Re: Sankt-Gallen - Fc Sion ( Avant-match)
Posté : 03.02.2010 11:34
T'es pas à la MANUtention ce matin ?Tribune est a écrit :on est bien d'accord ....

L'actualité du FC Sion en ligne
https://www.fcsion4ever.ch/phpBB3/
T'es pas à la MANUtention ce matin ?Tribune est a écrit :on est bien d'accord ....
si si je prépare le dîner...Zotte3 a écrit :T'es pas à la MANUtention ce matin ?Tribune est a écrit :on est bien d'accord ....
Hooo ouiTribune est a écrit :on est bien d'accord ....
MANUtention ...Zotte3 a écrit :T'es pas à la MANUtention ce matin ?Tribune est a écrit :on est bien d'accord ....
Ses derniers matchs avant le foutu corner? ou les quelques fois qu'il a du remplacer la diva El-Hadary au pied levé?supp_séd a écrit :Aujourd'hui encore, il parle de son foutu corner, refusant d'admettre que ses derniers matchs étaient nettement insuffisants...
Une bonne dizaine de matchs avant le corner... D'ailleurs, on en parlait beaucoup et pas qu'ici...doglover964 a écrit :Ses derniers matchs avant le foutu corner? ou les quelques fois qu'il a du remplacer la diva El-Hadary au pied levé?supp_séd a écrit :Aujourd'hui encore, il parle de son foutu corner, refusant d'admettre que ses derniers matchs étaient nettement insuffisants...
Et ça m'étonnerai également qu'il ait gagné une place de titulaire à Metz en étant mauvais...
A mon avis, ton discours devait être moins ironique lorsqu'il enchaînait les grands matchs...mouche71 a écrit :Germano a fait s'asseoir Bobo sur le banc .....
et il devient le dieu de la promotion !!!
Voilà qui a le mérite d'être objectif...freez a écrit :Si un effort dans les DEUX sens avait été fait, je pense qu'on en serais pas là.
Enfin bref, on ne peut que lui souhaiter que du bon pour son avenir, au final il peut jouer au sport qu'il aime et c'est bien ça qui compte
Tout à fait d'acc. CC on le connait et Vailati n'a eu 0 remises en question et a donné 100% de la faute aux autres... du coup c'était compliqué. Freez a 100% raison !mad max a écrit :Belle parole de sagesse de la part de Freez! Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir...chacun porte sa part de responsabilité dans une situation. La page est tournée. Vailati est désormais dans le camp adverse...
Le Temps a écrit :Germano Vailati, réduit au chômage technique en Valais, veut relancer sa carrière à Saint-Gall. Le 6 février, il croisera la route de
son ancien club et de Christian Constantin…
«La ville est jolie, les gens sont chaleureux, mon chien va bien s’adapter…» Germano Vailati sort de l’entraînement et, après les
mois de calvaire qu’il vient de traverser, cela suffit à son bonheur. L’ancien gardien du FC Sion, d’abord écarté au profit de
l’Egyptien Essam el-Hadary, casé ensuite au FC Metz, puis condamné au chômage technique par Christian Constantin, a fini par
trouver une issue: le FC Saint-Gall. S’il ne cache pas sa rancœur – «On a voulu me briser» –, le Tessinois préfère envisager l’avenir
sous le signe du bonheur. Il rattrape le temps perdu et bosse en vue de la reprise. Et pour cause: le 6 février, Saint-Gall accueille
Sion en championnat.
Le Temps: Peut-on parler de «nouvelle vie» pour vous?
Germano Vailati: Ce n’est pas une nouvelle vie. C’est plutôt que je retrouve mon ancienne vie, celle que j’aimais. Une vie où tu as
la motivation, de vrais entraînements, la volonté d’améliorer tous les détails. Ces six derniers mois, à Sion, c’était la nuit
complète. Je n’avais plus de motivation, pas de but professionnel, rien.
– Comment les choses se sont-elles dénouées?
– Pour partir, je devais d’abord trouver un club, puis m’arranger avec Sion, qui demandait des sommes à faire rire les gens. Quand
Saint-Gall a trouvé un accord, je n’ai pas hésité.
– Que retenez-vous de vos six mois au FC Metz?
– Le fait de jouer à l’étranger, c’est déjà quelque chose. Quand un gardien suisse arrive en France, les gens disent: «C’est quoi, ça?
