Celtic -Ac Milan 2-1
[Champion's League] Saison 2007-2008
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nufc
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Ligue des champions: le supporter du Celtic banni à vie
L'homme de 27 ans, dont le nom n'a pas été révélé, qui est entré sur la pelouse lors de Celtic Glasgow - AC Milan (2-1), s'est rendu à la police. Il a été banni à vie des matches du Celtic, a annoncé le club écossais.
Il a immédiatement été interdit des matches du Celtic, àdomicile comme à l'extérieur avant d'être amené au poste de police où il a été interrogé. La police de Glasgow recherchait activement cet homme, qui était entré sur la pelouse quelques minutes avant la fin de la rencontre et qui avait légèrement touché Dida, le gardien brésilien de Milan, au visage. Il avait réussi à disparaître après son escapade.
L'AC Milan a confirmé sur la chaîne britannique Sky Sports News qu'il ne portera pas réclamation après sa défaite suite à cet incident mais l'UEFA va cependant se pencher sur ce cas et pourrait prendre des sanctions disciplinaires à l'encontre du club tout en validant le résultat final.
(ats / 04 octobre 2007 16:42)
L'homme de 27 ans, dont le nom n'a pas été révélé, qui est entré sur la pelouse lors de Celtic Glasgow - AC Milan (2-1), s'est rendu à la police. Il a été banni à vie des matches du Celtic, a annoncé le club écossais.
Il a immédiatement été interdit des matches du Celtic, àdomicile comme à l'extérieur avant d'être amené au poste de police où il a été interrogé. La police de Glasgow recherchait activement cet homme, qui était entré sur la pelouse quelques minutes avant la fin de la rencontre et qui avait légèrement touché Dida, le gardien brésilien de Milan, au visage. Il avait réussi à disparaître après son escapade.
L'AC Milan a confirmé sur la chaîne britannique Sky Sports News qu'il ne portera pas réclamation après sa défaite suite à cet incident mais l'UEFA va cependant se pencher sur ce cas et pourrait prendre des sanctions disciplinaires à l'encontre du club tout en validant le résultat final.
(ats / 04 octobre 2007 16:42)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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pinelardo
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L'Olympique Lyonnais s'est qualifié pour le tour à élimination directe de l'UEFA Champions League les quatre dernières saisons mais après deux défaites lors des deux premières journées, les champions de France ont des doutes.
Rencontres cruciales
Les Lyonnais ont certes été déçus de se faire battre 3-0 par le FC Barcelona mais la défaite sur le même score à domicile contre le Rangers FC a jeté un coup de froid sur le club du Rhône qui compte désormais six points de retard sur ses rivaux catalan et écossais. Leur adversaire des deux prochains matches, le premier se déroulant en Allemagne mardi, est le VfB Stuttgart, également à zéro point. Le défenseur de Lyon Sébastien Squillaci sait que lui et ses coéquipiers n'ont plus droit à l'erreur. "On sait que si on veut se qualifier, on doit commencer par deux victoires contre Stuttgart", affirme Squillaci sur uefa.com. "Au début, on savait que ça allait être difficile et maintenant qu'on a rendu les choses très difficiles, c'est à nous de réussir ce qu'on n'a pas réussi avant".
Défaite contre les Rangers
Squillaci regrette encore la défaite en deuxième journée. "Je pense que les Rangers n'avaient même pas encore tiré au but, puis ils ont eu ce corner, on a fait une erreur de marquage et on a encaissé un but", déclare-t-il. "On perdait 1-0 contre une équipe qui défendait en profondeur. On n'arrivait pas à trouver de solutions et on a fini par faire trop d'erreurs individuelles. Tout le monde sait qu'à ce niveau, ces erreurs se paient très cher et c'est ce qu'on a vu contre les Rangers".
Débuts difficiles
Lyon n'a pas réalisé un excellent début de saison de Ligue 1 non plus, mais ceci n'est pas une grande surprise après le départ de l'entraîneur Gérard Houllier et la nomination d'Alain Perrin, ainsi que les grandes modifications apportées à l'effectif, avec notamment le départ de Florent Malouda remplacé par un bon nombre de nouvelles recrues, telles que Kader Keita ou Fabio Grosso. "C'est un fait qu'on a perdu quelques joueurs de grande classe, quelques excellents joueurs, donc c'est difficile", ajoute Squillaci. "On a bien sûr récupéré de bons joueurs mais ils ont besoin d'un peu de temps. Je prendrais Malouda comme exemple. Je sais que quand il est arrivé ici, ce n'était pas facile au début et ensuite, il a effectué des saisons exceptionnelles. On doit peut-être être patient. Plus on jouera ensemble, plus on se trouvera au niveau collectif, on trouvera notre rythme. On a donc besoin de temps. Malheureusement, lorsque vous êtes dans un club comme Lyon, vous ne disposez pas vraiment de six mois pour vous mettre en route".
©uefa.com 1998-2007. Tous droits réservés
Surprenant le mauvais départ de Lyon?
Rencontres cruciales
Les Lyonnais ont certes été déçus de se faire battre 3-0 par le FC Barcelona mais la défaite sur le même score à domicile contre le Rangers FC a jeté un coup de froid sur le club du Rhône qui compte désormais six points de retard sur ses rivaux catalan et écossais. Leur adversaire des deux prochains matches, le premier se déroulant en Allemagne mardi, est le VfB Stuttgart, également à zéro point. Le défenseur de Lyon Sébastien Squillaci sait que lui et ses coéquipiers n'ont plus droit à l'erreur. "On sait que si on veut se qualifier, on doit commencer par deux victoires contre Stuttgart", affirme Squillaci sur uefa.com. "Au début, on savait que ça allait être difficile et maintenant qu'on a rendu les choses très difficiles, c'est à nous de réussir ce qu'on n'a pas réussi avant".
Défaite contre les Rangers
Squillaci regrette encore la défaite en deuxième journée. "Je pense que les Rangers n'avaient même pas encore tiré au but, puis ils ont eu ce corner, on a fait une erreur de marquage et on a encaissé un but", déclare-t-il. "On perdait 1-0 contre une équipe qui défendait en profondeur. On n'arrivait pas à trouver de solutions et on a fini par faire trop d'erreurs individuelles. Tout le monde sait qu'à ce niveau, ces erreurs se paient très cher et c'est ce qu'on a vu contre les Rangers".
Débuts difficiles
Lyon n'a pas réalisé un excellent début de saison de Ligue 1 non plus, mais ceci n'est pas une grande surprise après le départ de l'entraîneur Gérard Houllier et la nomination d'Alain Perrin, ainsi que les grandes modifications apportées à l'effectif, avec notamment le départ de Florent Malouda remplacé par un bon nombre de nouvelles recrues, telles que Kader Keita ou Fabio Grosso. "C'est un fait qu'on a perdu quelques joueurs de grande classe, quelques excellents joueurs, donc c'est difficile", ajoute Squillaci. "On a bien sûr récupéré de bons joueurs mais ils ont besoin d'un peu de temps. Je prendrais Malouda comme exemple. Je sais que quand il est arrivé ici, ce n'était pas facile au début et ensuite, il a effectué des saisons exceptionnelles. On doit peut-être être patient. Plus on jouera ensemble, plus on se trouvera au niveau collectif, on trouvera notre rythme. On a donc besoin de temps. Malheureusement, lorsque vous êtes dans un club comme Lyon, vous ne disposez pas vraiment de six mois pour vous mettre en route".
