Materazzi-Zidane
Materazzi-Zidane
Materrazi a révélé aujourd'hui ce qu'il s'était dit entre lui et Zidane avant la fin du mythe.
A part ça, on a retrouvé la soeur de Zizou, mais personne n'a encore osé l'interviewer...
http://video.google.fr/videoplay?docid= ... 1851685498
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Le seul CC supportable est accompagné de limonade et de glaçons!!!
Et son autre soeur qui est miss France:toko a écrit :A part ça, on a retrouvé la soeur de Zizou, mais personne n'a encore osé l'interviewer...
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SEULEMENT SION !
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P.S.: J'aurai pu mettre cela dans le topic Blagues Nulles...
Foot: "Ce que j'ai vraiment dit à Zidane", Materazzi formule 249 propositions
Après la chanson, les blagues, les jeux vidéos et les publicités, voici un nouvelle déclinaison du coup de tête le plus célèbre de l'histoire du football: le défenseur italien Marco Materazzi s'apprête à sortir un ouvrage intitulé "Ce que j'ai vraiment dit à Zidane".
AFP AGENCE FRANCE-PRESSE.
17:41 08.10.06
"Comme tu vas le comprendre, cher lecteur, je me suis amusé à développer le côté absurde de cette affaire", écrit Materazzi dans l'introduction de son ouvrage, publié par les éditions Mondadori, révèle dimanche la Gazzetta dello Sport sur son site internet (www.gazzetta.it).
Sur une centaine de pages, le joueur de l'Inter Milan a écrit 249 phrases plus ou moins absurdes, mais parmi lesquelles pourrait pourtant figurer celle qu'il a vraiment prononcé lors de la finale de la Coupe du monde, le 9 juillet à Berlin, et qui a amené le capitaine de l'équipe de France Zinédine Zidane a lui asséner un coup de tête dans la poitrine.
Exemples parmi les 249 propositions:
- "Hé ! Mais il est où exactement le sternum?"
- "Zinédine, qu'est-ce que tu fabriques? Vous n'avez pas encore perdu... et tu t'es déjà arraché les cheveux!"
- "Maintenant je te dis comment se termine (la série télévisée) Lost".
- "Simona Ventura (animatrice de la télévision italienne, ndlr) m'a demandé si tu voulais participer à la prochaine édition de +L'île des célébrités+ (émission de télé-réalité, ndlr)?"
- "Depuis que Foucault est mort, la philosophie française est lamentable".
Selon la Gazzetta, Materazzi versera l'intégralité de ses droits d'auteur à l'Unicef. La sortie de l'ouvrage - dont la couverture, forcément, est une photo du coup de tête - est prévue dans les prochains jours. Le livre devrait être vendu aux alentours de 10 euros.
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En Suisse, les «footeux» s'insultent aussi
FOOTBALL. Depuis «la jurisprudence Materazzi», les abus de langage sont plus durement sanctionnés dans les pays voisins. Moins dans nos contrées où, pourtant, joueurs et arbitres confessent une institutionnalisation de l'invective. Témoignages.
Christian Despont Mercredi 25 octobre 2006
En France, il est encore permis d'insulter un adversaire, mais sans dénigrer les habitudes sexuelles de sa sœur ou de sa mère. La «jurisprudence Materazzi» a réhabilité la famille. Constat étonnant: le corps arbitral n'a reçu aucune directive dans ce sens. C'est une probité spontanée. «L'injure tombe sous le coup de l'anti-sportivité. En tant que telle, elle est laissée à notre libre interprétation», confirme Jérôme Laperrière, arbitre FIFA.
Ce retour aux valeurs familiales a notamment frappé Mauro Cetto, défenseur de Nantes, expulsé pour avoir décrié l'anatomie intime de Gisèle Carrasso, maman du gardien de l'OM. Du jamais-vu. Les milieux de l'éducation, semble-t-il, s'émeuvent d'un mimétisme bêtifiant: depuis l'altercation entre Marco Materazzi et Zinédine Zidane, le coup de boule est en recrudescence dans les préaux, au même titre que le crachat. La Suisse n'y échappe pas. Christian Lanza, entraîneur des juniors à Servette, cité par la Tribune de Genève: «Le danger est de voir les jeunes imiter les stars. Il y a dix ans, personne ne crachait sur un terrain. Maintenant, ils s'y sont tous mis, même dans les vestiaires. C'est un véritable fléau.»
