http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... h-21166914
Oups c'est de la 6e division.
Premier League
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c_doux_nous_mMm
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Re: Premier League
C'est moins beau vu comme ça.
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buffon
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Re: Premier League
je ne sais pas si il faut rire mais on ne voit pas tout les jours des gestes revanchards comme ça...c_doux_nous_mMm a écrit :C'est moins beau vu comme ça.
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seb
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Re: Premier League
La Premier League va-t-elle devenir la NBA du football?
Le Temps, 13 février 2015
Laurent Favre
Un contrat record donne aux clubs anglais la capacité de tuer toute concurrence en Europe
En 1992, une pub à la télévision anglaise montrait Paul Gascoigne sonnant à la porte d’une «semi-detached house», six-pack à la main, pour venir mater le foot dans le canapé familial. Le bouquet satellite Sky de Rupert Murdoch venait de claquer l’équivalent de 740 millions de francs actuels pour acquérir les droits TV de la toute nouvelle Premier League et tous les amateurs de football se demandaient qui, de Murdoch ou de «Gazza», était le plus cinglé.
Aujourd’hui, Paul Gascoigne va mal, Sky prospère et le Championnat anglais de football se goinfre. L’appel d’offres pour les droits de retransmission sur la période 2016-2019 a été emporté par Sky associé à BT Sport (une filiale de British Telecom) pour un montant record de 2,4 milliards de francs! Plus de 70% de mieux que le précédent contrat, 350% de plus que la somme de 1992. Dix millions de francs le match. L’annonce, mardi, de cet accord sur trois ans a estomaqué le football européen, car ces 2,4 milliards équivalent aux droits cumulés des Championnats français, espagnols et italiens. Pour le dire autrement: le foot anglais joue désormais dans une ligue à part.
Tous dans l’Eurostar
Et encore, il faut ajouter la vente des droits internationaux – et Dieu sait si l’attrait est important dans le Commonwealth et en Asie – ce qui porterait le total, selon les estimations, à 3,3 ou 3,4 milliards de francs. Dans le monde du sport, seul le Championnat de football américain (NFL) génère des recettes télévisées supérieures. Mais c’est à une autre ligue américaine que la Premier League fait désormais penser. Le Championnat anglais risque de devenir une NBA du football, le point de chute obligé de tous les meilleurs joueurs du monde. «Des clubs comme Manchester United ou Chelsea vont avoir des budgets de 700 ou 800 millions d’euros», redoute Bernard Caïazzo, coprésident de l’AS Saint-Etienne et vice-président de la Ligue française, interrogé par L’Equipe. Le Real Madrid et le FC Barcelone pourront-ils encore longtemps ravir au Championnat anglais un Cristiano Ronaldo (Manchester United), un Luis Suarez (Liverpool), un Gareth Bale ou un Lukas Modric (Tottenham)?
Le problème ne sera pas tant la puissance financière de Liverpool ou de Manchester United que la montée en gamme de clubs comme Burnley, Leicester ou Crystal Palace, désormais dotés d’une paille XXL pour aspirer tous les talents du continent. On dénombre déjà en Angleterre 34 joueurs français (dont 22 internationaux) et 41 espagnols (en 1re et 2e divisions). Combien en 2016, lorsque le dernier du championnat touchera 140 millions, c’est-à-dire la même somme que le Real Madrid ou le FC Barcelone. Le club champion d’Angleterre, lui, percevra plus de 220 millions de francs, contre 84 millions «seulement» en 2012.
Le football anglais n’avait pas besoin de cela pour dominer l’Europe. Son «produit» télévisuel est de loin le meilleur du marché et son modèle de recettes les jours de match est copié partout. Quatorze de ses clubs figurent dans le top 30 des plus gros chiffres d’affaires, selon le classement établi chaque année par le cabinet Deloitte dans un rapport intitulé Football Money League. «Ils seront automatiquement vingt anglais parmi les trente clubs les plus riches du monde», prophétise le Guardian. Certains estiment qu’il s’agit d’une bulle. Le football représente 17% des dépenses annuelles des chaînes pour seulement 0,6% de l’audimat, selon une étude de la société de consulting Enders Analysis.
Baisser les prix des billets
Les clubs anglais, qui cumulaient en juin 2013 plus de 400 millions de francs de pertes (12 clubs dans le rouge) seraient bien inspirés d’utiliser intelligemment ce pactole. Les associations de supporters ont déjà réclamé des baisses sur les prix d’entrée. A Arsenal, le ticket le moins cher pour un match peu intéressant vaut 140 francs. Gary Lineker, ancien joueur star des années 1980 et animateur vedette de Match of the Day sur la BBC, aimerait que cette nouvelle manne financière permette de «réduire le prix des billets et rende à nouveau le spectacle accessible aux vrais fans».