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Surprenant le mauvais départ de Lyon?
« J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. » George Best
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Ligue des champions: Lyon doit absolument gagner
Lyon doit battre Stuttgart s'il veut poursuivre son aventure en Ligue des champions et s'éviter une humiliante sortie de route dès la première phase. Pour leur part, Arsenal et Manchester United sont, au contraire, bien placés pour accéder aux 8es de finale dès cette 4e journée.
Groupe E
Lyon - VfB Stuttgart. L'OL est dans l'obligation de rééditer la même performance qu'en Allemagne (victoire 2-0) pour rester dans le coup après son départ catastrophique. L'état de forme actuel des Lyonnais (6 succès consécutifs, toutes compétitions confondues) plaide en leur faveur, même si Stuttgart retrouve peu à peu son niveau de la saison passée. Le champion d'Allemagne a enregistré le retour de Magnin, lequel sera opposé à Govou, un joueur qui lui a souvent causé des problèmes. Avec sa doublette magique Ben Arfa-Benzema, Lyon a les moyens de gagner. Patrick Müller est toujours absent.
Barcelone - Glasgow Rangers. Le vainqueur de ce choc aura presque un pied en 8es. Avec sa défense de fer (aucun but encaissé en trois matches), le Barça peut voir venir. Il peut de nouveau pleinement compter sur ses talents offensifs, hormis Eto'o, toujours indisponible, Ronaldinho et Henry se mettant au diapason de Messi. Le Brésilien a mis fin aux critiques concernant son goût immodéré pour les nuits catalanes avec un doublé en championnat contre le Betis Séville (3-0), alors qu'Henry a retrouvé son efficacité sous le maillot blaugrana avec son 5e but en Liga. Les Rangers sont prévenus...
Groupe F
Manchester United - Dynamo Kiev. La mission des Ukrainiens, bons derniers, est quasiment impossible à Old Trafford face à des "Red Devils" qui ont jusque-là tout balayé sur leur passage. Le nul ramené de la pelouse d'Arsenal (2-2), samedi en Premier League, a encore montré le potentiel de la formation de Sir Alex Ferguson.
Sporting Lisbonne - AS Rome. Les Portugais ont un beau coup à jouer pour se relancer face à des Romains d'une inconstance maladive depuis le début de la saison. Si on ajoute à ce syndrome une cascade de forfaits (Totti, Panucci, Aquilani, Taddei), la Roma paraît bien démunie avant de se rendre à Lisbonne.
Groupe G
Inter Milan - CSKA Moscou. Terreur du Calcio et remis en selle par deux succès après une entame en douceur, l'Inter n'a pas grand-chose à craindre des Moscovites. Même la longue indisponibilité de Figo, qui s'ajoute à celles de Toldo, Materazzi, Vieira et Stankovic, ne devrait pas entamer la force de frappe du club italien.
Fenerbahçe - PSV Eindhoven. Quinze jours après un match aller particulièrement musclé (six cartons jaunes, une exclusion), les deux équipes, séparées par un petit point, se retrouvent pour une rencontre qui pourrait pratiquement envoyer son vainqueur au prochain tour. Dans la chaude ambiance du stade Sükrü Saraçoglu, le PSV devra garder ses nerfs et ne pas tomber dans le piège de la provocation.
Groupe H
Steaua Bucarest - FC Séville. Les Sévillans ont encaissé le départ surprise à Tottenham de l'entraîneur Juande Ramos, artisan des deux années de rêve que vient de vivre le club andalou (deux Coupe de l'UEFA, une Supercoupe d'Europe). Les partenaires de Frédéric Kanouté restent ainsi sur deux victoires contre deux cadors de la Liga, Valence (3-0) et le champion en titre, le Real Madrid (2-0), et ne devraient pas craindre grand-chose des Roumains.
Slavia Prague - Arsenal. Après l'humiliation historique subie à l'Emirates Stadium (défaite 7-0), les Tchèques jouent une partie de leur honneur perdu. Mais les "Gunners" savent qu'un petit point les enverrait directement en 8e de finale. Arsène Wenger s'est ainsi payé le luxe de laisser au repos Fabregas et Hleb, Rosicky et Touré étant, eux, forfaits sur blessure, de même que Senderos.
(ats / 06 novembre 2007 17:35)
Lyon doit battre Stuttgart s'il veut poursuivre son aventure en Ligue des champions et s'éviter une humiliante sortie de route dès la première phase. Pour leur part, Arsenal et Manchester United sont, au contraire, bien placés pour accéder aux 8es de finale dès cette 4e journée.
Groupe E
Lyon - VfB Stuttgart. L'OL est dans l'obligation de rééditer la même performance qu'en Allemagne (victoire 2-0) pour rester dans le coup après son départ catastrophique. L'état de forme actuel des Lyonnais (6 succès consécutifs, toutes compétitions confondues) plaide en leur faveur, même si Stuttgart retrouve peu à peu son niveau de la saison passée. Le champion d'Allemagne a enregistré le retour de Magnin, lequel sera opposé à Govou, un joueur qui lui a souvent causé des problèmes. Avec sa doublette magique Ben Arfa-Benzema, Lyon a les moyens de gagner. Patrick Müller est toujours absent.
Barcelone - Glasgow Rangers. Le vainqueur de ce choc aura presque un pied en 8es. Avec sa défense de fer (aucun but encaissé en trois matches), le Barça peut voir venir. Il peut de nouveau pleinement compter sur ses talents offensifs, hormis Eto'o, toujours indisponible, Ronaldinho et Henry se mettant au diapason de Messi. Le Brésilien a mis fin aux critiques concernant son goût immodéré pour les nuits catalanes avec un doublé en championnat contre le Betis Séville (3-0), alors qu'Henry a retrouvé son efficacité sous le maillot blaugrana avec son 5e but en Liga. Les Rangers sont prévenus...
Groupe F
Manchester United - Dynamo Kiev. La mission des Ukrainiens, bons derniers, est quasiment impossible à Old Trafford face à des "Red Devils" qui ont jusque-là tout balayé sur leur passage. Le nul ramené de la pelouse d'Arsenal (2-2), samedi en Premier League, a encore montré le potentiel de la formation de Sir Alex Ferguson.
Sporting Lisbonne - AS Rome. Les Portugais ont un beau coup à jouer pour se relancer face à des Romains d'une inconstance maladive depuis le début de la saison. Si on ajoute à ce syndrome une cascade de forfaits (Totti, Panucci, Aquilani, Taddei), la Roma paraît bien démunie avant de se rendre à Lisbonne.
