Liga espagnole
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le real éliminé de la coupe après été battu 4-0 au match aller par la formation de d3 Alcorcon ils les ont seulement battu 1-0 au retour un but de van der vaart.Immense exploit pour ce pensionnaires de 3ème division.
Re: Liga espagnole
Visca Alcorcon :=) ahahah ! Ce n'est plus les galactiques mais les "pathétiques" paraît-il



Re: Liga espagnole
A noter le classico entre le barça et le real madrid ce soir à 19h
3-1 iniesta, Henry de la main
et Messi 
3-1 iniesta, Henry de la main


Re: Liga espagnole
Entre leur prestation de la semaine en CL, il n'y a pas photo. Barcelone part favori.
A noter que les stars des deux équipes devraient faire leur retour après des blessures plus ou moins longues : Messi et Ibrahimovic pour le Barça, Ronaldo pour le Real.
A noter que les stars des deux équipes devraient faire leur retour après des blessures plus ou moins longues : Messi et Ibrahimovic pour le Barça, Ronaldo pour le Real.
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Re: Liga espagnole
Victoire 1-0 des catalans grâce à un but de Zlatan Ibrahimovic peu après son entrée en jeu.
Dans un match qui n'a pas atteint des sommets, le Real n'a pas démérité, se créant de belles occasions sous l'impulsion d'un Ronaldo bien rétabli et d'un Kaka très inspiré.
Les madrilènes ont toutefois manqué le coche en deuxième mi-temps. En effet, suite à l'expulsion de Busquets, ils ont joué la dernière demi-heure en supériorité numérique. Mais la défense du Barça est restée héroique jusqu'au bout.
Cette victoire permet à Barcelone de s'installer en tête de la Liga avec deux points d'avance sur leur adversaire du jour.

Dans un match qui n'a pas atteint des sommets, le Real n'a pas démérité, se créant de belles occasions sous l'impulsion d'un Ronaldo bien rétabli et d'un Kaka très inspiré.
Les madrilènes ont toutefois manqué le coche en deuxième mi-temps. En effet, suite à l'expulsion de Busquets, ils ont joué la dernière demi-heure en supériorité numérique. Mais la défense du Barça est restée héroique jusqu'au bout.
Cette victoire permet à Barcelone de s'installer en tête de la Liga avec deux points d'avance sur leur adversaire du jour.
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Re: Liga espagnole
Raph-07 a écrit :Victoire 1-0 des catalans grâce à un but de Zlatan Ibrahimovic peu après son entrée en jeu.![]()
Dans un match qui n'a pas atteint des sommets, le Real n'a pas démérité, se créant de belles occasions sous l'impulsion d'un Ronaldo bien rétabli et d'un Kaka très inspiré.
Les madrilènes ont toutefois manqué le coche en deuxième mi-temps. En effet, suite à l'expulsion de Busquets, ils ont joué la dernière demi-heure en supériorité numérique. Mais la défense du Barça est restée héroique jusqu'au bout.
Cette victoire permet à Barcelone de s'installer en tête de la Liga avec deux points d'avance sur leur adversaire du jour.
Le barça va être dur à reprendre à mon avis, et tant mieux

Re: Liga espagnole
Nouvelle victoire des catalans dans le classico retour joué à Santiago Bernabeu. Bien qu'un peu en dedans de ses précédentes performances, le Barça a rapidement étouffé le Real et a marqué par deux fois grâce à des buts de Messi et Pedro.
Avec trois points d'avance alors qu'il ne reste plus que trois matchs, Barcelone a certainement fait le plus dur pour conserver son titre.
Avec trois points d'avance alors qu'il ne reste plus que trois matchs, Barcelone a certainement fait le plus dur pour conserver son titre.
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Re: Liga espagnole
FC Valence, une santé de fer malgré les dettes
Par Fred Hirzel
Le 3e club espagnol qui dispute la Ligue des champions a creusé un trou de 550 millions d’euros et devrait être en faillite depuis longtemps. Au lieu de cela, il se porte comme un charme grâce à un président malin et efficace, à défaut d’être un mécène
Si le FC Valence évoluait en Ligue 1 française, sous l’œil vigilant de la Direction nationale du contrôle de gestion des clubs, et non en Championnat d’Espagne, il serait depuis longtemps rayé de la carte professionnelle avec ses 547 millions d’euros de dettes (726 millions de francs). De même, si le concept de fair-play financier de l’UEFA, voulu par le président Michel Platini, était déjà entré en vigueur – il le sera en 2013-2014 – les Valenciens seraient interdits de Coupes d’Europe. Mais c’est bien eux qui, ce soir (TSR2, 20h45), reçoivent Manchester United pour le 2e tour de la phase de poules de la Ligue des champions – ils ont écrasé Bursaspor 0-4 en Turquie voici deux semaines.