En Super League, aucune rudesse de langage n'a encore engendré de sanction exemplaire, à l'inverse de ce que l'on constate dans presque tous les pays voisins. Reste à déterminer s'il faut louer la courtoisie des uns, ou blâmer la mansuétude des autres. «Si les insultes sont fréquentes en Suisse? Je ne souhaite pas répondre à cette question», bredouille Massimo Busacca, arbitre à la dernière Coupe du monde. La réponse de Jérôme Laperrière est non moins éloquente: «S'il ne tenait qu'à moi, je punirais davantage. Encore faut-il comprendre la langue... Je connais bien quelques injures en suisse-allemand mais, pour le reste, mon lexique est plutôt limité.»
En réalité, le verbe fleurit sur tous les terrains du pays, chaque semaine, à tous les niveaux d'aptitude. L'institutionnalisation de l'invective est une réalité, si elle n'est pas prudemment tue, que les acteurs de la rixe footballistique admettent avec fatalisme. «Les agressions verbales ont toujours existé et existeront toujours», ose Gabet Chapuisat, ancien international et actuel entraîneur de Malley. «Certains joueurs «amorcent» avec ironie, voire avec une certaine «classe», d'autres sont beaucoup moins romantiques. Moi, je chambrais uniquement pour répondre à une provocation. La seule différence, avec le temps, est que le langage des terrains a évolué avec le celui de la rue. Le vocabulaire est devenu plus acerbe, plus xénophobe.»
En septembre 2001, Pape Thiaw, attaquant du Lausanne-Sports, envoyait Sébastien Fournier à l'hôpital d'un seul coup de poing, dans un accès de fureur. «Je n'en pouvais plus d'entendre «sale Nègre». J'ai craqué.» Le Sénégalais avait écopé d'une suspension de douze matches. Faute de preuves solides, la Commission de discipline n'avait retenu aucune charge contre Fournier. «On me traite de sale Noir presque chaque semaine, avoue Yao Aziawonou, milieu de terrain au FC Lucerne. Quand le mot est prononcé par un coéquipier, à l'adresse d'un adversaire africain, j'en suis le premier offensé...» Et de confesser: «Parfois, oui, je dois faire de gros efforts pour ne pas craquer. Je suis préparé à recevoir des injures, à prendre sur moi. Tous les entraîneurs le serinent: «Ne répondez pas aux provocations.» Certains jours, dans l'excitation d'un match, un «fils de pute» suffit à déclencher une réaction épidermique.»
De là une distinction fondamentale, «facilement détectable», selon Yao Aziawonou, entre l'invective préméditée, destinée à perturber, et la grossièreté simple entre gens de bonne compagnie. «Le football est un petit monde où les faiblesses des uns et des autres ne restent pas longtemps secrètes, rapporte Gabet Chapuisat. Si un joueur montre un caractère ombrageux, le milieu se passe le mot. Certains entraîneurs font une consigne de le chatouiller sur des sujets sensibles; les origines, la famille - l'éventail est large... Rien de plus facile que d'envoyer un gars aux basques d'un irascible pour lui parler de sa mère. Soyons honnêtes: nous organisons des journées du fair-play où nous déployons des préceptes vertueux, mais la réalité du terrain est très différente. Si nous n'utilisons pas tous les moyens, nous savons que l'adversaire, lui, le fera. Ce n'est pas glorieux, certes.»
Le football entre ici dans une logique de combat que ses protagonistes nient peu, sous le couvert d'efficience ou de modernité. «Qui sait si la France n'aurait pas gagné la Coupe du monde sans l'expulsion de Zidane?» s'interroge le Servettien Eddy Barea, quatorze ans de paquetage en ligue nationale. «Nous sommes arrivés à un stade où, dans un match, chaque détail a son importance. Intimider verbalement ou physiquement procède de la stratégie. L'adversaire doit subir un marquage agressif, sentir en permanence un souffle sur sa nuque. C'est une forme de harcèlement dont je ne fais pas l'apologie, au contraire, mais auquel je suis astreint comme n'importe quel défenseur. Je conçois que ce discours puisse choquer, que des personnes extérieures au sport ne le comprennent pas, alors que nous leur parlons sans cesse de fair-play et de valeurs éducatives.»