Groupe G
Inter Milan - CSKA Moscou. Terreur du Calcio et remis en selle par deux succès après une entame en douceur, l'Inter n'a pas grand-chose à craindre des Moscovites. Même la longue indisponibilité de Figo, qui s'ajoute à celles de Toldo, Materazzi, Vieira et Stankovic, ne devrait pas entamer la force de frappe du club italien.
Fenerbahçe - PSV Eindhoven. Quinze jours après un match aller particulièrement musclé (six cartons jaunes, une exclusion), les deux équipes, séparées par un petit point, se retrouvent pour une rencontre qui pourrait pratiquement envoyer son vainqueur au prochain tour. Dans la chaude ambiance du stade Sükrü Saraçoglu, le PSV devra garder ses nerfs et ne pas tomber dans le piège de la provocation.
Groupe H
Steaua Bucarest - FC Séville. Les Sévillans ont encaissé le départ surprise à Tottenham de l'entraîneur Juande Ramos, artisan des deux années de rêve que vient de vivre le club andalou (deux Coupe de l'UEFA, une Supercoupe d'Europe). Les partenaires de Frédéric Kanouté restent ainsi sur deux victoires contre deux cadors de la Liga, Valence (3-0) et le champion en titre, le Real Madrid (2-0), et ne devraient pas craindre grand-chose des Roumains.
Slavia Prague - Arsenal. Après l'humiliation historique subie à l'Emirates Stadium (défaite 7-0), les Tchèques jouent une partie de leur honneur perdu. Mais les "Gunners" savent qu'un petit point les enverrait directement en 8e de finale. Arsène Wenger s'est ainsi payé le luxe de laisser au repos Fabregas et Hleb, Rosicky et Touré étant, eux, forfaits sur blessure, de même que Senderos.
(ats / 06 novembre 2007 17:35)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Ligue des champions: Liverpool a retrouvé sa puissance de tir
Liverpool a préservé ses espoirs d'atteindre les 8es de finale de la Ligue des champions, en écrasant Besiktas Istanbul 8-0 à Anfield Road. Dans ce même groupe A, Porto l'a emporté 2-1 contre Marseille.
Liverpool, qui n'avait plus le droit à l'erreur, a ainsi gagné le premier d'une série de trois matches qui doit absolument lui ramener neuf points. L'Ukrainien Voronin a été le grand bonhomme de la première mi-temps, étant à l'origine des buts de Crouch (19e) et Benayoun (32e) qui concrétisaient logiquement la nette domination anglaise.
L'Israélien Benayoun volait ensuite la vedette à son coéquipier. Il reprenait victorieusement deux fois sur des renvois du gardien turc (53e/56e), fêtant son premier hat trick pour le club. Gerrard (69e), Babel (79e/81e) et Crouch (89e) donnaient ensuite au score des allures de correction.
Marseille a pour sa part subi son premier revers, s'inclinant à Porto 2-1. Sektioui a ouvert le score pour les Portugais (27e), mais Niang égalisait pour l'OM (47e). Porto s'assurait les trois points et la première place provisoire du groupe grâce à Lisandro (78e).
Dans le groupe B, Chelsea a obtenu le 0-0 à Schalke. Le culot d'Ivan Rakitic, dont Köbi Kuhn n'a pas fini de regretter le choix de jouer pour la Croatie, n'a pas suffi aux Allemands. L'ancien joueur du FC Bâle et ses coéquipiers n'ont pas trouvé l'ouverture devant Chelsea. Ce 0-0 leur laisse toutefois toutes leurs chances de qualification dans un groupe B où les Norvégiens de Rosenborg brouillent toutes les cartes après leur étonnant succès 2-0 à Valence grâce à un doublé d'Iversen.
Aussi rigoureux qu'une équipe italienne qui joue le "catenaccio", Chelsea a apporté, à l'Arena AufSchalke, une confirmation. L'équipe londonienne est redevenue une "machine" de guerre, capable de tenir le résultat malgré une pression de tous les instants de l'adversaire. Le renvoi de Jose Mourinho a été digéré. Sous la férule d'Avram Grant, Chelsea peut vraiment nourrir les plus grandes ambitions dans cette Ligue des Champions après avoir craint le pire il y a deux mois.
Dans le groupe C, la Lazio Rome, avec Valon Behrami, a fêté son premier succès en battant Werder Brême 2-1. Rocchi (57e/68e) a inscrit les deux buts romains, les Allemands marquant en fin de match par Diego. Le Real Madrid, qui aurait été qualifié en cas de succès, s'est contenté d'un 0-0 au Pirée contre Olympiakos.
Dans le groupe D, le duel entre les deux leaders a tourné, comme voici deux semaines, en faveur de l'AC Milan, tenant du titre. En Ukraine, les hommes d'Ancelotti se sont imposés 3-0 contre Shakhtar Donetsk, grâce à Inzaghi (66e/93e) et Kaka (72e), et ont virtuellement décroché leur billet pour les 8es de finale.
L'autre match a souri au Celtic Glasgow, toujours redoutable dans son antre du Celtic Park. Les Ecossais ont battu Benfica Lisbonne 1-0 grâce à une réussite de McGeady (45e) qui les relance totalement dans la course à la qualification.
Résultats. Groupe A: Liverpool - Besiktas Istanbul 8-0. Porto - Marseille 2-1. Groupe B: Schalke 04 - Chelsea 0-0. Valence - Rosenborg Tronheim 0-2. Groupe C: Olympiakos - Real Madrid 0-0. Lazio Rome - Werder Brême 2-1. Groupe D: Celtic Glasgow - Benfica Lisbonne 1-0. Shakthar Donetsk 0-3.
(ats / 06 novembre 2007 22:47)
Liverpool a préservé ses espoirs d'atteindre les 8es de finale de la Ligue des champions, en écrasant Besiktas Istanbul 8-0 à Anfield Road. Dans ce même groupe A, Porto l'a emporté 2-1 contre Marseille.
Liverpool, qui n'avait plus le droit à l'erreur, a ainsi gagné le premier d'une série de trois matches qui doit absolument lui ramener neuf points. L'Ukrainien Voronin a été le grand bonhomme de la première mi-temps, étant à l'origine des buts de Crouch (19e) et Benayoun (32e) qui concrétisaient logiquement la nette domination anglaise.
L'Israélien Benayoun volait ensuite la vedette à son coéquipier. Il reprenait victorieusement deux fois sur des renvois du gardien turc (53e/56e), fêtant son premier hat trick pour le club. Gerrard (69e), Babel (79e/81e) et Crouch (89e) donnaient ensuite au score des allures de correction.
Marseille a pour sa part subi son premier revers, s'inclinant à Porto 2-1. Sektioui a ouvert le score pour les Portugais (27e), mais Niang égalisait pour l'OM (47e). Porto s'assurait les trois points et la première place provisoire du groupe grâce à Lisandro (78e).
Dans le groupe B, Chelsea a obtenu le 0-0 à Schalke. Le culot d'Ivan Rakitic, dont Köbi Kuhn n'a pas fini de regretter le choix de jouer pour la Croatie, n'a pas suffi aux Allemands. L'ancien joueur du FC Bâle et ses coéquipiers n'ont pas trouvé l'ouverture devant Chelsea. Ce 0-0 leur laisse toutefois toutes leurs chances de qualification dans un groupe B où les Norvégiens de Rosenborg brouillent toutes les cartes après leur étonnant succès 2-0 à Valence grâce à un doublé d'Iversen.