» Le FC Metz a un plus gros budget que Bâle, plus de 90 employés, des entraîneurs professionnels pour les gamins de 6 ans…
C’est un autre monde. J’étais sur une bonne lancée là-bas, je me suis fait une place, mais tout a été coupé parce que j’avais un
contrat jusqu’en juin 2010 avec Sion. En France, il y a des règles; en Suisse, on donne trop de pouvoir aux présidents. Tu n’es pas
respecté, ni comme joueur ni comme homme. Tu es traité comme un objet. J’avais donné mon sang pour le FC Sion, ça a fait mal.
Mais bon, c’est du passé.
– Avez-vous l’impression que les gens vous ont oublié en Suisse?
– Ce n’est pas ça qui m’intéresse. Ce qui compte, c’est le travail que j’effectue chaque jour, pas le fait d’être reconnu dans la rue
ou pas. Mon nom commençait à circuler en France, mais ça n’a rien donné parce que j’avais ce contrat à Sion. Pendant deux mois,
j’ai fait du fitness tout seul. Après, c’était du n’importe quoi. On me demandait de faire des séances de 10 ou 20 minutes par-ci
par-là. Avec les trois autres joueurs écartés du groupe [le Polonais Zbigniew Zaki, le Français Julien Brellier et le Béninois Jocelyn
Aoueyah], on nous mettait des entraînements le samedi à 15h15, pour nous faire jongler à quatre dans un coin. C’était pire que
du mobbing.
– N’y avait-il pas moyen de mettre un terme à cette situation?
– Au pire, je savais que je serais libre en juin 2010. J’ai préféré serrer les dents plutôt que de prendre des avocats, avoir deux ans
de procédure, avec 5000 recours. Mon métier, c’est de jouer au foot, pas d’aller au tribunal. Maintenant c’est passé, je veux
penser à l’avenir. «Weg» avec tout ça, comme ils disent ici. Je suis tellement positif en ce moment…
– Avant d’évoquer l’avenir, une dernière question sur le passé. En 2006, vous aviez été élu meilleur gardien de Suisse. Quand vous
vous retournez sur votre parcours, à bientôt 30 ans, éprouvez-vous des regrets?
– Je n’ai pas de regrets parce que je sais que j’ai toujours tout donné. Le seul regret, c’est d’avoir croisé le deuxième Christian
Constantin, celui qui m’a coupé les jambes. J’ai fait trois ans sérieux à Sion, à un bon niveau. Ce n’est pas un corner qui m’a
coupé la tête, j’étais de toute façon dans son collimateur. Quand tu changes 25 fois d’entraîneur en quatre ans, au bout d’un
moment, il faut bien choisir d’autres cibles.
– On a coutume de dire que ce genre de choses rend plus fort. Est-ce le cas?
– Ce que j’ai vécu ces six derniers mois, soit ça me tuait, soit ça me rendait plus fort. Même si j’étais complètement en dehors de
l’équipe, il y a eu un déclic. Je me suis dit que je ne voulais pas mourir à Sion. Alors j’ai continué à travailler de mon côté, parfois
avec Marco Pascolo [entraîneur des gardiens au FC Sion]. Quand j’entends des joueurs se plaindre que l’entraînement est trop dur,
que le terrain est trop dur… Les difficultés, maintenant, je les avale comme des cacahuètes. J’ai appris à savourer à nouveau mon
métier.
– Un drôle de métier, non?
– Footballeur, c’est un métier comme les autres, avec ses hauts et ses bas. Mais on a de la chance. On a des responsabilités, c’est
sûr, mais rien de vital. Il faut être performant, faire des sacrifices et, même quand tu fais tout bien, il n’y a pas de garantie. C’est
un métier où tout est amplifié parce qu’on y met le cœur et la tête. Quand tu es mauvais, tu te fais tailler dans la presse et quand
tu es bon, tu es tout en haut. J’ai appris qu’il fallait avoir sa ligne et la garder, croire en soi-même et ne jamais s’enflammer.
– On imagine que vous avez encore quelques rêves en tête, non?