Alors se posent les questions: comment se fait-il que Valence soit toujours là? Comment s’en sort-il, lui qui est endetté à hauteur du Real Madrid mais ne possède pas de mécène dispendieux à sa tête, genre Florentino Pérez? Quand le FC Barcelone a besoin de 155 millions d’euros, empruntés en juillet auprès de deux instances bancaires afin de limiter la casse, où Valence, club «provincial», va-t-il gratter de l’argent pour survivre?
Coup d’éclat
D’abord, il faut savoir que quelques présidents successifs, atteints du virus de la folie des grandeurs, eurent tôt fait de creuser le trou – transferts onéreux, salaires somptuaires – avant que la crise économique mondiale ne vienne rajouter son grain de sable en réfrigérant les sponsors aussi bien que les droits télévisuels. Deux finales de Ligue des champions perdues malgré les investissements consentis, en 2000 (Real Madrid, 0-3) et 2001 (Bayern Munich, 1-1 puis prolongations et tirs au but), n’ont évidemment pas empli de plumes douillettes le matelas décharné.
C’est là qu’intervient fermement un certain Manuel Llorente, homme d’affaires avisé de 58 ans, déjà big boss de la section basketball du club. Il ne joue pas les Pérez avec ses propres deniers, mais va désembourber le FC Valence. Il trouve, en premier lieu, les 50 millions d’euros cash nécessaires pour éviter la faillite au 31 décembre 2008. Montant qui, selon la presse ibérique, provient d’une société privée. Comme Llorente occupe le poste de directeur des comptes chez Mercadona, chaîne de supermarchés occupant 60 000 personnes et dirigée par son ami, le surpuissant Juan Puig, chacun déduit où se situe le tiroir-caisse, même si cela n’a jamais été confirmé.
Après ce coup d’éclat, Manuel Llorente se fait élire à la présidence le 7 juin 2009. D’autant plus facilement que son prédécesseur démissionnaire, Vicente Soriano, n’a pu mener à chef les négociations avec la banque Bancaja, portant sur la vente des parcelles du nouveau stade Mestalla en construction.
Dans son discours d’investiture, celui que l’on surnomme désormais «le grand amortisseur» (de capitaux) annonce la couleur. «Au cours des six dernières années, le FC Valence a dépensé 300 millions d’euros de plus qu’il n’en a encaissés. C’est scandaleux», lit-on dans les colonnes du journal ABC. Puis: «Notre désir ne consiste pas à vendre nos meilleurs footballeurs, mais il y a des moments où l’on doit se séparer de ses bijoux pour simplement manger.»
L’argumentaire a séduit 97,8% des actionnaires, lesquels, en pleine foulée, ont consenti l’augmentation de capital demandée par le patron, soit 92 millions d’euros. Et Llorente de promettre la remise à zéro des finances du club au printemps 2014, sous les applaudissements nourris de l’assemblée.
Ventes à prix d’or
A cette fin, deux leviers essentiels en sus du capital reboosté. Primo, les revenus du Nou Mestalla, qui doit être inauguré l’année prochaine: 77000 places, 344 millions d’euros, dont 220 payés par les collectivités régionales et locales, et 124 monnayés au secteur privé (centre commercial, bureaux, musée) qui nourriront la caisse du club. Secundo, la vente de joueurs, mais pas à prix bradés. C’est ainsi que le Barça a dû se fendre des 50 millions d’euros «minimaux» en vue de s’adjoindre les services du génial lutin David Villa. Les Catalans ont bien tenté de discutailler, Llorente leur a opposé une fin de non-recevoir.
Les autres sont également partis pour le prix fixé: David Silva à Manchester City (33 millions), Raúl Albiol au Real (15 millions), Carlos Marchena à Villarreal (20 millions). Faites le calcul, il y en a pour 118 millions d’euros. Plus 92, plus 124, égalent 334 millions d’ici à fin de 2011. A ce rythme, Manuel Llorente pourrait réussir à honorer sa parole.
