a pénoche tochy, ns et tout les cons qui on jamais commis d'erreur! Soi vous avez jamais eu d'accident dans votre soi vous êtes trop stupide pour avoir de la compation vis a vis d'autri bande de con. Vous avez a foutre d'autre que plaisanter sur l e malheur d'autrui bande minable. Vous qui êtes bande con pour vouloir donné des leçon. Surment une bande louseur qui on jamais réussi a faire quoi que ce soi de leur vie. Et la seule personne ridicule c toi imbécile de tushy qui doit pas avoir plus de cervel qu'un moineau et si ca te serais arrivé t'aurais fait semblant de pas avoir mal? Mon cul tu serrais tomber dans le pommes comme une lavettes et en disant ca j'insulte les lavettes.
instruiser vous bande con et aller la signification du mots accidents de la dictionnaire ca vous ferais du bien
je m'excuse vis a vis des autre membre du forum pour mon mauvais langage mais si un truc que je déteste c les gens qui nourissent du malheur des autres.
Paulo Diogo
Pour être très clair : n'étant pas hypocrite, je pourrais dire que je n'en ai rien à cirer des millions d'accidents qui se produisent chaque jour sur cette terre où la vie est dure, c'est le moins que l'on puisse dire ! Et passer pour cynique. Et de fait, il est vrai que je ne passe pas 16 heures par jour (voire 24, + la nuit donc, en cauchemars) à me lamenter sur le sort des millions d'anonymes qui y souffrent. Cette compassion de principe est d'ailleurs une belle hypocrisie, et parfaitement inutile, improductive, rien d'autre que des formules de surface qui collent comme il se doit à ce que l'on attend de l'homme politiquement correct. Et j'aimerais bien voir la véritable qualité non seulement de la sympathie (cela, c'est toujours si facile à afficher...), mais de l'empathie et de l'aide des gens, très concrètement, pour les gens avec qui ils sont en relation. Enfin, cela seul m'intéresse et a vraiment de l'importance.
Les grands principes que l'on clame et proclame, à la façon d'un prêtre dans une chaire, cela vaut ce que cela vaut...
Mais pour reprendre mon propos à la base, je dirais que, néanmoins, je préfèrerais de beaucoup que Diogo ne se soit pas arraché un doigt, en toute sincérité. Et cela même si je ne connais pas la personne...et n'apprécie pas le joueur, comme footballeur. Et donc, s'il était en mon pouvoir aujourd'hui d'inverser le cours des choses, de ma baguette magique je lui rendrais volontiers son annulaire. Ou, d'un autre coup de baguette, je changerais le cours de la partie et lui ferait rater sa passe de but...pas de grimpée au grillage, pas d'accident ! Aucune méchanceté donc, chez moi.
Dès lors, dire, comme je l'ai fait, qu'il n'est pas plus habile de ses mains que de ses pieds, pour moi qui le trouve généralement mauvais sur un terrain de football, relève, certes, d'un humour qu'on peut qualifier de noir, mais pas de méchanceté ! Ou alors, taxez définitivement de mauvais et de parfaits cyniques tous les dessinateurs de presse qui font sourire quotidiennement une partie des lecteurs - la majorité, sinon on les virerait ! et grincer des dents l'autre partie.
L'homme a cette limite qu'il ne parvient pas à faire rire avec le bonheur et la joie, états de plénitude qui se suffisent largement à eux-mêmes. Mais il a ce pouvoir extraordinaire de dépasser les évènements désagréables, voire douloureux, par l'humour.
La seule question étant celle-ci : nous n'avons de loin pas tous le même sens de l'humour... :-k O:)
Les grands principes que l'on clame et proclame, à la façon d'un prêtre dans une chaire, cela vaut ce que cela vaut...
Mais pour reprendre mon propos à la base, je dirais que, néanmoins, je préfèrerais de beaucoup que Diogo ne se soit pas arraché un doigt, en toute sincérité. Et cela même si je ne connais pas la personne...et n'apprécie pas le joueur, comme footballeur. Et donc, s'il était en mon pouvoir aujourd'hui d'inverser le cours des choses, de ma baguette magique je lui rendrais volontiers son annulaire. Ou, d'un autre coup de baguette, je changerais le cours de la partie et lui ferait rater sa passe de but...pas de grimpée au grillage, pas d'accident ! Aucune méchanceté donc, chez moi.
Dès lors, dire, comme je l'ai fait, qu'il n'est pas plus habile de ses mains que de ses pieds, pour moi qui le trouve généralement mauvais sur un terrain de football, relève, certes, d'un humour qu'on peut qualifier de noir, mais pas de méchanceté ! Ou alors, taxez définitivement de mauvais et de parfaits cyniques tous les dessinateurs de presse qui font sourire quotidiennement une partie des lecteurs - la majorité, sinon on les virerait ! et grincer des dents l'autre partie.