Aussi rigoureux qu'une équipe italienne qui joue le "catenaccio", Chelsea a apporté, à l'Arena AufSchalke, une confirmation. L'équipe londonienne est redevenue une "machine" de guerre, capable de tenir le résultat malgré une pression de tous les instants de l'adversaire. Le renvoi de Jose Mourinho a été digéré. Sous la férule d'Avram Grant, Chelsea peut vraiment nourrir les plus grandes ambitions dans cette Ligue des Champions après avoir craint le pire il y a deux mois.
Dans le groupe C, la Lazio Rome, avec Valon Behrami, a fêté son premier succès en battant Werder Brême 2-1. Rocchi (57e/68e) a inscrit les deux buts romains, les Allemands marquant en fin de match par Diego. Le Real Madrid, qui aurait été qualifié en cas de succès, s'est contenté d'un 0-0 au Pirée contre Olympiakos.
Dans le groupe D, le duel entre les deux leaders a tourné, comme voici deux semaines, en faveur de l'AC Milan, tenant du titre. En Ukraine, les hommes d'Ancelotti se sont imposés 3-0 contre Shakhtar Donetsk, grâce à Inzaghi (66e/93e) et Kaka (72e), et ont virtuellement décroché leur billet pour les 8es de finale.
L'autre match a souri au Celtic Glasgow, toujours redoutable dans son antre du Celtic Park. Les Ecossais ont battu Benfica Lisbonne 1-0 grâce à une réussite de McGeady (45e) qui les relance totalement dans la course à la qualification.
Résultats. Groupe A: Liverpool - Besiktas Istanbul 8-0. Porto - Marseille 2-1. Groupe B: Schalke 04 - Chelsea 0-0. Valence - Rosenborg Tronheim 0-2. Groupe C: Olympiakos - Real Madrid 0-0. Lazio Rome - Werder Brême 2-1. Groupe D: Celtic Glasgow - Benfica Lisbonne 1-0. Shakthar Donetsk 0-3.
(ats / 06 novembre 2007 22:47)
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Football à Glasgow, la croix et la bannière
LIGUE DES CHAMPIONS. Tous deux engagés, le catholique Celtic et les protestants Rangers se vouent une haine féroce depuis toujours. Récit d'une rivalité religieuse «ordinaire», à coups de meurtres et de sectarisme.
Fred Hirzel, Mercredi 7 novembre 2007
Avec leurs potes Peter Campbell et William McBreath, les frères McNeil, Peter et Moses, étaient de bons garçons. Elevés à l'aune du labeur respecté, au sein d'une famille ouvrière aux valeurs bien ancrées. Une famille réformée, protestante, loyaliste envers la couronne d'Angleterre, comme la grande majorité des habitants de Glasgow, métropole écossaise. De bons garçons, oui, honnêtes et bosseurs...
Alors, quand les frangins accompagnés de leurs deux amis décident de fonder un club de football, en 1873, au moment où le ballon rond commence à étendre ses ramifications un peu partout, les braves gens se félicitent de l'initiative: «Comme ces jeunes ont raison! Notre cité aura aussi son équipe de football, et nous allons créer un championnat d'Ecosse!» Ainsi naquirent les Rangers FC - ou Gers tout court -, plus connus sous l'appellation internationale de Glasgow Rangers, au matin du 15 juillet 1873. Avec la bénédiction du peuple.
Seulement, à la même époque, l'Irlande voisine et catholique se retrouve exsangue, confrontée à la famine la plus terrible de son histoire déjà agitée. Des dizaines de milliers d'Irlandais fuient vers la terre d'Ecosse, dans l'espoir d'y chercher à manger, au moins, ou un boulot, au mieux.
Ils ne sont pas bien vus par la société calviniste écossaise, cela va de soi. Et voilà que le 6 novembre 1888, un prêtre d'origine irlandaise porte un autre club de foot sur les fonts baptismaux, à l'est de Glasgow, là où réside sa communauté: le très catholique Celtic.
Choc frontal. Qui, en sus du derby annuel, dit Old Firm, pourrait s'inventer un nouvel exutoire de niveau européen. Car cette saison, les deux formations militent en Ligue des champions. L'une dans le groupe D (Celtic, avec l'AC Milan, Shakhtar Donetsk, Benfica Lisbonne), la seconde dans le groupe E (Rangers, avec Barcelone, Lyon, Stuttgart). Qu'elles continuent leur chemin jusqu'aux huitièmes de finale - pourquoi pas? - et l'on risquerait de subir un affrontement en règle, version Coupe d'Europe.
Subir est le mot qui convient. Depuis 1890 et sa première édition, l'Old Firm a engendré des centaines de morts, des milliers de blessés, des arrestations et des procès à la pelle. Pour l'exemple? Pour rien, en réalité. La férocité des clans n'a d'égale que celle des Romains, Lazio et AS Roma (LT du 24.10.2007). Là, il s'agit de basse politique. A Glasgow, c'est pire, la religion sert d'excuse.
«We fuck the pope and the IRA!» Pas besoin de traduire ce chant favori des Gers, qui se poursuit par: «Nous sommes les Billy Boys, immergés jusqu'aux genoux dans le sang des sales catholiques.» Les Bhoys (supporters du Celtic) ne restent pas en retrait: «Ils nous haïssent et on le leur rend bien. Nous sommes catholiques, ils sont protestants. C'est aussi simple que ça», déclarait Billy McNeill, une figure de Glasgow, au journaliste du Boston Herald venu enquêter, en 2001, après l'assassinat à l'arme blanche du Bhoy Tommy McFadden, 16 ans, par deux Gers au terme d'une finale de Coupe d'Ecosse.
Tommy McFadden, un mort inutile parmi tant. Parmi, entre autres, ces 66 personnes victimes d'un «mouvement de foule» - en clair, une baston générale - le 2 janvier 1971 à Ibrox Park, lorsque Colin Stein égalisa à l'ultime minute en faveur des Rangers. Ou des 26 tués, toujours à Ibrox Park et pour des raisons aussi «fondamentales», au cours d'un Ecosse - Angleterre en 1902.
Les statisticiens notent que les choses se sont calmées: durant les vingt dernières années, il n'y aurait eu qu'une dizaine de meurtres liés à la rivalité Celtic - Rangers. Une paille! En fait, la haine sera si profonde que, à l'aube de l'année 1989, aucun des deux belligérants n'a encore caressé l'idée d'engager des joueurs ou dirigeants obéissant à la religion honnie.
Survient l'affaire Johnston. Maurice John Giblin «Mo» Johnston est Ecossais, footballeur, catholique. Il joue en 1re division française, au FC Nantes-Atlantique, et marque beaucoup de buts. Le Celtic lui fait les yeux doux. L'oiseau rare signe un précontrat, en se fendant d'une déclaration prématurée: «Je ne veux jouer que sous les couleurs d'un seul club, le Celtic.»