Mais cet argent risque, comme d’habitude, de filer dans la poche des joueurs et de leurs agents. En 2012, après un deal déjà historique, le directeur exécutif de la ligue, Richard Scudamore, avait suggéré aux présidents de clubs de ne pas tout claquer en transferts et salaires exorbitants. Cette semaine, il s’est contenté de constater, résigné, que dans toutes les industries du spectacle, le talent se paye très cher…
Exceptionnelles il y encore cinq ans, les rémunérations à plus de 17 millions de francs par an vont devenir la règle pour les superstars. Les paris sont déjà ouverts pour savoir qui sera le premier joueur à plus de 500 000 livres par semaine (le salaire hebdomadaire est le dernier vestige qui rattache le foot à la classe ouvrière). Ce sera Lionel Messi, à n’en pas douter, si Chelsea tire parti de son mal-être apparent à Barcelone.
Le Temps, 13 février 2015
Laurent Favre
Un contrat record donne aux clubs anglais la capacité de tuer toute concurrence en Europe
En 1992, une pub à la télévision anglaise montrait Paul Gascoigne sonnant à la porte d’une «semi-detached house», six-pack à la main, pour venir mater le foot dans le canapé familial. Le bouquet satellite Sky de Rupert Murdoch venait de claquer l’équivalent de 740 millions de francs actuels pour acquérir les droits TV de la toute nouvelle Premier League et tous les amateurs de football se demandaient qui, de Murdoch ou de «Gazza», était le plus cinglé.
Aujourd’hui, Paul Gascoigne va mal, Sky prospère et le Championnat anglais de football se goinfre. L’appel d’offres pour les droits de retransmission sur la période 2016-2019 a été emporté par Sky associé à BT Sport (une filiale de British Telecom) pour un montant record de 2,4 milliards de francs! Plus de 70% de mieux que le précédent contrat, 350% de plus que la somme de 1992. Dix millions de francs le match. L’annonce, mardi, de cet accord sur trois ans a estomaqué le football européen, car ces 2,4 milliards équivalent aux droits cumulés des Championnats français, espagnols et italiens. Pour le dire autrement: le foot anglais joue désormais dans une ligue à part.
Tous dans l’Eurostar
Et encore, il faut ajouter la vente des droits internationaux – et Dieu sait si l’attrait est important dans le Commonwealth et en Asie – ce qui porterait le total, selon les estimations, à 3,3 ou 3,4 milliards de francs. Dans le monde du sport, seul le Championnat de football américain (NFL) génère des recettes télévisées supérieures. Mais c’est à une autre ligue américaine que la Premier League fait désormais penser. Le Championnat anglais risque de devenir une NBA du football, le point de chute obligé de tous les meilleurs joueurs du monde. «Des clubs comme Manchester United ou Chelsea vont avoir des budgets de 700 ou 800 millions d’euros», redoute Bernard Caïazzo, coprésident de l’AS Saint-Etienne et vice-président de la Ligue française, interrogé par L’Equipe. Le Real Madrid et le FC Barcelone pourront-ils encore longtemps ravir au Championnat anglais un Cristiano Ronaldo (Manchester United), un Luis Suarez (Liverpool), un Gareth Bale ou un Lukas Modric (Tottenham)?
Le problème ne sera pas tant la puissance financière de Liverpool ou de Manchester United que la montée en gamme de clubs comme Burnley, Leicester ou Crystal Palace, désormais dotés d’une paille XXL pour aspirer tous les talents du continent. On dénombre déjà en Angleterre 34 joueurs français (dont 22 internationaux) et 41 espagnols (en 1re et 2e divisions). Combien en 2016, lorsque le dernier du championnat touchera 140 millions, c’est-à-dire la même somme que le Real Madrid ou le FC Barcelone. Le club champion d’Angleterre, lui, percevra plus de 220 millions de francs, contre 84 millions «seulement» en 2012.
Le football anglais n’avait pas besoin de cela pour dominer l’Europe. Son «produit» télévisuel est de loin le meilleur du marché et son modèle de recettes les jours de match est copié partout. Quatorze de ses clubs figurent dans le top 30 des plus gros chiffres d’affaires, selon le classement établi chaque année par le cabinet Deloitte dans un rapport intitulé Football Money League. «Ils seront automatiquement vingt anglais parmi les trente clubs les plus riches du monde», prophétise le Guardian. Certains estiment qu’il s’agit d’une bulle. Le football représente 17% des dépenses annuelles des chaînes pour seulement 0,6% de l’audimat, selon une étude de la société de consulting Enders Analysis.
Baisser les prix des billets
Les clubs anglais, qui cumulaient en juin 2013 plus de 400 millions de francs de pertes (12 clubs dans le rouge) seraient bien inspirés d’utiliser intelligemment ce pactole. Les associations de supporters ont déjà réclamé des baisses sur les prix d’entrée. A Arsenal, le ticket le moins cher pour un match peu intéressant vaut 140 francs. Gary Lineker, ancien joueur star des années 1980 et animateur vedette de Match of the Day sur la BBC, aimerait que cette nouvelle manne financière permette de «réduire le prix des billets et rende à nouveau le spectacle accessible aux vrais fans».
