Après avoir suivi les matchs de mardi et mercredi, je suis comblé par les victoires - et qualifications - de mes deux clubs préférés, ManU et l'AC Milan.
Maintenant, si je pense au verre à moitié vide, je me dis que c'est dommage que les deux se rencontrent au stade des 1/2 finales; mais si je pense au verre à moitié plein, je me dis au moins que l'un des deux se retrouvera en finale
Grizzli a écrit :Après avoir suivi les matchs de mardi et mercredi, je suis comblé par les victoires - et qualifications - de mes deux clubs préférés, ManU et l'AC Milan.
Maintenant, si je pense au verre à moitié vide, je me dis que c'est dommage que les deux se rencontrent au stade des 1/2 finales; mais si je pense au verre à moitié plein, je me dis au moins que l'un des deux se retrouvera en finale
Je te suis dans ton raisonnement , MU et Milan sont aussi mes 2 clubs étrangers préférés .
Milan - Manchester United: Le favori n'est plus le même
MILAN - La même affiche en début de saison aurait fait de Manchester United un grand favori contre l'AC Milan en demi-finale de la Ligue des Champions mardi. Mais les Anglais semblent à bout de souffle quand les Italiens n'ont jamais semblé meilleurs.
Contre Middlesbrough samedi, Manchester United peut s'estimer heureux d'avoir arraché le nul. Sans imagination, les Red Devils n'ont jamais semblé en mesure de pouvoir l'emporter et auraient même dû s'incliner si un penalty justifié avait été sifflé contre eux. Ce match n'est pas un accident: il vient confirmer la baisse de régime que leur triomphe sur l'AS Rome (7-1) avait éclipsé.
A contrario, l'AC Milan est en forme comme jamais. Il n'a perdu qu'un de ses 16 derniers matches (contre l'Inter, 2-1) et reste sur quatre succès et 14 buts marqués en championnat. Des joueurs longtemps décevants explosent, comme Clarence Seedorf, Andrea Pirlo et Gennaro Gattuso. A l'inverse d'Alex Ferguson, qui a un effectif décimé par les blessures, Carlo Ancelotti a laissé au repos presque tous ses titulaires ce week-end.
Manchester pourrait connaître des problèmes en défense. Si Patrice Evra n'est pas remis à temps, Ferguson n'aura aucun de ses défenseurs titulaires habituels, Gary Neville, Rio Ferdinand et Nemanja Vidic étant blessés. Le calvaire qu'a vécu Wes Brown face à Mark Viduka samedi augure mal de son duel avec Alberto Gilardino, attaquant d'un autre calibre que l'Australien. A Milan, si la défense est souvent présentée comme vieillissante, elle n'a encaissé qu'un but en déplacement cette saison en Ligue des champions, à Athènes. Le retour de Nesta, longtemps blessé, a ramené la sérénité.
Ce match sera l'occasion de voir à l'oeuvre deux postulants logiques au prochain Ballon d'Or. Cristiano Ronaldo a explosé cette saison et a été époustouflant contre l'AS Rome (7-1). Mais ses deux derniers matches semblent traduire une certaine lassitude physique.
L'un des principaux atouts de Milan pourrait bien être son expérience. Il disputera sa quatrième demi-finale en cinq ans. Sur onze participations à ce stade, les Italiens n'ont connu que deux échecs, dont l'an passé face à Barcelone. Manchester, qui reste sur deux campagnes ratées, avait été éliminé par le Bayer Leverkusen à ce stade en 2002. Les deux équipes s'étaient affrontées en 8e de finale en 2005. Milan l'avait emporté deux fois 1 à 0, sur des buts d'Hernan Crespo.
(ats / 23 avril 2007 15:59)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Comment les frustes sont devenus beaux et glorieux
FOOTBALL. Trois clubs anglais disputent cette semaine les demi-finales de la Ligue des champions. Analyse d'une mutation culturelle.
Christian Despont, Mardi 24 avril 2007
Les Anglais cultivent cette anomalie vexante d'avoir inventé le sport, et de ne plus en maîtriser le fonctionnement. Humiliés en cricket, aplatis en rugby, mortifiés à Wimbledon. On les dit trop bien éduqués, ou trop flegmatiques, pour contrarier un adversaire exagérément tenace. On incrimine parfois la souveraine indifférence de Margaret Thatcher, acquise à une activité physique de première nécessité. Mais voilà que le football anglais envahit l'Europe, avec hardiesse et, plus inédit, avec jugeote.
Il n'est plus question, ici, d'un football bouffi de rustrerie tactique, fondé sur un jeu de tête écervelé et chanté par des soiffards. Trois clubs anglais sont engagés en demi-finales de la ligue des champions et, sans surprise, ce sont les plus précurseurs. «Cette hégémonie embryonnaire vient contredire l'idée obsolète d'un football fier de son insularité, éternel adepte d'un jeu de haut vol qui aurait été inventé pour ne pas abîmer les pelouses», image joliment Didier Braun, chroniqueur à L'Equipe.