L'homme a cette limite qu'il ne parvient pas à faire rire avec le bonheur et la joie, états de plénitude qui se suffisent largement à eux-mêmes. Mais il a ce pouvoir extraordinaire de dépasser les évènements désagréables, voire douloureux, par l'humour.
La seule question étant celle-ci : nous n'avons de loin pas tous le même sens de l'humour... :-k O:)
Ce n'est pas vraiment que j'aime me répondre ...mais je voulais, juste ! ajouter ce qui suit :-k
On le sait depuis longtemps, le ridicule ne tue pas : peut-être devons-nous, d'ailleurs, en être tous quelque peu reconnaissants...
Qu'ai-je lu, sur le malheureux bout d'annulaire de Diogo, resté coincé par la faute de ce même Diogo, soi-dit en passant, que l'on présente en victime, alors que les grillages ne sont ni pour les joueurs, ni pour les suppporters, mais bien pour les séparer ?!
Qu'il avait donné une leçon de courage... ?!?
Laquelle ?
Je vous laisse plancher sur la question....
Le courage de s'être agrippé aux grillages ? Celui de n'avoir pensé à rien ? Celui de s'être senti euphorique ? Celui d'avoir bénéficié d'un traitement médical rapide et adéquat ?
Celui d'avoir pu, comme tout un chacun dans un pareil cas, rentrer chez lui après 24 heures ?
(Je me souviens que je m'étais, pauvre crétin de 15 ans, tronçonné 3 doigts de pied avec la tondeuse à gazon de mes parents ! Vivent les baskets !
Eh bien, j'étais seul chez moi, mais heureusement habitant à 500 mètres de l'hôpital. J'y suis allé sur un pied (c'était pas le pied, pas vraiment rapide...), et on m'a recousu les bouts - sans anesthésie, soi-dit en passant, parce qu'il paraît que les piqures d'anesthésie locale à cet endroit sont très douloureuses........!)
Le courage de ne s'être pas répendu en lamentations dans les journaux...?!
Cessons ce genre de grotesqueries et autres billevesées tabloïdiennes, une fois, pourquoi pas ?
Pour moi, le courage, c'est déjà un effort dans la durée.
Les cancéreux qui luttent et y croient, envers et contre tout, au fil des mois. Ces enfants chauves que l'on croise dans les hôpitaux, ces enfants qui luttent à 2 ou 3 ans, semaines après semaines, pour survivre, le ventre aussi gros que le portefeuille d'un spéculateur boursier, et tous ceux qui, anonymes, sont dans la dèche, sans emploi, mais demeurent au fil des ans vaillants, dignes, debouts.
On le sait depuis longtemps, le ridicule ne tue pas : peut-être devons-nous, d'ailleurs, en être tous quelque peu reconnaissants...
Qu'ai-je lu, sur le malheureux bout d'annulaire de Diogo, resté coincé par la faute de ce même Diogo, soi-dit en passant, que l'on présente en victime, alors que les grillages ne sont ni pour les joueurs, ni pour les suppporters, mais bien pour les séparer ?!
Qu'il avait donné une leçon de courage... ?!?
Laquelle ?
Je vous laisse plancher sur la question....
Le courage de s'être agrippé aux grillages ? Celui de n'avoir pensé à rien ? Celui de s'être senti euphorique ? Celui d'avoir bénéficié d'un traitement médical rapide et adéquat ?
Celui d'avoir pu, comme tout un chacun dans un pareil cas, rentrer chez lui après 24 heures ?
(Je me souviens que je m'étais, pauvre crétin de 15 ans, tronçonné 3 doigts de pied avec la tondeuse à gazon de mes parents ! Vivent les baskets !
Eh bien, j'étais seul chez moi, mais heureusement habitant à 500 mètres de l'hôpital. J'y suis allé sur un pied (c'était pas le pied, pas vraiment rapide...), et on m'a recousu les bouts - sans anesthésie, soi-dit en passant, parce qu'il paraît que les piqures d'anesthésie locale à cet endroit sont très douloureuses........!)
Le courage de ne s'être pas répendu en lamentations dans les journaux...?!
Cessons ce genre de grotesqueries et autres billevesées tabloïdiennes, une fois, pourquoi pas ?
Pour moi, le courage, c'est déjà un effort dans la durée.
Les cancéreux qui luttent et y croient, envers et contre tout, au fil des mois. Ces enfants chauves que l'on croise dans les hôpitaux, ces enfants qui luttent à 2 ou 3 ans, semaines après semaines, pour survivre, le ventre aussi gros que le portefeuille d'un spéculateur boursier, et tous ceux qui, anonymes, sont dans la dèche, sans emploi, mais demeurent au fil des ans vaillants, dignes, debouts.