Mais cet argent risque, comme d’habitude, de filer dans la poche des joueurs et de leurs agents. En 2012, après un deal déjà historique, le directeur exécutif de la ligue, Richard Scudamore, avait suggéré aux présidents de clubs de ne pas tout claquer en transferts et salaires exorbitants. Cette semaine, il s’est contenté de constater, résigné, que dans toutes les industries du spectacle, le talent se paye très cher…
Exceptionnelles il y encore cinq ans, les rémunérations à plus de 17 millions de francs par an vont devenir la règle pour les superstars. Les paris sont déjà ouverts pour savoir qui sera le premier joueur à plus de 500 000 livres par semaine (le salaire hebdomadaire est le dernier vestige qui rattache le foot à la classe ouvrière). Ce sera Lionel Messi, à n’en pas douter, si Chelsea tire parti de son mal-être apparent à Barcelone.
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Re: Premier League
Messieurs les Anglais, tirez-vous les premiers
Clément Guillou,Le Monde
Aucun club de Premier League n’a réussi à se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions
Après l’élimination de Chelsea (par le PSG), d’Arsenal (par l’AS Monaco) et de Manchester City (par le FC Barcelone) en huitièmes de finale, il n’y a plus de club anglais en Ligue des champions. Bien sûr, sans une parade de Danijel Subasic à la 83e minute mardi soir face à Arsenal ou si le coup de tête de David Luiz avait frôlé le mauvais côté de la barre à Stamford Bridge, on ne serait pas en train de prendre le pouls de la Premier League. Mais il y a deux ans, les Anglais n’étaient pas non plus en quarts de finale. A comparer avec la puissance collective exprimée à la fin des années 2000, lorsque, trois saisons de suite, trois des leurs avaient squatté le dernier carré.
La saison prochaine, Chelsea pourrait être le seul club tête de série en Ligue des champions, et l’Angleterre devrait rétrograder à la troisième place selon l’indice UEFA, au profit de l’Allemagne. La Premier League est pourtant la destination privilégiée des meilleurs joueurs du monde (59 internationaux des 12 meilleures nations au classement FIFA, selon l’institut de statistiques Opta). Elle écrase la concurrence en termes de marketing. Pour la désigner, on parle souvent du «meilleur championnat du monde». Parce que, vu du salon, le jeu est plus intense et rapide: les caméras sont placées de manière à magnifier le jeu, et non à ne gêner personne, et les arbitres sifflent moins qu’ailleurs, et de loin. Même chose vu des tribunes, où l’on peut être incroyablement près de la pelouse.
Un championnat surévalué?
La Premier League est-elle une supercherie? Roy Keane, légende de Manchester United, le pensait l’an dernier, dans la foulée de la défaite de son ancien club sur le terrain de l’Olympiakos Le Pirée: «On nous a tous lavé le cerveau avec cette histoire de Premier League meilleur championnat du monde. C’est un non-sens. C’est la meilleure marque, mais on a vu que nos clubs étaient dépassés par les meilleures équipes européennes.» Jean-Luc Arribart, qui suit le football anglais pour Canal +, la défend mordicus. «Je trouve déprimant ce décalage entre le très bon niveau que je vois chaque week-end en championnat et les résultats en C1. Mais j’insiste: il y a du talent et du spectacle en Premier League.»
Instinctivement, le consultant cite l’explication souvent avancée par les Anglais: l’absence de pause hivernale. «Pendant que les clubs européens rechargent les batteries, eux continuent: ils jouent au Boxing Day, au Jour de l’an… J’observe toujours un coup de mou en février-mars. En novembre, pas sûr que Paris et Monaco passaient.» Sauf qu’il y a cinq ans, les Britanniques n’avaient pas davantage de trêve hivernale.
Des joueurs fatigués?
Le PSG, Monaco et le Barça ont joué autant de matchs cette saison que leurs adversaires anglais, à un près, et ont joué davantage depuis la reprise. Les données rassemblées par Prozone, interrogée par The Guardian, ne montrent «pas une grande différence» dans l’activité physique des joueurs au printemps d’un championnat à l’autre. Et le Big Four anglais est censé avoir une profondeur de banc suffisante pour faire face à un calendrier surchargé.
L’intensité des matchs, alors, constatée par tous les joueurs arrivant du continent? «Tous les joueurs français me le disent», avance Arribart, «il faut vraiment être prêt physiquement. Crystal Palace ou Queens Park Rangers vous rentrent dedans, ils ne font pas de complexe comme les petits clubs face aux gros dans d’autres championnats. Chaque match est un combat qui use.»
Une faible culture tactique?
D’autres observateurs pointent un manque de culture tactique, notamment dans les matchs aller-retour. Arsène Wenger déplorait après le match aller que son équipe ait joué avec son cœur et non avec sa tête. C’est aussi la faiblesse de la Premier League, un championnat fait d’émotions et non de pondération. Le jeu est direct, les pertes de balles fréquentes, les changements tactiques en cours de match rares, ce qu’avait observé Carlo Ancelotti, lorsqu’il entraîna Chelsea.