– Pour l’instant, je me concentre sur les entraînements. Mon dernier match officiel, c’était fin mai à Metz. Alors je mets «Vollgas»,
je me prépare à fond et j’espère être performant. Il faut dégager de la sérénité sur le terrain, être bon dans la durée, et après le
reste suit. Mon premier but, c’est de gagner ma place ici. Je n’ai pas de garantie. Les garanties, c’est à moi de les donner. Il y a un
gardien qui joue depuis un an, qui a l’avantage de bien connaître la maison. Mais je suis très décidé, je pense que Saint-Gall ne
m’a pas fait venir pour rien.
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– Après Metz, Saint-Gall… N’espériez-vous pas des clubs plus glamour?
– Je répète que j’ai de la chance de faire ce métier. On ne peut pas tous jouer à Milan… Et puis Saint-Gall, ce n’est pas n’importe
où! Il y a l’un des plus beaux stades de Suisse, une ambiance incroyable, des ambitions. Au classement, on est pas mal, à six
points du troisième [Lucerne]. Et il y a cette demi-finale de Coupe [le 5 avril contre Lausanne], un petit plus à ne pas négliger. Ici,
il y a une organisation très pro, tout est en place, tu sens que tout le monde est fier d’appartenir au club. Les gens se comportent
comme des messieurs. Le président, il vient te voir une fois à la reprise de l’entraînement pour te dire bonjour, et il reviendra au
mois de mai pour nous souhaiter de bonnes vacances.
– Que vous inspire la date du 6 février?
– Je l’ai en tête parce qu’il y a trois points à prendre. J’ai été emprisonné par un contrat mais, maintenant, je n’ai plus rien à voir
avec Sion. Je garde un super-souvenir du public valaisan, je n’ai pas eu de problème avec le FC Sion, mais avec l’Olympique des
Alpes. (Sourire). Ce sera un peu bizarre mais, une fois sur le terrain, il faudra gagner, c’est tout.
mad max a écrit :je me demande ce que cela fait à Vailati d'avoir fait à Lopar ce que Hadary lui a fait...![]()
il a pourtant pas fait de grosses boulettes Lopar...
le club ne communique pas sur ce genre de détails... soit-disant pour que cela ne profite pas à l'adversairepolo a écrit :Me réjouis de voir la composition de l'équipe et tout particulièrement de l'axe central(de la défense à l'attaque et les milieux)
Pas de blessé annoncé? Messieurs Marin, Mitreski sont partant?
Tu te prends pour qui pour parler de "Partouz' Party" en parlant du souper de soutien? Pour ta gouverne, c'est en grande partie grace à ces partouzeurs que tu peux faire le tour de la Suisse pour voir évoluer notre équipe en Super League. Chacun supporte le club à sa façon et l'une d'elle est ce souper. Tu n'as pas le monopole du soutien au club, tu n'es pas meilleur qu'un autre parce que tu vas à St-Gall...nessun' a écrit :Mais c'est clair que depuis la Partouz' Party de Martigny, vous risquerez pas de l'entendre...![]()
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J'avais bien aimé le débat sur les supporters Ultras qui avait eu au CFC. et l'avis de joueurs sur le plateau était fort intéressant ! Très bonne émissions, faudrait juste asassiner Pierre Menez si le reste est bienBaro a écrit :nessun' a écrit :Mais c'est clair que depuis la Partouz' Party de Martigny, vous risquerez pas de l'entendre...![]()
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Je rejoins ce qui s'est dit dernièrement dans les Spécialistes sur Canal: Il faut que les supporters arrêtent de croire que le club leur appartient et que sans eux il n'existerait plus.
Désolé je voulais aps dire que tu étais ultra, je rebondissait sur ce que Baro a dit car l'émission en question était très intéressante. Ensuite sur le souper de soutien, ça permet au club d'avoir des rentrées d'argent. pendant la trève d'hiver c'est pas un luxe. Et dis-toi que certain ont une famille, peut être et qu'ils ne peuvent pas partir le week-end à l'autre bout de la Suisse pour suivre le club donc ça fait plaisir de se faire une soirée 100% FC Sion avec des animations sympas et ça permet de soutenir le clubnessun' a écrit :Ou est-ce que j'ai marqué que j'étais "ultras" ?
Je donne juste, mon avis sur ce souper de club qui pour moi est une grande farce, je comprends pas qu'on puisse se faire voler 150 balles pour une choucroute. Enfin bref, pas envie de m'éterniser sur ce sujet.