C'est aussi la fin d'un bastion conservateur. Aujourd'hui, seize nationalités s'enchevêtrent dans les effectifs de Chelsea, Manchester et Liverpool, pour réduire la participation indigène à un tiers. Au total, la Premier League emploie 55,2% d'étrangers, largement au-dessus de la moyenne continentale (38%).
Personne ne s'en émeut. Pas même Jean-Jacques Tillmann, exégète ancestral et romantique du football anglais: «Il est tout de même extraordinaire qu'un pays aussi conservateur, conscient de sa supériorité et arc-bouté sur sa façon de faire, ait absorbé un tel contingent d'étrangers. Autrefois, ceux-ci étaient sinon rares, du moins Irlandais ou Gallois. Aujourd'hui, Arsenal et Chelsea n'alignent aucun Britannique sur le terrain et ce n'est pas une tragédie. Le public l'accepte. Au nom du jeu.»
Les autochtones, en revanche, restent les dépositaires d'un état d'esprit, bravoure contagieuse et, surtout, de moins en moins disgracieuse. Il n'y a toujours pas de place pour les flemmards et les poltrons en Premier League, où un tacle est loué avec autant de ferveur qu'un but. Gerrard à Liverpool, Terry et Lampard à Chelsea sont les gardiens du temple. Mais ils sont inféodés à une autre culture tactique.
«Les entraîneurs étrangers ont amené une approche plus élaborée, observe Lucien Favre, entraîneur du FC Zurich. En même temps, l'esprit insulaire a subsisté. Il y a du rythme, des allers-retours incessants; du déchet aussi... Il y a de l'engagement et la foule applaudit.» «La réussite des Anglais tient beaucoup à un football positif, radicalement tourné vers l'avant, ajoute Edmond Isoz, directeur de la ligue nationale. Dans le passé, le jeu était aussi engagé, mais un peu fruste. La Premier League a engagé quatre des dix meilleurs entraîneurs européens: ce sont un Français, un Espagnol, un Ecossais et un Portugais. A l'opposé, des pays comme la France ou l'Italie n'emploient que des locaux.»
En tout état de cause, l'avènement du football anglais est d'abord celui d'un modèle économique. Le football-business a percé sur ce terreau vénérable où, a priori, il n'avait aucune chance de percer. Or, peu regrettent que le championnat des classes ouvrières et des stades enivrés soit colonisé par des oligarques russes, des milliardaires égyptiens, ou des hommes d'affaires américains. Cette logique d'entreprise est acceptée dans la mesure où elle n'entrave pas l'attachement aux couleurs, le culte du club, très fort en Angleterre.
Les magnats ont agrandi les stades et dépensé à fonds perdus. Le reste à l'avenant, selon un cercle vertueux: l'argent permet de recruter des stars, d'où des résultats et du spectacle, d'où un fort engouement populaire, d'où des rentrées financières, d'où un accroissement perpétuel de la capacité d'investissement. Pour la saison 05/06, la Premier League avoue un revenu de 3,3 milliards de francs, soit le tiers des recettes engendrées par l'ensemble du football européen!
«Les Anglais ont réussi la parfaite quadrature du cercle, convient Edmond Isoz. Les recettes sont réparties équitablement sur les trois piliers fondateurs; les droits TV, la billetterie et le sponsoring. Ailleurs, nous observons souvent un déséquilibre parfait. En outre, le championnat anglais est le mieux commercialisé dans le monde. Il a investi le marché asiatique et, depuis quelque temps, sud-américain.» Ce capitalisme est assumé avec exubérance: «Nous mettons des paires d'yeux à disposition des sponsors», explique volontiers Peter Kenyon, éminence grise de Chelsea.
Les droits TV, à leur tour, explosent. Ils semblaient inégalables dans les années 90 lorsque, pour vendre son bouquet Sky Sports, Rupert Murdoch avait entrepris de rendre le football anglais plus contemporain, à renfort de contrats prodigues. La saison prochaine, un nouveau diffuseur, Setanta, investira le marché. La manne atteindra 1,25 milliard d'euros et la lanterne rouge de Premier League, tout au bas de l'échelle tarifaire, percevra une quote-part de 40 millions d'euros, soit autant que le champion de France Lyon!
En parallèle, les stades remplissent leur fonction d'hospitalité à valeur ajoutée. Et ils sont pleins. Chaque week-end, huit matches sur dix sont disputés à guichets fermés, pour une moyenne générale de 34000 spectateurs - destinée à croître avec l'agrandissement prévu de plusieurs stades.