Les joueurs de City et d’Arsenal ont reconnu avoir paniqué et s’être jetés à l’abordage sans réfléchir au match aller face à Monaco et Paris, tandis que la règle des buts à l’extérieur incite au contraire l’équipe hôte à attaquer prudemment. On peut aussi y voir une forme d’arrogance, que les joueurs peuvent facilement développer lorsque les médias anglais leur répètent à l’envi qu’ils n’ont rien à craindre de leurs adversaires. Une partie de la presse anglaise n’imaginait pas Chelsea se faire éliminer avant le match retour et considérait Monaco, pourtant meilleure défense de Ligue des champions, comme un adversaire facile pour Arsenal.
Des stars repues?
Jamie Carragher, ancien vainqueur de la Ligue des champions avec Liverpool, met en cause les dirigeants des clubs et leur recrutement: «Ils ont tellement d’argent que lorsqu’ils achètent des joueurs, ça ne veut pas dire grand-chose. Ils peuvent faire venir un joueur, et si ça ne marche pas, ils ont encore de l’argent pour en faire venir un autre.» Louis Van Gaal recrute trois arrières gauches, Arsène Wenger remplit son entrejeu de petits joueurs techniques mais cherche toujours un successeur à Vieira, Tottenham blinde son milieu de terrain et délaisse sa défense… «Leur problème, c’est qu’ils ont trop de pognon, confirme Jean-Luc Arribart. Et payer des joueurs moyens très cher finit par poser problème. A un certain niveau de confort salarial, certains joueurs sont gavés de fric et n’ont plus la même envie.»
Clément Guillou,Le Monde
Aucun club de Premier League n’a réussi à se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions
Après l’élimination de Chelsea (par le PSG), d’Arsenal (par l’AS Monaco) et de Manchester City (par le FC Barcelone) en huitièmes de finale, il n’y a plus de club anglais en Ligue des champions. Bien sûr, sans une parade de Danijel Subasic à la 83e minute mardi soir face à Arsenal ou si le coup de tête de David Luiz avait frôlé le mauvais côté de la barre à Stamford Bridge, on ne serait pas en train de prendre le pouls de la Premier League. Mais il y a deux ans, les Anglais n’étaient pas non plus en quarts de finale. A comparer avec la puissance collective exprimée à la fin des années 2000, lorsque, trois saisons de suite, trois des leurs avaient squatté le dernier carré.
La saison prochaine, Chelsea pourrait être le seul club tête de série en Ligue des champions, et l’Angleterre devrait rétrograder à la troisième place selon l’indice UEFA, au profit de l’Allemagne. La Premier League est pourtant la destination privilégiée des meilleurs joueurs du monde (59 internationaux des 12 meilleures nations au classement FIFA, selon l’institut de statistiques Opta). Elle écrase la concurrence en termes de marketing. Pour la désigner, on parle souvent du «meilleur championnat du monde». Parce que, vu du salon, le jeu est plus intense et rapide: les caméras sont placées de manière à magnifier le jeu, et non à ne gêner personne, et les arbitres sifflent moins qu’ailleurs, et de loin. Même chose vu des tribunes, où l’on peut être incroyablement près de la pelouse.
Un championnat surévalué?
La Premier League est-elle une supercherie? Roy Keane, légende de Manchester United, le pensait l’an dernier, dans la foulée de la défaite de son ancien club sur le terrain de l’Olympiakos Le Pirée: «On nous a tous lavé le cerveau avec cette histoire de Premier League meilleur championnat du monde. C’est un non-sens. C’est la meilleure marque, mais on a vu que nos clubs étaient dépassés par les meilleures équipes européennes.» Jean-Luc Arribart, qui suit le football anglais pour Canal +, la défend mordicus. «Je trouve déprimant ce décalage entre le très bon niveau que je vois chaque week-end en championnat et les résultats en C1. Mais j’insiste: il y a du talent et du spectacle en Premier League.»
Instinctivement, le consultant cite l’explication souvent avancée par les Anglais: l’absence de pause hivernale. «Pendant que les clubs européens rechargent les batteries, eux continuent: ils jouent au Boxing Day, au Jour de l’an… J’observe toujours un coup de mou en février-mars. En novembre, pas sûr que Paris et Monaco passaient.» Sauf qu’il y a cinq ans, les Britanniques n’avaient pas davantage de trêve hivernale.
Des joueurs fatigués?
Le PSG, Monaco et le Barça ont joué autant de matchs cette saison que leurs adversaires anglais, à un près, et ont joué davantage depuis la reprise. Les données rassemblées par Prozone, interrogée par The Guardian, ne montrent «pas une grande différence» dans l’activité physique des joueurs au printemps d’un championnat à l’autre. Et le Big Four anglais est censé avoir une profondeur de banc suffisante pour faire face à un calendrier surchargé.