Eddy Barea confesse quelques ripostes belliqueuses, «plutôt d'ordre physique». Gabet Chapuisat préfère avancer son aplomb: «Je n'ai jamais manqué de repartie...» Tous s'accordent à stigmatiser les allusions graveleuses à la famille. «Fils de pute a toujours eu le don de m'irriter, convient Eddy Barea. Cela dit, les joueurs qui touchent au plus profond de la dignité humaine sont rares. Et ils sont largement connus. A cet égard, je regrette que les réputations circulent plus vite dans nos vestiaires que dans ceux des arbitres.» Jérôme Laperrière connaît lui aussi les exécuteurs des basses œuvres, mais «le pire danger serait de condamner en se fondant sur des préjugés».
Pour l'arbitre vaudois, régulièrement qualifié de chèvre ou de nullité imparable, la complexité même de sa fonction circonscrit le champ d'action. «Nous devons avoir des yeux partout. Comment encore capter toutes les injures? En outre, qui comprendrait que nous expulsions un joueur sans aucune infraction apparente? Sincèrement, la «jurisprudence Materazzi» pose problème. Je ne sais pas où nous allons. A chaque voie de fait, l'agresseur plaidera la provocation, et nous n'aurons aucun moyen de vérifier. Comme dans l'affaire Zidane.»
© Le Temps, 2006
FOOTBALL. Depuis «la jurisprudence Materazzi», les abus de langage sont plus durement sanctionnés dans les pays voisins. Moins dans nos contrées où, pourtant, joueurs et arbitres confessent une institutionnalisation de l'invective. Témoignages.
Christian Despont Mercredi 25 octobre 2006
En France, il est encore permis d'insulter un adversaire, mais sans dénigrer les habitudes sexuelles de sa sœur ou de sa mère. La «jurisprudence Materazzi» a réhabilité la famille. Constat étonnant: le corps arbitral n'a reçu aucune directive dans ce sens. C'est une probité spontanée. «L'injure tombe sous le coup de l'anti-sportivité. En tant que telle, elle est laissée à notre libre interprétation», confirme Jérôme Laperrière, arbitre FIFA.
Ce retour aux valeurs familiales a notamment frappé Mauro Cetto, défenseur de Nantes, expulsé pour avoir décrié l'anatomie intime de Gisèle Carrasso, maman du gardien de l'OM. Du jamais-vu. Les milieux de l'éducation, semble-t-il, s'émeuvent d'un mimétisme bêtifiant: depuis l'altercation entre Marco Materazzi et Zinédine Zidane, le coup de boule est en recrudescence dans les préaux, au même titre que le crachat. La Suisse n'y échappe pas. Christian Lanza, entraîneur des juniors à Servette, cité par la Tribune de Genève: «Le danger est de voir les jeunes imiter les stars. Il y a dix ans, personne ne crachait sur un terrain. Maintenant, ils s'y sont tous mis, même dans les vestiaires. C'est un véritable fléau.»
En Super League, aucune rudesse de langage n'a encore engendré de sanction exemplaire, à l'inverse de ce que l'on constate dans presque tous les pays voisins. Reste à déterminer s'il faut louer la courtoisie des uns, ou blâmer la mansuétude des autres. «Si les insultes sont fréquentes en Suisse? Je ne souhaite pas répondre à cette question», bredouille Massimo Busacca, arbitre à la dernière Coupe du monde. La réponse de Jérôme Laperrière est non moins éloquente: «S'il ne tenait qu'à moi, je punirais davantage. Encore faut-il comprendre la langue... Je connais bien quelques injures en suisse-allemand mais, pour le reste, mon lexique est plutôt limité.»