Mais on a beau être un catholique romain fervent, l'argent, c'est l'argent. Célébrissime manager des Rangers, Graeme Souness (ex-Liverpool) dépose un pactole sous le nez de «MoJo». Lequel change immédiatement de religion et rejoint les Gers. Grosse erreur. A leurs yeux, Johnston sera le paria symbolisant la fin de la tradition du club. Pas question de l'aligner. A l'opposé, les Bhoys le traitent de Judas. «Mo, tu es un enfoiré!» écrit un fan du Celtic. «Si jamais je te croise, je te dévisse la tête, je t'arrache les oreilles et je te les fais bouffer!»
Aujourd'hui réfugié au Canada, où il entraîne le FC Toronto en Major Soccer League, Mo Johnston a gardé ses deux oreilles. Vingt ans après, elles doivent toujours siffler.
Le pire, peut-être, remonte au printemps 2006, quand les Rangers rencontrèrent les Espagnols de Villarreal en 8e de finale de la Ligue des champions, en leur servant quelques morceaux choisis, genre «les catholiques devraient être éliminés à la naissance». L'UEFA (Union européenne de foot) engagea des poursuites au titre de chants abusifs et discriminatoires. Le 12 avril, sa propre commission de discipline prononça l'acquittement du club de Glasgow. Le monde du ballon rond en est resté sans voix. Sauf les Gers et les Bhoys.
[Le Temps 2007]
LIGUE DES CHAMPIONS. Tous deux engagés, le catholique Celtic et les protestants Rangers se vouent une haine féroce depuis toujours. Récit d'une rivalité religieuse «ordinaire», à coups de meurtres et de sectarisme.
Fred Hirzel, Mercredi 7 novembre 2007
Avec leurs potes Peter Campbell et William McBreath, les frères McNeil, Peter et Moses, étaient de bons garçons. Elevés à l'aune du labeur respecté, au sein d'une famille ouvrière aux valeurs bien ancrées. Une famille réformée, protestante, loyaliste envers la couronne d'Angleterre, comme la grande majorité des habitants de Glasgow, métropole écossaise. De bons garçons, oui, honnêtes et bosseurs...
Alors, quand les frangins accompagnés de leurs deux amis décident de fonder un club de football, en 1873, au moment où le ballon rond commence à étendre ses ramifications un peu partout, les braves gens se félicitent de l'initiative: «Comme ces jeunes ont raison! Notre cité aura aussi son équipe de football, et nous allons créer un championnat d'Ecosse!» Ainsi naquirent les Rangers FC - ou Gers tout court -, plus connus sous l'appellation internationale de Glasgow Rangers, au matin du 15 juillet 1873. Avec la bénédiction du peuple.
Seulement, à la même époque, l'Irlande voisine et catholique se retrouve exsangue, confrontée à la famine la plus terrible de son histoire déjà agitée. Des dizaines de milliers d'Irlandais fuient vers la terre d'Ecosse, dans l'espoir d'y chercher à manger, au moins, ou un boulot, au mieux.
Ils ne sont pas bien vus par la société calviniste écossaise, cela va de soi. Et voilà que le 6 novembre 1888, un prêtre d'origine irlandaise porte un autre club de foot sur les fonts baptismaux, à l'est de Glasgow, là où réside sa communauté: le très catholique Celtic.
Choc frontal. Qui, en sus du derby annuel, dit Old Firm, pourrait s'inventer un nouvel exutoire de niveau européen. Car cette saison, les deux formations militent en Ligue des champions. L'une dans le groupe D (Celtic, avec l'AC Milan, Shakhtar Donetsk, Benfica Lisbonne), la seconde dans le groupe E (Rangers, avec Barcelone, Lyon, Stuttgart). Qu'elles continuent leur chemin jusqu'aux huitièmes de finale - pourquoi pas? - et l'on risquerait de subir un affrontement en règle, version Coupe d'Europe.
Subir est le mot qui convient. Depuis 1890 et sa première édition, l'Old Firm a engendré des centaines de morts, des milliers de blessés, des arrestations et des procès à la pelle. Pour l'exemple? Pour rien, en réalité. La férocité des clans n'a d'égale que celle des Romains, Lazio et AS Roma (LT du 24.10.2007). Là, il s'agit de basse politique. A Glasgow, c'est pire, la religion sert d'excuse.
«We fuck the pope and the IRA!» Pas besoin de traduire ce chant favori des Gers, qui se poursuit par: «Nous sommes les Billy Boys, immergés jusqu'aux genoux dans le sang des sales catholiques.» Les Bhoys (supporters du Celtic) ne restent pas en retrait: «Ils nous haïssent et on le leur rend bien. Nous sommes catholiques, ils sont protestants. C'est aussi simple que ça», déclarait Billy McNeill, une figure de Glasgow, au journaliste du Boston Herald venu enquêter, en 2001, après l'assassinat à l'arme blanche du Bhoy Tommy McFadden, 16 ans, par deux Gers au terme d'une finale de Coupe d'Ecosse.
Tommy McFadden, un mort inutile parmi tant. Parmi, entre autres, ces 66 personnes victimes d'un «mouvement de foule» - en clair, une baston générale - le 2 janvier 1971 à Ibrox Park, lorsque Colin Stein égalisa à l'ultime minute en faveur des Rangers. Ou des 26 tués, toujours à Ibrox Park et pour des raisons aussi «fondamentales», au cours d'un Ecosse - Angleterre en 1902.
Les statisticiens notent que les choses se sont calmées: durant les vingt dernières années, il n'y aurait eu qu'une dizaine de meurtres liés à la rivalité Celtic - Rangers. Une paille! En fait, la haine sera si profonde que, à l'aube de l'année 1989, aucun des deux belligérants n'a encore caressé l'idée d'engager des joueurs ou dirigeants obéissant à la religion honnie.
Survient l'affaire Johnston. Maurice John Giblin «Mo» Johnston est Ecossais, footballeur, catholique. Il joue en 1re division française, au FC Nantes-Atlantique, et marque beaucoup de buts. Le Celtic lui fait les yeux doux. L'oiseau rare signe un précontrat, en se fendant d'une déclaration prématurée: «Je ne veux jouer que sous les couleurs d'un seul club, le Celtic.»
Mais on a beau être un catholique romain fervent, l'argent, c'est l'argent. Célébrissime manager des Rangers, Graeme Souness (ex-Liverpool) dépose un pactole sous le nez de «MoJo». Lequel change immédiatement de religion et rejoint les Gers. Grosse erreur. A leurs yeux, Johnston sera le paria symbolisant la fin de la tradition du club. Pas question de l'aligner. A l'opposé, les Bhoys le traitent de Judas. «Mo, tu es un enfoiré!» écrit un fan du Celtic. «Si jamais je te croise, je te dévisse la tête, je t'arrache les oreilles et je te les fais bouffer!»
Aujourd'hui réfugié au Canada, où il entraîne le FC Toronto en Major Soccer League, Mo Johnston a gardé ses deux oreilles. Vingt ans après, elles doivent toujours siffler.