L’intensité des matchs, alors, constatée par tous les joueurs arrivant du continent? «Tous les joueurs français me le disent», avance Arribart, «il faut vraiment être prêt physiquement. Crystal Palace ou Queens Park Rangers vous rentrent dedans, ils ne font pas de complexe comme les petits clubs face aux gros dans d’autres championnats. Chaque match est un combat qui use.»
Une faible culture tactique?
D’autres observateurs pointent un manque de culture tactique, notamment dans les matchs aller-retour. Arsène Wenger déplorait après le match aller que son équipe ait joué avec son cœur et non avec sa tête. C’est aussi la faiblesse de la Premier League, un championnat fait d’émotions et non de pondération. Le jeu est direct, les pertes de balles fréquentes, les changements tactiques en cours de match rares, ce qu’avait observé Carlo Ancelotti, lorsqu’il entraîna Chelsea.
Les joueurs de City et d’Arsenal ont reconnu avoir paniqué et s’être jetés à l’abordage sans réfléchir au match aller face à Monaco et Paris, tandis que la règle des buts à l’extérieur incite au contraire l’équipe hôte à attaquer prudemment. On peut aussi y voir une forme d’arrogance, que les joueurs peuvent facilement développer lorsque les médias anglais leur répètent à l’envi qu’ils n’ont rien à craindre de leurs adversaires. Une partie de la presse anglaise n’imaginait pas Chelsea se faire éliminer avant le match retour et considérait Monaco, pourtant meilleure défense de Ligue des champions, comme un adversaire facile pour Arsenal.
Des stars repues?
Jamie Carragher, ancien vainqueur de la Ligue des champions avec Liverpool, met en cause les dirigeants des clubs et leur recrutement: «Ils ont tellement d’argent que lorsqu’ils achètent des joueurs, ça ne veut pas dire grand-chose. Ils peuvent faire venir un joueur, et si ça ne marche pas, ils ont encore de l’argent pour en faire venir un autre.» Louis Van Gaal recrute trois arrières gauches, Arsène Wenger remplit son entrejeu de petits joueurs techniques mais cherche toujours un successeur à Vieira, Tottenham blinde son milieu de terrain et délaisse sa défense… «Leur problème, c’est qu’ils ont trop de pognon, confirme Jean-Luc Arribart. Et payer des joueurs moyens très cher finit par poser problème. A un certain niveau de confort salarial, certains joueurs sont gavés de fric et n’ont plus la même envie.»
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Re: Premier League
David Cameron marque un but contre son camp avant les élections
Le Premier ministre britannique est devenu la risée des réseaux sociaux samedi en se trompant sur le nom de son club de football favori. Il a commis cette bourde moins de deux semaines avant des élections législatives qui s'annoncent très serrées.
David Cameron a expliqué qu'il avait toujours soutenu le club londonien de West Ham avant de s'interrompre, embarrassé, pour dire qu'il était en réalité supporter d'Aston Villa. Le maillot de ce club du centre de l'Angleterre est également bleu et grenat et son oncle en a été le président.
"Je ne sais pas ce qui m'est arrivé. J'ai dû être submergé par quelque chose ce matin", a-t-il tenté d'expliquer après coup. Ce "trou de mémoire" invoqué par le Premier ministre conservateur pourrait prêter à sourire s'il ne venait pas renforcer l'image d'un dirigeant déconnecté des réalités des électeurs, dans un pays où le football fait figure de religion.
Pique d'un commentateur
A l'approche d'un scrutin qui s'annonce extrêmement serré, l'opposition travailliste n'a pas laissé passer l'occasion de railler le chef du gouvernement.
"Hey, David Cameron, je suis en route pour aller voir cette équipe de foot que je soutiens. J'ai oublié son nom... elle joue en jaune... Watford'", a écrit sur Twitter le porte-parole du ministre des Finances "fantôme" du Labour, Ed Balls, supporter notoire de Norwich City.
Même l'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre Gary Lineker, un des commentateurs télévisés les plus réputés du pays, y est allé de sa pique: "David Cameron a oublié quelle équipe il soutient. Aston Villa la semaine dernière, West Ham cette semaine. Burnley demain'"
(ats / 25.04.2015 21h07)
Le Premier ministre britannique est devenu la risée des réseaux sociaux samedi en se trompant sur le nom de son club de football favori. Il a commis cette bourde moins de deux semaines avant des élections législatives qui s'annoncent très serrées.
David Cameron a expliqué qu'il avait toujours soutenu le club londonien de West Ham avant de s'interrompre, embarrassé, pour dire qu'il était en réalité supporter d'Aston Villa. Le maillot de ce club du centre de l'Angleterre est également bleu et grenat et son oncle en a été le président.