En réalité, le verbe fleurit sur tous les terrains du pays, chaque semaine, à tous les niveaux d'aptitude. L'institutionnalisation de l'invective est une réalité, si elle n'est pas prudemment tue, que les acteurs de la rixe footballistique admettent avec fatalisme. «Les agressions verbales ont toujours existé et existeront toujours», ose Gabet Chapuisat, ancien international et actuel entraîneur de Malley. «Certains joueurs «amorcent» avec ironie, voire avec une certaine «classe», d'autres sont beaucoup moins romantiques. Moi, je chambrais uniquement pour répondre à une provocation. La seule différence, avec le temps, est que le langage des terrains a évolué avec le celui de la rue. Le vocabulaire est devenu plus acerbe, plus xénophobe.»
En septembre 2001, Pape Thiaw, attaquant du Lausanne-Sports, envoyait Sébastien Fournier à l'hôpital d'un seul coup de poing, dans un accès de fureur. «Je n'en pouvais plus d'entendre «sale Nègre». J'ai craqué.» Le Sénégalais avait écopé d'une suspension de douze matches. Faute de preuves solides, la Commission de discipline n'avait retenu aucune charge contre Fournier. «On me traite de sale Noir presque chaque semaine, avoue Yao Aziawonou, milieu de terrain au FC Lucerne. Quand le mot est prononcé par un coéquipier, à l'adresse d'un adversaire africain, j'en suis le premier offensé...» Et de confesser: «Parfois, oui, je dois faire de gros efforts pour ne pas craquer. Je suis préparé à recevoir des injures, à prendre sur moi. Tous les entraîneurs le serinent: «Ne répondez pas aux provocations.» Certains jours, dans l'excitation d'un match, un «fils de pute» suffit à déclencher une réaction épidermique.»
De là une distinction fondamentale, «facilement détectable», selon Yao Aziawonou, entre l'invective préméditée, destinée à perturber, et la grossièreté simple entre gens de bonne compagnie. «Le football est un petit monde où les faiblesses des uns et des autres ne restent pas longtemps secrètes, rapporte Gabet Chapuisat. Si un joueur montre un caractère ombrageux, le milieu se passe le mot. Certains entraîneurs font une consigne de le chatouiller sur des sujets sensibles; les origines, la famille - l'éventail est large... Rien de plus facile que d'envoyer un gars aux basques d'un irascible pour lui parler de sa mère. Soyons honnêtes: nous organisons des journées du fair-play où nous déployons des préceptes vertueux, mais la réalité du terrain est très différente. Si nous n'utilisons pas tous les moyens, nous savons que l'adversaire, lui, le fera. Ce n'est pas glorieux, certes.»
Le football entre ici dans une logique de combat que ses protagonistes nient peu, sous le couvert d'efficience ou de modernité. «Qui sait si la France n'aurait pas gagné la Coupe du monde sans l'expulsion de Zidane?» s'interroge le Servettien Eddy Barea, quatorze ans de paquetage en ligue nationale. «Nous sommes arrivés à un stade où, dans un match, chaque détail a son importance. Intimider verbalement ou physiquement procède de la stratégie. L'adversaire doit subir un marquage agressif, sentir en permanence un souffle sur sa nuque. C'est une forme de harcèlement dont je ne fais pas l'apologie, au contraire, mais auquel je suis astreint comme n'importe quel défenseur. Je conçois que ce discours puisse choquer, que des personnes extérieures au sport ne le comprennent pas, alors que nous leur parlons sans cesse de fair-play et de valeurs éducatives.»
Eddy Barea confesse quelques ripostes belliqueuses, «plutôt d'ordre physique». Gabet Chapuisat préfère avancer son aplomb: «Je n'ai jamais manqué de repartie...» Tous s'accordent à stigmatiser les allusions graveleuses à la famille. «Fils de pute a toujours eu le don de m'irriter, convient Eddy Barea. Cela dit, les joueurs qui touchent au plus profond de la dignité humaine sont rares. Et ils sont largement connus. A cet égard, je regrette que les réputations circulent plus vite dans nos vestiaires que dans ceux des arbitres.» Jérôme Laperrière connaît lui aussi les exécuteurs des basses œuvres, mais «le pire danger serait de condamner en se fondant sur des préjugés».