Le pire, peut-être, remonte au printemps 2006, quand les Rangers rencontrèrent les Espagnols de Villarreal en 8e de finale de la Ligue des champions, en leur servant quelques morceaux choisis, genre «les catholiques devraient être éliminés à la naissance». L'UEFA (Union européenne de foot) engagea des poursuites au titre de chants abusifs et discriminatoires. Le 12 avril, sa propre commission de discipline prononça l'acquittement du club de Glasgow. Le monde du ballon rond en est resté sans voix. Sauf les Gers et les Bhoys.
[Le Temps 2007]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Un excellent article qui parle de la rivalité entre les Bhoys et les GersSteven a écrit :C'est comment la realité?
-> http://www.kicknrush.com/Kicknrush/arti ... article=41
Quand aux 2 drames de Ibrox Park, ils ne sont pas dus à des bagarres entre sups comme l'affirme l'auteur de l'article du temps, mais un effondrement de la tribune en bois pour celle de 1902, celle de 1971 est expliquée dans l'article de kicknrush.
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Ligue des champions: Barcelone à un point des 8es de finale
Le FC Barcelone n'a besoin que d'un point à Lyon pour rejoindre les 8e de finale de la Ligue des champions dès la 5e journée de la phase de poules. L'Inter Milan se qualifierait pour sa part avec une victoire contre Fenerbahçe.
Groupe E: Un point pris à Gerland assurerait au FC Barcelone de terminer devant Lyon, mais il ne sera pas facile à prendre. L'OL, qui évoluera sans Patrick Müller, vient d'une part de marquer 28 points sur 33 possibles en championnat et retrouve la grande forme. D'autre part le géant catalan est secoué par une énième "affaire Ronaldinho" et n'est pas au mieux. Le Brésilien, absent samedi contre Huelva (3-0) en Liga et en disgrâce auprès d'une partie du public, devrait être sur le terrain mardi, alors que Thierry Henry ne sera pas de la partie. Lyon a lui besoin d'une victoire pour ne pas risquer d'être distancé par les Rangers, qui se déplacent à Stuttgart pour défier le VfB de Ludovic Magnin, et aller disputer sa place en 8e de finale à Glasgow le 12 décembre.
Groupe F: Le Sporting Lisbonne, à trois points de l'AS Rome qui les devance à l'opposition directe (2-1/2-2), doit obtenir un meilleur résultat que les Italiens pour garder une chance de les doubler. Il lui faut donc au moins un nul sur le terrain de Manchester United et compter sur une défaite de la Roma à Kiev face au Dynamo, qui n'a pas pris le moindre point en Ligue des champions... Et si ManU est déjà qualifié, les Lisboètes ne doivent compter sur aucun relâchement. Battus à Bolton samedi en championnat d'Angleterre (1-0), les hommes d'Alex Ferguson ne prendront pas ce match à la légère.
Groupe G: Le choc du groupe entre l'Inter Milan et Fenerbahçe se jouera sans pression excessive à San Siro: les deux clubs peuvent se qualifier quelque soit le résultat de leur rencontre, si le PSV Eindhoven ne prend pas trois points sur le terrain du CSKA Moscou. L'Inter voudra prendre sa revanche de l'aller (défaite 1-0) et défendre son prestige - et son 8e de finale retour à domicile - en terminant premier, ce que lui garantirait une victoire devant les Turcs. Le PSV est donc lui obligé de gagner à Moscou pour garder une chance de revenir dans la course.
Groupe H: Il ne reste qu'une seule combinaison pour que ce groupe ne soit pas joué au profit d'Arsenal et du FC Séville: il faut que le Slavia Prague gagne sur la pelouse du Steaua à Bucarest et que les Andalous ne prennent pas trois points contre le leader du championnat d'Angleterre, qui devrait aligner Philippe Senderos. Alors le club rouge et blanc de Prague pourra disputer la qualification au dernier match en recevant Séville, qui l'a battu 4-2 à l'aller.
(ats / 26 novembre 2007 16:54)
Le FC Barcelone n'a besoin que d'un point à Lyon pour rejoindre les 8e de finale de la Ligue des champions dès la 5e journée de la phase de poules. L'Inter Milan se qualifierait pour sa part avec une victoire contre Fenerbahçe.
Groupe E: Un point pris à Gerland assurerait au FC Barcelone de terminer devant Lyon, mais il ne sera pas facile à prendre. L'OL, qui évoluera sans Patrick Müller, vient d'une part de marquer 28 points sur 33 possibles en championnat et retrouve la grande forme. D'autre part le géant catalan est secoué par une énième "affaire Ronaldinho" et n'est pas au mieux. Le Brésilien, absent samedi contre Huelva (3-0) en Liga et en disgrâce auprès d'une partie du public, devrait être sur le terrain mardi, alors que Thierry Henry ne sera pas de la partie. Lyon a lui besoin d'une victoire pour ne pas risquer d'être distancé par les Rangers, qui se déplacent à Stuttgart pour défier le VfB de Ludovic Magnin, et aller disputer sa place en 8e de finale à Glasgow le 12 décembre.
Groupe F: Le Sporting Lisbonne, à trois points de l'AS Rome qui les devance à l'opposition directe (2-1/2-2), doit obtenir un meilleur résultat que les Italiens pour garder une chance de les doubler. Il lui faut donc au moins un nul sur le terrain de Manchester United et compter sur une défaite de la Roma à Kiev face au Dynamo, qui n'a pas pris le moindre point en Ligue des champions... Et si ManU est déjà qualifié, les Lisboètes ne doivent compter sur aucun relâchement. Battus à Bolton samedi en championnat d'Angleterre (1-0), les hommes d'Alex Ferguson ne prendront pas ce match à la légère.
Groupe G: Le choc du groupe entre l'Inter Milan et Fenerbahçe se jouera sans pression excessive à San Siro: les deux clubs peuvent se qualifier quelque soit le résultat de leur rencontre, si le PSV Eindhoven ne prend pas trois points sur le terrain du CSKA Moscou. L'Inter voudra prendre sa revanche de l'aller (défaite 1-0) et défendre son prestige - et son 8e de finale retour à domicile - en terminant premier, ce que lui garantirait une victoire devant les Turcs. Le PSV est donc lui obligé de gagner à Moscou pour garder une chance de revenir dans la course.
Groupe H: Il ne reste qu'une seule combinaison pour que ce groupe ne soit pas joué au profit d'Arsenal et du FC Séville: il faut que le Slavia Prague gagne sur la pelouse du Steaua à Bucarest et que les Andalous ne prennent pas trois points contre le leader du championnat d'Angleterre, qui devrait aligner Philippe Senderos. Alors le club rouge et blanc de Prague pourra disputer la qualification au dernier match en recevant Séville, qui l'a battu 4-2 à l'aller.
(ats / 26 novembre 2007 16:54)
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Ligue des champions: victoire impérative pour Liverpool
Liverpool jouera à quitte ou double mercredi à Anfield Road: les "Reds" devront absolument battre Porto pour préserver leurs chances d'accéder aux 8es de finale de la Ligue des champions. Pour leur part, l'AC Milan, Chelsea et le Real Madrid devraient obtenir leur qualification.