"Je ne sais pas ce qui m'est arrivé. J'ai dû être submergé par quelque chose ce matin", a-t-il tenté d'expliquer après coup. Ce "trou de mémoire" invoqué par le Premier ministre conservateur pourrait prêter à sourire s'il ne venait pas renforcer l'image d'un dirigeant déconnecté des réalités des électeurs, dans un pays où le football fait figure de religion.
Pique d'un commentateur
A l'approche d'un scrutin qui s'annonce extrêmement serré, l'opposition travailliste n'a pas laissé passer l'occasion de railler le chef du gouvernement.
"Hey, David Cameron, je suis en route pour aller voir cette équipe de foot que je soutiens. J'ai oublié son nom... elle joue en jaune... Watford'", a écrit sur Twitter le porte-parole du ministre des Finances "fantôme" du Labour, Ed Balls, supporter notoire de Norwich City.
Même l'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre Gary Lineker, un des commentateurs télévisés les plus réputés du pays, y est allé de sa pique: "David Cameron a oublié quelle équipe il soutient. Aston Villa la semaine dernière, West Ham cette semaine. Burnley demain'"
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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Re: Premier League
c'est fait également pour Chelsea après sa victoire du jour il compte 16 pts d'avance sur Arsenal qui lui reste 5 matchs à jouer...
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Re: Premier League
Dernier match de Steven Gerrard à Anfield tout à l'heure 
17 ans passés dans son club de cœur, des bas avec notamment l'absence de titre de champion du Royaume, des très hauts également, l'inoubliable finale d'Istambul bien sûr mais aussi celle de la Cup 2006 où sa performance tutoya selon moi la perfection.
Un clubiste, un vrai, même si on peut débattre de son départ aux USA. Un capitaine exemplaire et un joueur et homme qu'il convient de saluer comme il se doit. Au revoir champion!
17 ans passés dans son club de cœur, des bas avec notamment l'absence de titre de champion du Royaume, des très hauts également, l'inoubliable finale d'Istambul bien sûr mais aussi celle de la Cup 2006 où sa performance tutoya selon moi la perfection.
Un clubiste, un vrai, même si on peut débattre de son départ aux USA. Un capitaine exemplaire et un joueur et homme qu'il convient de saluer comme il se doit. Au revoir champion!
Dans le malheur ou la gloire. Football Club Sion 1909.
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Re: Premier League
Comme annoncé plus tôt dans la journée, Manchester United a confirmé via un communiqué sur son site internet qu'il ne lèvera pas l'option d'achat concernant Radamel Falcao, prêté cette saison par Monaco. L'attaquant colombien va donc faire son retour en Principauté. «Falcao est un professionnel de haut niveau et une personne sympathique. En mon nom personnel et au nom de tout le monde (au club), je lui souhaite bon vent pour l'avenir», a affirmé le manager des Red Devils Louis van Gaal.
'gé de 29 ans, Falcao a connu une saison difficile à Old Trafford, ne marquant que quatre buts en 29 matches. Il n'a pas non plus disputé le dernier match de MU dimanche à cause d'une blessure, selon Van Gaal. «El Tigre» ne devrait pas rester longtemps à Monaco. Chelsea, qui cherche un remplaçant à Didier Drogba, ou l'Atletico Madrid, son ancien club, sont sur les rangs pour l'engager.
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... aco/561280
'gé de 29 ans, Falcao a connu une saison difficile à Old Trafford, ne marquant que quatre buts en 29 matches. Il n'a pas non plus disputé le dernier match de MU dimanche à cause d'une blessure, selon Van Gaal. «El Tigre» ne devrait pas rester longtemps à Monaco. Chelsea, qui cherche un remplaçant à Didier Drogba, ou l'Atletico Madrid, son ancien club, sont sur les rangs pour l'engager.
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... aco/561280
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Re: Premier League
plusieurs médias annoncent que falcao devrait rejoindre les blues de chelsea cet été... affaire à suivre...
fino alla fine
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Re: Premier League
Hambourg et Kharlsruhe ont fait match nul hier soir 1-1.
Re: Premier League
C'est en Bundesliga ça l'ami:-)buffon a écrit :Hambourg et Kharlsruhe ont fait match nul hier soir 1-1.
Vu qu'on est dans le topic Premier League, demain soir (en direct sur BBC One) finale de la Cup entre Arsenal et Aston Villa. COYG!!
L´avenir nous dira ce qu´on va faire dans le futur. CC le 29 mai 2007
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Re: Premier League
ah mince j'ai pas vu, bon j'ai fait sur le smartphone donc j'ai du mal taperSteven a écrit :C'est en Bundesliga ça l'ami:-)buffon a écrit :Hambourg et Kharlsruhe ont fait match nul hier soir 1-1.
Vu qu'on est dans le topic Premier League, demain soir (en direct sur BBC One) finale de la Cup entre Arsenal et Aston Villa. COYG!!
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Re: Premier League
Arsenal a remporté le trophée pour la 12ème fois en battant Aston Villa 4-0, du coup Southampton ira en Europa League.Steven a écrit :C'est en Bundesliga ça l'ami:-)buffon a écrit :Hambourg et Kharlsruhe ont fait match nul hier soir 1-1.