Pour l'arbitre vaudois, régulièrement qualifié de chèvre ou de nullité imparable, la complexité même de sa fonction circonscrit le champ d'action. «Nous devons avoir des yeux partout. Comment encore capter toutes les injures? En outre, qui comprendrait que nous expulsions un joueur sans aucune infraction apparente? Sincèrement, la «jurisprudence Materazzi» pose problème. Je ne sais pas où nous allons. A chaque voie de fait, l'agresseur plaidera la provocation, et nous n'aurons aucun moyen de vérifier. Comme dans l'affaire Zidane.»
© Le Temps, 2006
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
nufc a écrit :En réalité, le verbe fleurit sur tous les terrains du pays, chaque semaine, à tous les niveaux d'aptitude. L'institutionnalisation de l'invective est une réalité, si elle n'est pas prudemment tue, que les acteurs de la rixe footballistique admettent avec fatalisme. «Les agressions verbales ont toujours existé et existeront toujours», ose Gabet Chapuisat, ancien international et actuel entraîneur de Malley. «Certains joueurs «amorcent» avec ironie, voire avec une certaine «classe», d'autres sont beaucoup moins romantiques. Moi, je chambrais uniquement pour répondre à une provocation. La seule différence, avec le temps, est que le langage des terrains a évolué avec le celui de la rue. Le vocabulaire est devenu plus acerbe, plus xénophobe.»


Plus dégueulasse que lui, vis-à-vis des arbitres, il n'y a pas!
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
Les français n'ont toujours pas digéré la défaite en finale de coupe du monde : raciste primaire ou débile profond ? http://www.nauconsultants.com/blog/inde ... erview-rtl
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en parlant de racistes primaires, je crois que les italiens-mussoliniens sont bien placés pour dire ça... bravo le coup du salut nazi sur un terrain de foot, si c'est pas débile profond ça !!! alors les théories à la con sur le stratège qu'est materrazzi, je pense que ça passe au second plan.
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Pourquoi tirer le niveau vers le bas ? Ok, les italiens sont stupides en faisant ces gestes, mais est-ce que les français ne ferait pas mieux d'admettre que sur le cas dont on parle, c'est Zidane le bourreau et Materrazi la victime plutôt que le contraie. Qu'est-ce que t'en pense ?MacGowan a écrit :en parlant de racistes primaires, je crois que les italiens-mussoliniens sont bien placés pour dire ça... bravo le coup du salut nazi sur un terrain de foot, si c'est pas débile profond ça !!! alors les théories à la con sur le stratège qu'est materrazzi, je pense que ça passe au second plan.
C'est pas aller un peu fort là !!Zitto a écrit : Pourquoi tirer le niveau vers le bas ? Ok, les italiens sont stupides en faisant ces gestes, mais est-ce que les français ne ferait pas mieux d'admettre que sur le cas dont on parle, c'est Zidane le bourreau et Materrazi la victime plutôt que le contraie. Qu'est-ce que t'en pense ?


J'ai jamais vu Rossi le faire sur sa moto a l'arrivee d'un GP, ni les mecano ferrari, ni les skieurs, etc....
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avec des gens normaux, biensûr que l'agresseur est le bourreau et l'agressé la victime... le problème est que c'est Zidane qui a fait ça, véritable dieu du foot en France donc on lui trouve automatiquement des excuses et des raisons valables à ce coup de boule.
Dis moi pourquoi le pauvre petit chat agressé et meurtri dans son honneur qu'est Materrazzi passe maintenant pour une véritable star en Italie ???? il s'est juste pris un coup de boule, rien d'héroïque à ce que je sache. De plus, le fait de faire un livre quelque peu sarcastique sur toute cette histoire, ce n'est pas non plus très réglo, non ?
Avec du recul, ce geste va passer dans la légende (il l'est déjà à mon avis) et n'aura fait qu'amplifier le culte voué à Zidane par des millions de personnes. Zidane, deux coups de tête magique en 98, un terrible en 2006, voilà dans 50 ans comment on va se rappeler de lui.