Groupe A:
Liverpool - Porto: en cas de succès, le FC Porto se qualifierait. A Liverpool, Rafael Benitez marche sur des braises. Si jamais l'OM et Porto prenaient les deux billets du groupe, l'entraîneur espagnol aura du mal à sauver son poste. Benitez se trouve en conflit ouvert avec les propriétaires américains du club, qui n'hésiteront pas le cas échéant à trancher dans le vif. Seule une qualification, qui serait presque miraculeuse après avoir obtenu un point lors des trois premiers matches, pourrait sauver l'Espagnol.
Besiktas Istanbul - Marseille: l'OM aura son ticket pour les 8ess s'il s'impose et que Liverpool ne gagne pas, ou s'il fait match nul en Turquie et Liverpool perd. Besiktas doit se faire pardonner devant son public après avoir subi la plus grosse défaite de l'histoire de la Ligue des champions (8-0) à Liverpool lors de la dernière journée.
Groupe B:
Rosenborg Trondheim - Chelsea: c'est le match au sommet. Si les Blues gagnent, ils seront qualifiés indépendamment des autres résultats. Si Valence ne gagne pas, les partenaires de Drogba pourraient se contenter d'un nul. Les Norvégiens peuvent aussi se qualifier en gagnant, à condition que dans le même temps Schalke ne l'emporte pas.
Valence - Schalke 04: l'équipe espagnole est au bord de l'élimination, tandis que le club allemand peut encore y croire en cas de victoire, avant d'accueillir Rosenborg pour une dernière journée qui sera peut-être déterminante.
Groupe C:
Werder Brême - Real Madrid: le Real sera qualifié s'il l'emporte, ou s'il fait match nul et si l'autre match du groupe ne se termine pas par un score de parité. Dans cette poule où rien n'est joué, cette rencontre entre le leader du championnat espagnol et le dauphin de la Bundesliga pourrait déboucher sur un spectacle alléchant.
Lazio Rome - Olympiakos: le club italien doit tenter de faire réapparaître son nom dans la rubrique football et plus dans celle des faits divers après la mort, le 11 novembre, d'un supporter de la Lazio, tué par un policier sur une aire d'autoroute à la suite d'une rixe avec des tifosi de la Juventus Turin. Lazio et Olympiakos peuvent toujours croire à une qualification, l'éventuel vainqueur prendrait une belle option.
Groupe D:
Benfica Lisbonne - AC Milan: le tenant du titre sera qualifié en cas de succès. Les Lombards peuvent aussi se contenter d'un nul si l'autre match du groupe se termine avec un vainqueur. A l'aller, les Milanais l'avaient emporté 2-1 face aux Portugais.
Celtic Glasgow - Shakhtar Donetsk: cette rencontre pourrait être décisive pour le vainqueur. A l'aller, l'éqipe ukrainienne s'était imposée 2-0 contre le Celtic. Mais les Ecossais sont redoutables dans leur antre du Celtic Park, où ils ont gagné leurs deux matches.
(ats / 27 novembre 2007 15:46)
Liverpool jouera à quitte ou double mercredi à Anfield Road: les "Reds" devront absolument battre Porto pour préserver leurs chances d'accéder aux 8es de finale de la Ligue des champions. Pour leur part, l'AC Milan, Chelsea et le Real Madrid devraient obtenir leur qualification.
Groupe A:
Liverpool - Porto: en cas de succès, le FC Porto se qualifierait. A Liverpool, Rafael Benitez marche sur des braises. Si jamais l'OM et Porto prenaient les deux billets du groupe, l'entraîneur espagnol aura du mal à sauver son poste. Benitez se trouve en conflit ouvert avec les propriétaires américains du club, qui n'hésiteront pas le cas échéant à trancher dans le vif. Seule une qualification, qui serait presque miraculeuse après avoir obtenu un point lors des trois premiers matches, pourrait sauver l'Espagnol.
Besiktas Istanbul - Marseille: l'OM aura son ticket pour les 8ess s'il s'impose et que Liverpool ne gagne pas, ou s'il fait match nul en Turquie et Liverpool perd. Besiktas doit se faire pardonner devant son public après avoir subi la plus grosse défaite de l'histoire de la Ligue des champions (8-0) à Liverpool lors de la dernière journée.
Groupe B:
Rosenborg Trondheim - Chelsea: c'est le match au sommet. Si les Blues gagnent, ils seront qualifiés indépendamment des autres résultats. Si Valence ne gagne pas, les partenaires de Drogba pourraient se contenter d'un nul. Les Norvégiens peuvent aussi se qualifier en gagnant, à condition que dans le même temps Schalke ne l'emporte pas.
Valence - Schalke 04: l'équipe espagnole est au bord de l'élimination, tandis que le club allemand peut encore y croire en cas de victoire, avant d'accueillir Rosenborg pour une dernière journée qui sera peut-être déterminante.
Groupe C:
Werder Brême - Real Madrid: le Real sera qualifié s'il l'emporte, ou s'il fait match nul et si l'autre match du groupe ne se termine pas par un score de parité. Dans cette poule où rien n'est joué, cette rencontre entre le leader du championnat espagnol et le dauphin de la Bundesliga pourrait déboucher sur un spectacle alléchant.
Lazio Rome - Olympiakos: le club italien doit tenter de faire réapparaître son nom dans la rubrique football et plus dans celle des faits divers après la mort, le 11 novembre, d'un supporter de la Lazio, tué par un policier sur une aire d'autoroute à la suite d'une rixe avec des tifosi de la Juventus Turin. Lazio et Olympiakos peuvent toujours croire à une qualification, l'éventuel vainqueur prendrait une belle option.
Groupe D:
Benfica Lisbonne - AC Milan: le tenant du titre sera qualifié en cas de succès. Les Lombards peuvent aussi se contenter d'un nul si l'autre match du groupe se termine avec un vainqueur. A l'aller, les Milanais l'avaient emporté 2-1 face aux Portugais.
Celtic Glasgow - Shakhtar Donetsk: cette rencontre pourrait être décisive pour le vainqueur. A l'aller, l'éqipe ukrainienne s'était imposée 2-0 contre le Celtic. Mais les Ecossais sont redoutables dans leur antre du Celtic Park, où ils ont gagné leurs deux matches.
(ats / 27 novembre 2007 15:46)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Oui mais heu.... tu sais que même si j'sais bien où trouver les informations, j'suis pas le seul arbitre du forum hein!IlMaestro a écrit :question du règlement (pour Mystik
):
(mais je ne dirai pas qui sont les autres ).en cas d'égalité, fait foi la confrontation directe ou le goal-average ?!
1) plus grand nombre de points obtenus lors des matches de groupe disputés entre les équipes concernées
2) meilleure différence de buts sur les matches de groupe disputés entre les équipes concernées
3) plus grand nombre de buts inscrits à l'extérieur lors des matches de groupe disputés entre les équipes concernées
4) meilleure différence de buts sur tous les matches de groupe
5) plus grand nombre de buts marqués
6) plus grand nombre de points de coefficient obtenus par l'équipe en question et son association sur les cinq saisons précédentes.
merci Mystik
Cette info te coûtera cher!