Vu qu'on est dans le topic Premier League, demain soir (en direct sur BBC One) finale de la Cup entre Arsenal et Aston Villa. COYG!!
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buffon
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Re: Premier League
Rio Ferdinand a annoncé ce samedi qu'il mettait un terme à sa carrière de joueur. Le défenseur a évolué pendant près de 20 ans au plus haut niveau.
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... ite/562765
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buffon
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Re: Premier League
Arsenal a remporté la supercoupe en battant Chelsea 1-0
Re: Premier League
Je me souviens d'un geste identique, il y a 2-3 ans, déjà en Angleterre, mais en Premier League, avec, sauf erreur, Arsenal comme protagoniste
Don't worry, be happy!
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info-g
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Re: Premier League
Le type qui fait mine de lui mettre une semelleI'm forever blowing bubbles, pretty bubbles in the air!
Re: Premier League
«Une nympho qui a couché avec les joueurs»
L'ex-compagnon d'Eva Carneiro, la médecin de Chelsea, évincée par Mourinho, en a profité pour faire des révélations choquantes à propos de la vie sexuelle de la jeune femme.
Les révélations de l'ancien petit ami d'Eva Carneiro au Sun ne manquent assurément pas de piquant. Cet homme de 41 ans a expliqué, sans omettre les détails, à quel point la médecin aimait être au centre de l'attention et se réjouissait d'être populaire auprès des joueurs de Chelsea.
Décrite comme «bouillante» et «passionnée», Carneiro sait visiblement comment s'y prendre avec les hommes. «Elle m'emmenait jusqu'à la chambre et me disait, avec des yeux pétillants, qu'elle devait me soigner, raconte l'ex-boyfriend. Elle déchirait mes vêtements et sautait sur moi. Nous avions du sexe passionné.»
«Elle a ruiné ma vie»
«Peu de gens savent comment elle est en réalité, poursuit-il. C'est une femme très sexuelle qui obtient toujours ce qu'elle veut. J'étais vraiment épris d'elle, nous parlions de fonder une famille. Mais Eva m'a trahi.»
La considérant comme une nymphomane qui a ruiné sa vie au terme d'une relation de 15 mois débutée en janvier 2012, l'ancien boyfriend de Carneiro estime que son ex est «ambitieuse et sans scrupule».
«Obsédée par le sexe»
En effet, selon l'ancien petit ami de la toubib, «elle est obsédée par le sexe». A tel point qu'il se serait carrément passé des choses dans les vestiaires des Blues. «Un jour, elle m'a dit qu'elle avait eu une liaison avec des joueurs de Chelsea (…) Elle m'a aussi dit qu'elle l'avait fait avec des stars de l'équipe, révèle l'ancien compagnon. Elle me racontait qu'un joueur l'a harcelait particulièrement en se pavanant nu dans le vestiaire pour faire en sorte qu'elle voit ses attributs. Après un match, il l'a appelé dans sa chambre d'hôtel et quand il a ouvert la porte, il ne portait rien.»
D'autres fois, toujours selon le même témoignage, lorsqu'il regardait la télévision avec sa belle, cette dernière recevait des coups de fil de joueurs tard le soir. «Ils lui disaient qu'ils étaient blessés à une jambe ou qu'ils avaient des soucis musculaires, se souvient l'ex de la médecin. Parfois elle partait à 21h et ne revenait que le lendemain matin.» (20 minutes)
L'ex-compagnon d'Eva Carneiro, la médecin de Chelsea, évincée par Mourinho, en a profité pour faire des révélations choquantes à propos de la vie sexuelle de la jeune femme.
Les révélations de l'ancien petit ami d'Eva Carneiro au Sun ne manquent assurément pas de piquant. Cet homme de 41 ans a expliqué, sans omettre les détails, à quel point la médecin aimait être au centre de l'attention et se réjouissait d'être populaire auprès des joueurs de Chelsea.
Décrite comme «bouillante» et «passionnée», Carneiro sait visiblement comment s'y prendre avec les hommes. «Elle m'emmenait jusqu'à la chambre et me disait, avec des yeux pétillants, qu'elle devait me soigner, raconte l'ex-boyfriend. Elle déchirait mes vêtements et sautait sur moi. Nous avions du sexe passionné.»
«Elle a ruiné ma vie»
«Peu de gens savent comment elle est en réalité, poursuit-il. C'est une femme très sexuelle qui obtient toujours ce qu'elle veut. J'étais vraiment épris d'elle, nous parlions de fonder une famille. Mais Eva m'a trahi.»
La considérant comme une nymphomane qui a ruiné sa vie au terme d'une relation de 15 mois débutée en janvier 2012, l'ancien boyfriend de Carneiro estime que son ex est «ambitieuse et sans scrupule».