Et sur le plan sportif? Paradoxalement, tout va bien. L’équipe est coachée depuis deux saisons par un Basque méconnu et pas cher, Unai Emery, elle a terminé 6e puis 3e de la Liga – dont elle occupe seule le leadership aujourd’hui –, dispute la Ligue des champions avec de bonnes chances d’accéder aux 8es de finale, tandis que ceux qui sont restés ou venus pour peu d’argent, Joaquin, Vicente, Soldado, les Argentins Costa et Dominguez, les Français Feghouli et Mathieu, flambent tels des juniors affamés. Au point que l’ultime champion du monde du contingent – il faisait partie des 23 emmenés par Del Bosque en Afrique du Sud – Juan Manuel Mata, ne paraît plus indispensable aux yeux des dirigeants. A mots couverts, ils souhaitent s’en séparer pour 30 millions d’euros. Barcelone et les deux clubs madrilènes sont déjà sur les rangs, dit-on.
On peut parier que, si l’affaire se conclut, le volume de jeu collectif du FC Valence ne pâtira en rien de la défection d’une nouvelle star.
[Le Temps 2010]
Par Fred Hirzel
Le 3e club espagnol qui dispute la Ligue des champions a creusé un trou de 550 millions d’euros et devrait être en faillite depuis longtemps. Au lieu de cela, il se porte comme un charme grâce à un président malin et efficace, à défaut d’être un mécène
Si le FC Valence évoluait en Ligue 1 française, sous l’œil vigilant de la Direction nationale du contrôle de gestion des clubs, et non en Championnat d’Espagne, il serait depuis longtemps rayé de la carte professionnelle avec ses 547 millions d’euros de dettes (726 millions de francs). De même, si le concept de fair-play financier de l’UEFA, voulu par le président Michel Platini, était déjà entré en vigueur – il le sera en 2013-2014 – les Valenciens seraient interdits de Coupes d’Europe. Mais c’est bien eux qui, ce soir (TSR2, 20h45), reçoivent Manchester United pour le 2e tour de la phase de poules de la Ligue des champions – ils ont écrasé Bursaspor 0-4 en Turquie voici deux semaines.
Alors se posent les questions: comment se fait-il que Valence soit toujours là? Comment s’en sort-il, lui qui est endetté à hauteur du Real Madrid mais ne possède pas de mécène dispendieux à sa tête, genre Florentino Pérez? Quand le FC Barcelone a besoin de 155 millions d’euros, empruntés en juillet auprès de deux instances bancaires afin de limiter la casse, où Valence, club «provincial», va-t-il gratter de l’argent pour survivre?
Coup d’éclat
D’abord, il faut savoir que quelques présidents successifs, atteints du virus de la folie des grandeurs, eurent tôt fait de creuser le trou – transferts onéreux, salaires somptuaires – avant que la crise économique mondiale ne vienne rajouter son grain de sable en réfrigérant les sponsors aussi bien que les droits télévisuels. Deux finales de Ligue des champions perdues malgré les investissements consentis, en 2000 (Real Madrid, 0-3) et 2001 (Bayern Munich, 1-1 puis prolongations et tirs au but), n’ont évidemment pas empli de plumes douillettes le matelas décharné.
C’est là qu’intervient fermement un certain Manuel Llorente, homme d’affaires avisé de 58 ans, déjà big boss de la section basketball du club. Il ne joue pas les Pérez avec ses propres deniers, mais va désembourber le FC Valence. Il trouve, en premier lieu, les 50 millions d’euros cash nécessaires pour éviter la faillite au 31 décembre 2008. Montant qui, selon la presse ibérique, provient d’une société privée. Comme Llorente occupe le poste de directeur des comptes chez Mercadona, chaîne de supermarchés occupant 60 000 personnes et dirigée par son ami, le surpuissant Juan Puig, chacun déduit où se situe le tiroir-caisse, même si cela n’a jamais été confirmé.
Après ce coup d’éclat, Manuel Llorente se fait élire à la présidence le 7 juin 2009. D’autant plus facilement que son prédécesseur démissionnaire, Vicente Soriano, n’a pu mener à chef les négociations avec la banque Bancaja, portant sur la vente des parcelles du nouveau stade Mestalla en construction.
Dans son discours d’investiture, celui que l’on surnomme désormais «le grand amortisseur» (de capitaux) annonce la couleur. «Au cours des six dernières années, le FC Valence a dépensé 300 millions d’euros de plus qu’il n’en a encaissés. C’est scandaleux», lit-on dans les colonnes du journal ABC. Puis: «Notre désir ne consiste pas à vendre nos meilleurs footballeurs, mais il y a des moments où l’on doit se séparer de ses bijoux pour simplement manger.»
L’argumentaire a séduit 97,8% des actionnaires, lesquels, en pleine foulée, ont consenti l’augmentation de capital demandée par le patron, soit 92 millions d’euros. Et Llorente de promettre la remise à zéro des finances du club au printemps 2014, sous les applaudissements nourris de l’assemblée.