Dis moi pourquoi le pauvre petit chat agressé et meurtri dans son honneur qu'est Materrazzi passe maintenant pour une véritable star en Italie ???? il s'est juste pris un coup de boule, rien d'héroïque à ce que je sache. De plus, le fait de faire un livre quelque peu sarcastique sur toute cette histoire, ce n'est pas non plus très réglo, non ?
Avec du recul, ce geste va passer dans la légende (il l'est déjà à mon avis) et n'aura fait qu'amplifier le culte voué à Zidane par des millions de personnes. Zidane, deux coups de tête magique en 98, un terrible en 2006, voilà dans 50 ans comment on va se rappeler de lui.
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Parce qu'il est italien et que comme tu le dis, c'est maintenant une starMacGowan a écrit :
Dis moi pourquoi le pauvre petit chat agressé et meurtri dans son honneur qu'est Materrazzi passe maintenant pour une véritable star en Italie ???? il s'est juste pris un coup de boule, rien d'héroïque à ce que je sache. De plus, le fait de faire un livre quelque peu sarcastique sur toute cette histoire, ce n'est pas non plus très réglo, non ?
en Italie et nulle part ailleurs. Zidane reste une star mondiale.
Pour le livre tous les bénéfices vont à l'UNICEF pour les enfants qui crèvent la dalle. Va dire aux gosses qui pourront manger grâce à ça qu'en fait, c'est pas très réglo qu'ils puissent bouffer parce qu'un type un jour a fait le con et que la victime profite de ça. Oui, Zidane fait ce genre de geste depuis le début et effectivement il est bien au dessus de materrazzi. Comme tu l'as dit, si ça avait été quelqu'un d'autre, par exemple Dorassoh, ben il aurait plus pu mettre les pieds en France.
Ma question soulevée par le lien que j'ai mis plus haut est de savoir pourquoi est-ce que l'on veut toujours faire passer l'éponge à Zidane en faisant porter le chapeau à Materazzi ?
Zidane a plus de notoriété c'est tout, mais il ne vaut pas mieux qu'un autre !Zitto a écrit : Ma question soulevée par le lien que j'ai mis plus haut est de savoir pourquoi est-ce que l'on veut toujours faire passer l'éponge à Zidane en faisant porter le chapeau à Materazzi ?
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au fait jean-marie le pen a fait un livre sur le mauvais système d'immigration en France... bouhouhouhou mais ATTENTION, les bénéfices seront reversés à l'UNICEF... aaaaaaaah bravo Monsieur Le Pen, vous êtes un héros.Zitto a écrit :Pour le livre tous les bénéfices vont à l'UNICEF pour les enfants qui crèvent la dalle. Va dire aux gosses qui pourront manger grâce à ça qu'en fait, c'est pas très réglo qu'ils puissent bouffer parce qu'un type un jour a fait le con et que la victime profite de ça.
tu comprends où je veux en venir ? encore heureux qu'il ne garde pas les bénéfices pour lui, ca aurait vraiment été déplacé.
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Peut-on vraiment placer Le Pen et Materazzi sur le même plan ? Est-ce que les répercussions sur la population des paroles de Le Pen sont du même niveau que les trois mots de Materazzi à l'encontre de Zidane ?MacGowan a écrit :au fait jean-marie le pen a fait un livre sur le mauvais système d'immigration en France... bouhouhouhou mais ATTENTION, les bénéfices seront reversés à l'UNICEF... aaaaaaaah bravo Monsieur Le Pen, vous êtes un héros.Zitto a écrit :Pour le livre tous les bénéfices vont à l'UNICEF pour les enfants qui crèvent la dalle. Va dire aux gosses qui pourront manger grâce à ça qu'en fait, c'est pas très réglo qu'ils puissent bouffer parce qu'un type un jour a fait le con et que la victime profite de ça.
tu comprends où je veux en venir ? encore heureux qu'il ne garde pas les bénéfices pour lui, ca aurait vraiment été déplacé.