«Obsédée par le sexe»
En effet, selon l'ancien petit ami de la toubib, «elle est obsédée par le sexe». A tel point qu'il se serait carrément passé des choses dans les vestiaires des Blues. «Un jour, elle m'a dit qu'elle avait eu une liaison avec des joueurs de Chelsea (…) Elle m'a aussi dit qu'elle l'avait fait avec des stars de l'équipe, révèle l'ancien compagnon. Elle me racontait qu'un joueur l'a harcelait particulièrement en se pavanant nu dans le vestiaire pour faire en sorte qu'elle voit ses attributs. Après un match, il l'a appelé dans sa chambre d'hôtel et quand il a ouvert la porte, il ne portait rien.»
D'autres fois, toujours selon le même témoignage, lorsqu'il regardait la télévision avec sa belle, cette dernière recevait des coups de fil de joueurs tard le soir. «Ils lui disaient qu'ils étaient blessés à une jambe ou qu'ils avaient des soucis musculaires, se souvient l'ex de la médecin. Parfois elle partait à 21h et ne revenait que le lendemain matin.» (20 minutes)
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Re: Premier League
La salope.Bastoon1 a écrit :«Une nympho qui a couché avec les joueurs»
L'ex-compagnon d'Eva Carneiro, la médecin de Chelsea, évincée par Mourinho, en a profité pour faire des révélations choquantes à propos de la vie sexuelle de la jeune femme.
Les révélations de l'ancien petit ami d'Eva Carneiro au Sun ne manquent assurément pas de piquant. Cet homme de 41 ans a expliqué, sans omettre les détails, à quel point la médecin aimait être au centre de l'attention et se réjouissait d'être populaire auprès des joueurs de Chelsea.
Décrite comme «bouillante» et «passionnée», Carneiro sait visiblement comment s'y prendre avec les hommes. «Elle m'emmenait jusqu'à la chambre et me disait, avec des yeux pétillants, qu'elle devait me soigner, raconte l'ex-boyfriend. Elle déchirait mes vêtements et sautait sur moi. Nous avions du sexe passionné.»
«Elle a ruiné ma vie»
«Peu de gens savent comment elle est en réalité, poursuit-il. C'est une femme très sexuelle qui obtient toujours ce qu'elle veut. J'étais vraiment épris d'elle, nous parlions de fonder une famille. Mais Eva m'a trahi.»
La considérant comme une nymphomane qui a ruiné sa vie au terme d'une relation de 15 mois débutée en janvier 2012, l'ancien boyfriend de Carneiro estime que son ex est «ambitieuse et sans scrupule».
«Obsédée par le sexe»
En effet, selon l'ancien petit ami de la toubib, «elle est obsédée par le sexe». A tel point qu'il se serait carrément passé des choses dans les vestiaires des Blues. «Un jour, elle m'a dit qu'elle avait eu une liaison avec des joueurs de Chelsea (…) Elle m'a aussi dit qu'elle l'avait fait avec des stars de l'équipe, révèle l'ancien compagnon. Elle me racontait qu'un joueur l'a harcelait particulièrement en se pavanant nu dans le vestiaire pour faire en sorte qu'elle voit ses attributs. Après un match, il l'a appelé dans sa chambre d'hôtel et quand il a ouvert la porte, il ne portait rien.»
D'autres fois, toujours selon le même témoignage, lorsqu'il regardait la télévision avec sa belle, cette dernière recevait des coups de fil de joueurs tard le soir. «Ils lui disaient qu'ils étaient blessés à une jambe ou qu'ils avaient des soucis musculaires, se souvient l'ex de la médecin. Parfois elle partait à 21h et ne revenait que le lendemain matin.» (20 minutes)
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Re: Premier League
Le choc de nous jouer en Europa est trop fort pour Liverpool, qui balbutie son football et est mené 2-0 après une demi-heure contre West Ham.
Dans le malheur ou la gloire. Football Club Sion 1909.
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Re: Premier League
Je viens de voir le score 0-3, je me suis dit: ils ont eu peur du tirage de l'EL.isotope_665 a écrit :Le choc de nous jouer en Europa est trop fort pour Liverpool, qui balbutie son football et est mené 2-0 après une demi-heure contre West Ham.
Ils ne sont peut-être pas aussi terribles que ce que l'on s'imagine.
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(-)(-)___ "SI ON est uni... on sera imbattable!" FC Sion
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Re: Premier League
Bien sûr qu'ils ont peur. Ils tremblent déjà de jouer contre Rubin Kazan. Contre les autres, ce sera liquidé 3-0 pour Liverpool au bout de 45 minutesc_doux_nous_mMm a écrit :Je viens de voir le score 0-3, je me suis dit: ils ont eu peur du tirage de l'EL.isotope_665 a écrit :Le choc de nous jouer en Europa est trop fort pour Liverpool, qui balbutie son football et est mené 2-0 après une demi-heure contre West Ham.
Ils ne sont peut-être pas aussi terribles que ce que l'on s'imagine.
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)