«Dans les années 80, le hooliganisme a obligé les clubs à investir dans des enceintes modernes, étaie Edmond Isoz. Tous ces stades sont aujourd'hui gérés par leurs soins. Sans le faire exprès, l'Angleterre a créé les conditions-cadres pour augmenter ses sources de revenus et entrer dans l'ère du sport-spectacle.»
Aidée en outre par une fiscalité avantageuse, la Premier League dépense sans états d'âme. Plus de vingt salaires y excèdent le million de franc mensuel. Toute l'élite possède deux équipes interchangeables, peuplées d'internationaux. Au début du mois, Manchester a humilié l'AS Rome malgré une demi-douzaine de blessés. A Chelsea, Jonas Elmer, jeune espoir zurichois de 18 ans, s'ébat dans l'antichambre pour un salaire à cinq chiffres. «Les entraînements sont de haut niveau. Nous sommes encadrés par des coaches de premier plan», rapporte-t-il.
Certes, les grands pouvoirs d'attraction du football anglais ne font pas toujours oublier la brume et le crachin mauvais, ni quelque balourdise résiduelle. Prêté à Arsenal, le Brésilien Julio Baptista appelle de ses vœux un retour rapide au Real Madrid: «Le climat, ici, me tue. De plus, la première division est très dure. Les équipes du Nord sont particulièrement catastrophiques. Dès que vous perdez votre concentration, vous êtes balancé au sol. Les arrières centraux balancent jusqu'à trente ballons par match. Ici, un corner a autant de valeur qu'un joli geste technique...»
Histoires et statistiques du football anglais en conquête
• Avant l'Angleterre, deux pays ont placé trois clubs en demi-finale de la Ligue des champions: l'Espagne en 2000 avec Valence, Barcelone et le Real Madrid; l'Italie en 2003 avec l'Inter, la Juventus et le Milan AC.
• Parmi les dix footballeurs les mieux payés du monde, cinq évoluent en Angleterre. Thierry Henry (Arsenal) perçoit un revenu annuel de 25,1 millions de francs, Michael Ballack (Chelsea) 24, 5; Andreï Shevchenko (Chelsea) 20,3; John Terry (Chelsea) 18,2 et Steven Gerrard (Liverpool) 18. Le salaire le plus élevé reste celui de Ronaldinho à Barcelone avec 38,4 millions de francs annuels.
• Depuis la création de la Ligue des champions en 1956, l'Angleterre a soulevé le trophée à dix reprises; autant que l'Italie. L'Espagne domine le palmarès avec onze titres. A lui seul, Liverpool totalise cinq trophées (1977, 1978, 1981, 1984 et 2005), suivi de Nottingham Forest (1979 1980), Manchester United (1968 1999) et Aston Villa (1982).
• La fédération anglaise (FA) fut la dernière à souscrire au projet de compétition européenne. Elle y vit une concurrence éhontée, et refusa longtemps d'y participer. Après plusieurs mois, elle se rallia à l'idée sous la pression d'un lobbying inlassable.
• Liverpool est l'auteur du retournement de situation le plus spectaculaire jamais réussi en Ligue des champions. Il y a deux ans, les Reds avaient remonté un passif de 3-0 contre le Milan AC. C'était en finale.
• L'hymne de la Ligue des champions est l'œuvre originale d'un Anglais, Georg Friedrich Haendel.
Il fut composé en 1727 pour le couronnement de George II, roi de Grande-Bretagne.
[Le Temps 2007]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Ligue des champions: Chelsea contre Liverpool, cela promet
LONDRES - Chelsea et Liverpool, qui s'affrontent dans une demi-finale aller de la Ligue des champions 100 % anglaise à Stamford Bridge, ne se quittent plus depuis trois saisons. Chelsea a gagné le plus souvent en championnat, mais Liverpool s'est imposé fréquemment lors des matches à élimination directe.
Cette rencontre sera la 14e depuis l'arrivée de Rafael Benitez et Jose Mourinho en 2004. Le Portugais a gagné six fois, pour trois nuls et quatre défaites. Mais lors de leurs quatre affrontements en Ligue des champions, Chelsea n'a jamais marqué (trois 0-0, une défaite 1-0). Et Benitez, qui a également sorti Mourinho de la Coupe d'Angleterre 2006 en demi-finale, rétablit l'équilibre avec trois succès lors des quatre derniers matches.
Liverpool est la dernière équipe à avoir défait Chelsea, le 20 janvier. Ce jour-là, les Londoniens avaient vécu un cauchemar, subissant deux buts lors des 20 premières minutes par Kuyt et Pennant. Mais depuis, Chelsea a enchaîné 21 matches sans connaître la défaite.