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biensûr que non... t'as juste pas compris ma réponse ! ta réaction par rapport au livre était quelque peu exagérée et l'allusion aux gosses qui meurent de faim était déplacée par rapport au débat qui nous intéresse actuellement.Zitto a écrit :Peut-on vraiment placer Le Pen et Materazzi sur le même plan ? Est-ce que les répercussions sur la population des paroles de Le Pen sont du même niveau que les trois mots de Materazzi à l'encontre de Zidane ?MacGowan a écrit :au fait jean-marie le pen a fait un livre sur le mauvais système d'immigration en France... bouhouhouhou mais ATTENTION, les bénéfices seront reversés à l'UNICEF... aaaaaaaah bravo Monsieur Le Pen, vous êtes un héros.Zitto a écrit :Pour le livre tous les bénéfices vont à l'UNICEF pour les enfants qui crèvent la dalle. Va dire aux gosses qui pourront manger grâce à ça qu'en fait, c'est pas très réglo qu'ils puissent bouffer parce qu'un type un jour a fait le con et que la victime profite de ça.
tu comprends où je veux en venir ? encore heureux qu'il ne garde pas les bénéfices pour lui, ca aurait vraiment été déplacé.
bref on va pas refaire l'histoire et pour en finir la-dessus, je viens de voir un sujet sur Zidane (m6) et ca confortait ce que j'ai dit plus haut : en France, Zizette est considéré comme un dieu vivant donc on lui trouve des excuses à son geste (excuses, je te l'accorde, souvent bidons)
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Trilu a écrit :ça c'est la grande classe.....
la longueur de ton url (qui déforme tout le topic, sais pas si t'as vu ?)
elle a pas la grande classe "elle"

comme ca : le texte que tu veux
et ça donne :
la grande classe ...
c'est valable pour beaucoup d'autres !!! sauf que Trilu je sais qu'il va faire bien la prochaine fois

(nan suis pas instituteur

(nan je modifie pas la longueur cette fois ci

« Un jour les Valaisans domineront le monde. Mais pas demain, y'a apéro »
Sa visite au Bingladesh aura peut-être des conséquences sur la suite de sa carrière (assez inattendue, il est vrai...):
Zinedine Zidane pourrait faire son retour sur la scène footballistique puisqu'il étudie la possibilité de prendre en main la sélection nationale de Bangladesh.
La légende française, qui se retrouve actuellement dans le pays concerné par invitation du prix nobel Muhammad Yunus, a fait part de son intérêt envers l'éventualité de coacher la sélection nationale de Bangladesh.
Dans une interview accordé au journal The New Nation, l'ancien capitaine des Bleus a réitéré par ailleurs sa décision de ne plus rechausser les crampons: "Je ne suis pas intéressé par le fait de rejouer au football, mais oui, je pourrais entraîner l'équipe de Bangladesh".
Si c'est vrai, chapeau!LeMoche a écrit :Sa visite au Bingladesh aura peut-être des conséquences sur la suite de sa carrière (assez inattendue, il est vrai...):
Zinedine Zidane pourrait faire son retour sur la scène footballistique puisqu'il étudie la possibilité de prendre en main la sélection nationale de Bangladesh.
La légende française, qui se retrouve actuellement dans le pays concerné par invitation du prix nobel Muhammad Yunus, a fait part de son intérêt envers l'éventualité de coacher la sélection nationale de Bangladesh.
Dans une interview accordé au journal The New Nation, l'ancien capitaine des Bleus a réitéré par ailleurs sa décision de ne plus rechausser les crampons: "Je ne suis pas intéressé par le fait de rejouer au football, mais oui, je pourrais entraîner l'équipe de Bangladesh".
Mais perso, je pense qu'il a dit ça pour qu'on le considère un peu dans sa reconversion "humanitaire"...Entrainer le Bangladesh, c'est un peu "gros"!
Contro Tutto e Tutti!
et ca continue....
cette fois c'est delvecchio qui a mis sa tête...
c est vraiment bizarre cette facheuse tendance de materazzi de voir la tête des adversaires se coller à lui
cette fois c'est delvecchio qui a mis sa tête...
c est vraiment bizarre cette facheuse tendance de materazzi de voir la tête des adversaires se coller à lui
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!