- Connexion internet (forfait) : 15.-
- Temps à chercher (30.-/h) : 2.50
- Temps pour poster (40.-/h) : 2.-
sous - Total : 19.50 CHF
- rabais car membre 4ever : bcp de bières
TOTAL : une raclette (ou bière) lors d'un match à Tourbillon en 2008
(samedi soir, priorité à la copine -> je ne serai pas à Sion 
)La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
Les arbitres finissent le match avec des dessous de tablesIlMaestro a écrit :hum je vois...ah la la ces arbitres, en fait je vois pas de grandes différences avec les joueurs
Les joueurs finissent le match sous la table
Voilà où est la différence
PS: cela n'est qu'une blague et toute ressemblance fortuite avec la réalité n'est que pure coïncidence
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
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Ligue des champions: quatre nouveaux qualifiés
Quatre nouvelles équipes se sont qualifiées pour les 8es de finale de la Ligue des champions. Il s'agit de Barcelone (groupe E), de l'AS Rome (F), de l'Inter Milan (G) et du FC Séville (H).
Le FC Barcelone peut déjà préparer le "clasico" contre le Real Madrid du 22 décembre. Les Catalans ont expédié les affaires courantes sur la scène européenne. A Lyon, ils ont cueilli le point (2-2) qui leur assure la qualification. En arrachant ce nul heureux, Lyon est toujours dans la course. Les champions de France devront battre les Rangers à Glasgow le 12 décembre pour se qualifier. A Stuttgart, les Ecossais ont été battus 3-2 par un adversaire qui ne jouait plus que pour l'honneur. Ludovic Magnin a livré un très bon match. Le Vaudois a notamment offert l'assist pour le 3-2 de Marica à la 85e.
L'Inter Milan sera aussi au rendez-vous des 8es de finale. Les "nerazzurri" ont assuré leur qualification dans le groupe G en battant Fenerbahce 3-0. Les Turcs obtiendront le deuxième ticket s'ils battent CSKA Moscou lors du dernier match.
Dans le groupe F, l'AS Rome a décroché le second ticket en allant l'emporter 4-1 à Kiev contre le Dynamo, dont le compteur reste désespérément bloqué à zéro point. Vucinic (4e/36e) et Giuly (32e) ont marqué en première période pour des Romains dominateurs. Bangoura (63e) a sauvé l'honneur pour les Ukrainiens avant que Vucinic ne frappe encore (78e). Manchester United, déjà qualifié, a battu Sporting Lisbonne 2-1.
Dans le groupe H, le FC Séville est le deuxième qualifié, son adversaire du soir Arsenal ayant déjà obtenu son billet lors de la précédente journée. Philippe Senderos a effectué son retour aux affaires avec les "Gunners", qui ont subi leur première défaite de la saison en match officiel.
Eduardo (11e) avait ouvert le score pour Arsenal, mais Keita (24e), Luis Fabiano (34e) et Kanouté (89e) renversaient la vapeur pour les Espagnols. Dans l'autre match, sans enjeu, Steaua Bucarest et Slavia Prague ont fait match nul 1-1.
Résultats. Groupe E: Lyon - Barcelone 2-2. VfB Stuttgart - Glasgow Rangers 3-2. Groupe F: Manchester United - Sporting Lisbonne 2-1. Dynamo Kiev - AS Rome 1-4. Groupe G: CSKA Moscou - PSV Eindhoven 0-1. Inter Milan - Fenerbahce 3-0. Groupe H: FC Séville - Arsenal 3-1. Steaua Bucarest - Slavia Prague 1-1.
(ats / 27 novembre 2007 22:55)
Quatre nouvelles équipes se sont qualifiées pour les 8es de finale de la Ligue des champions. Il s'agit de Barcelone (groupe E), de l'AS Rome (F), de l'Inter Milan (G) et du FC Séville (H).
Le FC Barcelone peut déjà préparer le "clasico" contre le Real Madrid du 22 décembre. Les Catalans ont expédié les affaires courantes sur la scène européenne. A Lyon, ils ont cueilli le point (2-2) qui leur assure la qualification. En arrachant ce nul heureux, Lyon est toujours dans la course. Les champions de France devront battre les Rangers à Glasgow le 12 décembre pour se qualifier. A Stuttgart, les Ecossais ont été battus 3-2 par un adversaire qui ne jouait plus que pour l'honneur. Ludovic Magnin a livré un très bon match. Le Vaudois a notamment offert l'assist pour le 3-2 de Marica à la 85e.
L'Inter Milan sera aussi au rendez-vous des 8es de finale. Les "nerazzurri" ont assuré leur qualification dans le groupe G en battant Fenerbahce 3-0. Les Turcs obtiendront le deuxième ticket s'ils battent CSKA Moscou lors du dernier match.
Dans le groupe F, l'AS Rome a décroché le second ticket en allant l'emporter 4-1 à Kiev contre le Dynamo, dont le compteur reste désespérément bloqué à zéro point. Vucinic (4e/36e) et Giuly (32e) ont marqué en première période pour des Romains dominateurs. Bangoura (63e) a sauvé l'honneur pour les Ukrainiens avant que Vucinic ne frappe encore (78e). Manchester United, déjà qualifié, a battu Sporting Lisbonne 2-1.
Dans le groupe H, le FC Séville est le deuxième qualifié, son adversaire du soir Arsenal ayant déjà obtenu son billet lors de la précédente journée. Philippe Senderos a effectué son retour aux affaires avec les "Gunners", qui ont subi leur première défaite de la saison en match officiel.
Eduardo (11e) avait ouvert le score pour Arsenal, mais Keita (24e), Luis Fabiano (34e) et Kanouté (89e) renversaient la vapeur pour les Espagnols. Dans l'autre match, sans enjeu, Steaua Bucarest et Slavia Prague ont fait match nul 1-1.
Résultats. Groupe E: Lyon - Barcelone 2-2. VfB Stuttgart - Glasgow Rangers 3-2. Groupe F: Manchester United - Sporting Lisbonne 2-1. Dynamo Kiev - AS Rome 1-4. Groupe G: CSKA Moscou - PSV Eindhoven 0-1. Inter Milan - Fenerbahce 3-0. Groupe H: FC Séville - Arsenal 3-1. Steaua Bucarest - Slavia Prague 1-1.
(ats / 27 novembre 2007 22:55)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Il s'agit d'une expression qui signifie que l'on attend monts et merveilles de quelque chose et que, finalement, on en ressort déçu, frustré.
En l'occurrence, on s'attend à un match grandiose, avec deux équipes tournées vers l'offensive, un résultat prolifique en buts etc. et finalement il s'agit d'une rencontre fade, sans actions dangereuses et un score nul et vierge, par exemple.
En l'occurrence, on s'attend à un match grandiose, avec deux équipes tournées vers l'offensive, un résultat prolifique en buts etc. et finalement il s'agit d'une rencontre fade, sans actions dangereuses et un score nul et vierge, par exemple.
Don't worry, be happy!