Ventes à prix d’or
A cette fin, deux leviers essentiels en sus du capital reboosté. Primo, les revenus du Nou Mestalla, qui doit être inauguré l’année prochaine: 77000 places, 344 millions d’euros, dont 220 payés par les collectivités régionales et locales, et 124 monnayés au secteur privé (centre commercial, bureaux, musée) qui nourriront la caisse du club. Secundo, la vente de joueurs, mais pas à prix bradés. C’est ainsi que le Barça a dû se fendre des 50 millions d’euros «minimaux» en vue de s’adjoindre les services du génial lutin David Villa. Les Catalans ont bien tenté de discutailler, Llorente leur a opposé une fin de non-recevoir.
Les autres sont également partis pour le prix fixé: David Silva à Manchester City (33 millions), Raúl Albiol au Real (15 millions), Carlos Marchena à Villarreal (20 millions). Faites le calcul, il y en a pour 118 millions d’euros. Plus 92, plus 124, égalent 334 millions d’ici à fin de 2011. A ce rythme, Manuel Llorente pourrait réussir à honorer sa parole.
Et sur le plan sportif? Paradoxalement, tout va bien. L’équipe est coachée depuis deux saisons par un Basque méconnu et pas cher, Unai Emery, elle a terminé 6e puis 3e de la Liga – dont elle occupe seule le leadership aujourd’hui –, dispute la Ligue des champions avec de bonnes chances d’accéder aux 8es de finale, tandis que ceux qui sont restés ou venus pour peu d’argent, Joaquin, Vicente, Soldado, les Argentins Costa et Dominguez, les Français Feghouli et Mathieu, flambent tels des juniors affamés. Au point que l’ultime champion du monde du contingent – il faisait partie des 23 emmenés par Del Bosque en Afrique du Sud – Juan Manuel Mata, ne paraît plus indispensable aux yeux des dirigeants. A mots couverts, ils souhaitent s’en séparer pour 30 millions d’euros. Barcelone et les deux clubs madrilènes sont déjà sur les rangs, dit-on.
On peut parier que, si l’affaire se conclut, le volume de jeu collectif du FC Valence ne pâtira en rien de la défection d’une nouvelle star.
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Re: Liga espagnole
Manuel Pellegrini, ex-entraineur de Real Madrid, vient de signer un contrat de 3 ans pour Malaga .
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Re: Liga espagnole
Real Madrid-Barcelone ce week end!!!!
2-1 pour Real.
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Re: Liga espagnole
Non, c'est le Barça qui reçoit...et qui va gagner.InterFcSion a écrit :Real Madrid-Barcelone ce week end!!!!
2-1 pour Real.
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Re: Liga espagnole
Quel match quel match...le clasicò n'a plus raison d'être tant le Barça est supérieur...
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Re: Liga espagnole
C'est magnifique ce que fait le Barça...
http://tvair.swisscom.ch/SL4.html#Sport ... Item=71013
Mais, que pensez-vous des buts 3 et 4 ? Pour moi, il y a hors-jeu, mais ça va tellement vite que...
http://tvair.swisscom.ch/SL4.html#Sport ... Item=71013
Mais, que pensez-vous des buts 3 et 4 ? Pour moi, il y a hors-jeu, mais ça va tellement vite que...
Re: Liga espagnole
Aucun hors-jeu, les ralentis montrés en direct hier soir sont formels. Au départ du ballon le joueur du Barça n'est largement pas hors-jeu...c'est vraiment le timing parfait.pyt68 a écrit :Mais, que pensez-vous des buts 3 et 4 ? Pour moi, il y a hors-jeu, mais ça va tellement vite que...
Hier soir Barcelone a écrasé et humilié Madrid. Il y a une séquence ou les barcelonais ont fait circuler les ballons par trois ou quatre talonnades successives...c'était la mise à mort.
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Re: Liga espagnole
Il n'y a pas hors jeu c'est très net... Magnifique victoire 5-0 et avec un peu de réussite ce serait certainement 7-0... La classe de XAVI et cie... 

fino alla fine
Re: Liga espagnole
J'ai vu le match en entier: quelle démonstration! Jeu à une touche, en déviations, prouesses techniques, sang froid et réalisme devant le but: tout y était!
Un Barça survolté, voire euphorique... Que du bonheur!
Un classico qui restera dans les annales!
Un Barça survolté, voire euphorique... Que du bonheur!

Un classico qui restera dans les annales!
Don't worry, be happy!