Ce duel sera émotionnellement fort. Il semble en revanche douteux qu'il aboutisse à une avalanche de buts. Les deux équipes sont extrêmement prudentes, et Rafael Benitez devrait aligner une équipe très défensive à Stamford Bridge, espérant faire la différence au retour dans le chaudron d'Anfield Road. Chelsea, de son côté, est le spécialiste du 1-0.
Jose Mourinho et Rafael Benitez sont sans doute les meilleurs tacticiens d'Angleterre. Leur duel sera observé de près, les deux hommes se vouant une inimitié profonde. Avec Didier Drogba, Chelsea dispose d'une arme offensive que n'a pas Liverpool, dépourvu d'attaquants de très haut niveau. Craig Bellamy, Peter Crouch et Dirk Kuyt n'évoluent pas au même niveau, même s'ils peuvent poser des problèmes à n'importe quelle défense.
Chelsea dispose du meilleur gardien d'Angleterre, voire du monde, en la personne de Pete Cech. A l'exception de Carlos Tevez lors de la victoire sur West Ham (1-4), aucun attaquant n'a trompé sa vigilance en championnat depuis le 20 janvier. Ce jour-là, il s'était incliné à deux reprises. C'était à Liverpool.
(ats / 24 avril 2007 15:55)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Ligue des champions: Manchester United bat l'AC Milan 3-2
MANCHESTER - A Old Trafford, Manchester United a battu l'AC Milan 3-2 en demi-finale aller de la Ligue des champions. La partie a été très spectaculaire, avec plusieurs rebondissements. Ainsi, le but victorieux de Rooney est tombé à la 91e. Mais tout reste ouvert avant le match retour.
Manchester United prenait un départ idéal. A la 5e, sur un corner, Cristiano Ronaldo reprenait de la tête et le gardien Dida ne pouvait que repousser le ballon dans son propre but. Un peu choqués, les Italiens laissaient passer l'orage durant le premier quart d'heure, avant de peu à peu reprendre le contrôle du jeu.
A la 22e, Seedorf propulsait Kaka en profondeur, le Brésilien prenant de vitesse la charnière centrale des "Red Devils" pour égaliser d'un tir croisé. Les Milanais, ainsi relancés, prenaient confiance et monopolisaient le ballon. Dida était à son affaire pour stopper un violent essai de Ronaldo (35e). Moins de deux minutes plus tard, Kaka affolait à nouveau l'arrière-garde mancunienne, éliminant trois hommes pour inscrire un fantastique deuxième but.
Par deux fois (56e/57e), Kaka frôlait le k.o. C'est au contraire Manchester United qui revenait au score juste après, grâce à Rooney bien servi par Scholes (59e). Galvanisés, les Anglais en remettaient une couche et Dida sortait le grand jeu sur une frappe de Fletcher (64e). Milan semblait soudainement désorganisé par les sorties de Maldini et Gattuso, blessés.
La pression des Anglais se faisait constante, mais malgré plusieurs chaudes alertes, les Italiens tenaient bon jusque dans les arrêts de jeu quand, sur un contre fulgurant, Giggs servait Rooney qui trompait Dida d'un tir puissant.
(ats / 24 avril 2007 22:38)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Ligue des champions: Chelsea a battu Liverpool 1-0
LONDRES - Chelsea a fait un petit pas vers la première finale de Ligue des champions de son histoire. Dans une demi-finale aller 100% anglaise, les Londoniens ont en effet battu Liverpool 1-0 à Stamford Bridge, grâce à un but de Joe Cole à la 29e. Le retour s'annonce très chaud mardi 1er mai à Anfield Road.
Chelsea était la seule équipe à se montrer véritablement dangereuse en première mi-temps. Sur une reprise à bout portant de Lampard, Reina sauvait miraculeusement dès la 8e. L'alerte suivante était encore signée Lampard, dont le coup franc puissant passait d'un rien à côté (23e).
Liverpool résistait bien à mi-terrain, mais manquait de percussion en attaque. La charnière centrale souffrait face à la puissance physique de Drogba: à la 29e, l'Ivoirien, servi par Carvalho, abusait Agger avant de parfaitement centrer en retrait pour Joe Cole, qui ne ratait pas la cible. Cet avantage était mérité pour les "Blues", plus tranchants.
Liverpool partait fort après le repos. Une tête de Kuyt frôlait la transversale (50e), avant que Cech ne réalise un arrêt stupéfiant sur une volée de Gerrard (53e). Les "Reds" mettaient une grosse pression sur la défense londonienne, pour tenter d'inscrire le fameux but à l'extérieur.
En fin de partie, Chelsea se faisait à nouveau menaçant, tout d'abord sur une insidieuse tête de Drogba (78e), puis surtout sur une reprise de Lampard que Reina sauvait magnifiquement (81e). Ce résultat laisse tout ouvert pour le match retour.
(ats / 25 avril 2007 22:35)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein