenseur latéral à attaquant lorsque j’ai signé à Sion. Peter Pazmandy, l’entraîneur, m’a tout de suite demandé si je pouvais jouer au milieu. J’ai dit oui. Jean-Paul Brigger et Dominique Cina jouaient devant. J’ai profité de leurs mouvements qui libéraient des espaces pour marquer souvent. Mon avantage était de jouer autant du pied droit que du pied gauche. En junior, en Yougoslavie, un entraîneur m’avait interdit pendant six mois de toucher le ballon avec le pied droit en jouant à gauche sous peine de me renvoyer à la maison. Je suis rentré deux fois avant la fin de l’entraînement. Je crochais très fort quand même. Il le faut pour arriver en équipe nationale.
Jouer attaquant vous a bien convenu…
Oui, surtout avec des gars comme Sébastien Fournier ou Marco Lorenz. Ils couraient comme des fous. Dès que nous perdions le ballon, ils se replaçaient comme des malades pour le récupérer. Ils faisaient le boulot pour moi. Je devais en profiter. J’ai dit un jour à Fournier: «Tu es fou». Je garde aussi une image très forte d’Yvan Quentin. Nous avions joué un tournoi en salle à Nyon. Il taclait sur le parquet. J’ai tout de suite su qu’il allait réussir dans le foot. Cela dit, il ne faut pas croire que le championnat de Suisse est facile pour un étranger. Beaucoup de joueurs l’ont sous-estimé en pensant qu’ils domineraient le jeu. Physiquement et tactiquement, il est très poussé.
Comment se passait la relation avec Enzo Trossero, un technicien très exigeant au niveau de l’engagement?
Il m’a souvent invité à manger chez lui. Il m’a demandé: «Que fais-tu en Suisse avec ton talent?» Lors d’un match à Lausanne, il m’avait expliqué que des personnes du Paris-Saint-Germain étaient dans les tribunes pour m’observer. Il était très intelligent, il m’a toujours poussé au maximum. J’ai aussi eu la chance de jouer avec Beto Barbas à Sion, un joueur exceptionnel. Je courais, le ballon arrivait toujours dans mes pieds. C’était tellement facile de jouer avec lui. Gabriel Calderon était aussi très fort, mais il jouait de manière plus individuelle.
Ces deux joueurs ont-ils fait la différence pour la conquête du titre en 1992?
Tout le groupe a contribué à ce succès. Jean-Paul Brigger imposait sa personnalité de manière incroyable. Quand il prenait la parole dans le vestiaire, il n’y avait plus un bruit. Personne ne répliquait. J’en ai aussi ramassé avec lui quand il me traitait de «Yougo à la con». Ses interventions motivaient le groupe.
La petite histoire affirme qu’André Luisier, le président, vous a offert une voiture après un match joué à Lausanne?
Je lui avais dit durant la semaine que ma voiture n’avançait pas et qu’il fallait la changer. Il m’a répondu: «Si nous gagnons dimanche et si tu fais un bon match, on la change.» Nous étions premiers, Lausanne deuxième à un point. Nous avons gagné 4-3 après avoir mené 4-0. J’ai marqué trois buts en une mi-temps. A la fin du match, M. Luisier m’a dit que j’avais gagné ma voiture et que je pouvais aller la chercher. C’était une petite 4x4, un modèle à 20 000 francs environ. André Luisier arrivait parfois aux vestiaires en nous annonçant qu’il doublait les primes pour cette journée afin de nous motiver.
Comment vous a-t-il recruté?
Il m’avait sollicité après notre match de Coupe UEFA avec Zeljeznicar contre Sion en 1984. Il a approché le club tout de suite pour engager le latéral gauche. Je n’avais pas la limite d’âge fixée par la fédération pour quitter la Yougoslavie. Quatre ans plus tard, je négociais avec Xamax à Neuchâtel. Mon agent et moi sentions que leur intérêt n’était pas marqué. Il est sorti deux minutes pour appeler André Luisier par téléphone. Nous sommes venus à Sion et l’affaire s’est conclue tout de suite. Xamax a préféré Admir Smajic.
Et vous avez imposé votre gabarit dans les surfaces de réparation de Ligue nationale A…
Vous parlez de ma réputation avec les coudes? En Yougoslavie, durant notre formation, nous nous exercions à sauter en donnant des impulsions avec les bras. Si vous sautez en lançant les bras, vous gagner quelques centimètres. Forcément, ça provoque des contacts dans les duels aériens. Jouer contre Andy Egli ou Mats Gren de GC était terrible. Ils tiraient le maillot, ils marchaient sur les pieds et ils réclamaient auprès de l’arbitre pour obtenir des fautes.
La peur de l’avion lui fait fuir le camp en Argentine
Mirsad Baljic n’a jamais redouté les duels avec les défenseurs les plus durs de Ligue nationale A ou de n’importe quelle autre catégorie de jeu. Ses plus grandes craintes le rattrapent dans les airs. L’ancien international yougoslave tente de contrôler une phobie maladive des voyages en avion. Les accompagnants du FC Sion se souviennent d’un joueur complètement désorienté au point de lire son journal à l’envers avant l’envol en direction de Reykjavik pour une rencontre de coupe d’Europe face au Valur en 1992.
«J’ai une peur terrible en vol», avoue-t-il. «Certains joueurs en rajoutaient. Lors d’un déplacement, Ciccio Lopez, qui était assis derrière moi, répétait sans cesse «Il ne monte pas, il ne monte pas» après le décollage de Sion. Deux ans plus tard, au retour d’un match à Istanbul avec Neuchâtel Xamax, Pino Manfreda a sorti une bible et il a commencé à prier. Je me suis dit: «Pourquoi faut-il toujours que je sois assis à côté de cons?» J’avais une trouille immense.»
Au mois de janvier 1991, le FCSion s’envole vers l’Amérique du Sud pour son camp d’entraînement hivernal. «Je me suis annoncé blessé. Ils se sont tapés 35heures de voyage. Quand les copains sont rentrés, ils m’ont dit que j’avais eu raison.» Pas dupe, Enzo Trossero tolère l’absence d’un joueur dont il connaît les qualités et la capacité de se sublimer. «C’est impossible de maîtriser de tels voyages», se souvient Mirsad Baljic. «Nous nous étions rendus en Inde avec l’équipe nationale de Yougoslavie. Au retour, le vol avait été très chahuté. Il y avait eu des bruits comme des explosions. Nous devions arriver à Milan, on nous a détournés sur le sud. Dès l’atterrissage à Rome où nous étions en transit, je me suis rendu au bar pour prendre quatre ou cinq whiskys. Ça m’a aidé à continuer.»
Etabli à Sion aujourd’hui, il rend visite en voiture à son papa en Bosnie, son pays natal. «Je me sens plus valaisan que quelqu’un né ici. Nous avons les mêmes valeurs. Les gens sont accueillants, simples. Mes enfants, Omar et Mélissa, ont grandi en Valais.»sf
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux »The English Games