Virer KK signifie probablement le retour de Vogel, Celestini et N'Kufo... Je pense pas que c'est avec ses 3 joueurs qu'on peut préparer l'avenir.
L'avenir c'est aussi l'entente entre des anciens, et des jeunes poussent. On a de bon joueurs qui arrivent, qui sont jeunes, mais pourquoi systématiquement viré les plus vieux.
Se priver à l'heure actuelle de Vogel qui est encore un bon milieu de terrain (quand on voit Cabanas, Inler ... bof.), fermer la porte à N'Kufo qui marque quand même bien en hollande, et que dire de Celestini, qui est pressenti au Real Madrid la saison prochaine ..
Faudrait quand même se rappeller qu'on a pas un gros gros potentil de joueur en suisse, et que c'est dommage de virer des anciens qui peuvent encore apporter énormement, et garder des TRUITES comme Zubi, qui ne servent plus à rien.
En quand on parle du MELON de Vogel, je croie que le MELON de Frei est aussi démesuré, alors pourquoi en condamné 1, et pas l'autre
Je suis d'accord pour Challandes car ils les connaît bien de une et de deux si tu mets Pont et bien autant garder KK il fera la même équipe que papy KK et surtout lui téléphonnera bien chaque semaine pour savoir si il a le droit de sélectionner celui-ci ou celui-là !!
La vie n'est finalement pas un long fleuve tranquille !!
Valaisan a écrit :Si les meilleurs joueurs étaient sélectionnés, là on pourrait rien dire...
Mais les meilleurs joueurs ne sont pas sélectionnés (N'Kufo, Vogel,) ou des joueurs en forme (Von Bergen)...
KK n'avait-t-il pas dis qu'ils sélectionnerais les meilleurs joueurs pour former la meilleure équipe ?
La paire Frei - N'Kufo seraient certainement plus efficace que la paire Frei - Streller
C'est vrai, tu as parfaitement raison !
KK fait le contraire de ce qu'il disait. Il sélectionne des gars qui ne jouent pas en club et ça se voit sur le terrain. Cette équipe de Suisse est incapable d'accelerer le jeu et sur les 3 buts pris contre la Colombie la Suisse était prise de vitesse.
En plus, faire jouer un Cabanas, qui n'a absolument pas sa place en équipe nationale et se passer de Vogel.... Faut pas le virer le papy Khun, faut qu'il prenne sa retraite car il n'est tout simplement plus dans le coup. Qu'il aille ouvrir une crèche à Unterwald et qu'il arrête de s'obstiner à faire déjouer notre équipe nationale !!!!!
j'ai mis non, c'est aux joueurs de se démouler le melon. KK pourrait aider un peu, mais il a pas le caractère assez trempé.
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017 CONSTANTIN DEMISSION
Presse-purée a écrit :Tout comme Mad Max, je pense que Challandes ferait un excellent successeur de KK. D'une part il connaît parfaitement les joueurs mais en plus, il saurait élever le ton quand il le faut. C'est pas le style à se laisser marcher sur les pieds le Nanard.
Sans le connaître personnellement, j'aime beaucoup la personnalité de Challandes. Mais je le vois pas avoir un passé suffisant pour réussir à hausser le ton en cas de besoin. Avec des jeunes qui commencent, il est parfait. Avec des types qui gagnent bien leur vie, font partie du contingent de clubs étrangers et sont traités comme des stars, j'ai un un doute.
Je rêve peut-être un peu, mais j'aimerais beacoup mieux que KK décide d'arrêter sa mission un peu plus tôt comme en Floride que Pont reste en adjoint (quitte à mettre en avant l'intérêt supérieur de la nation et qu'il reprenne l'équipe après l'Euro) qu'il passe en 1,5 (j'ai été étonné qu'il dise que KK ne l'avait pas mis au courant des raisons de l'éviction de Vogel) et qu'un Hitzfeld vienne. Si pour Hitzfeld c'est pas possible, un bon sélectionneur qui s'entende bien avec Pont, voilà ce que j'aimerais.
Il a resigné pour la saison 07-08 au Bayern et je crois qu'il va prolonger ensuite ... il est encore très loin de la Nati pour l'instant mais peut-être dans 5 ans !
La vie n'est finalement pas un long fleuve tranquille !!
Il a resigné pour la saison 07-08 au Bayern et je crois qu'il va prolonger ensuite ... il est encore très loin de la Nati pour l'instant mais peut-être dans 5 ans !
pour fêter dignement tes 50 balais?
On met Murat Yakin entraineur
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017 CONSTANTIN DEMISSION
J'le sens de mieux en mieux cet Euro....
Préparation désastreuse, matchs amicaux pitoyables, séléctionneur critiqué...On se croirait avec la France en 98 ou avec la Mannschaft version 2006..
Juventino a écrit :J'le sens de mieux en mieux cet Euro....
Préparation désastreuse, matchs amicaux pitoyables, séléctionneur critiqué...On se croirait avec la France en 98 ou avec la Mannschaft version 2006..
HaHa... Tu verras la claque qu'on va se prendre quand on passera pas le premier tour!
Köbi le vieu fou ferrai mieux de se poser les bonnes questions plutôt que d'affirmer sur un ton rempli d'assurance:"Maaaais fouiii, Il fautraaa trafaillé et encôr trafaillé!!"
Allllo!!! On se réveille!!!
Football: Kuhn garde la confiance de ses dirigeants
MIAMI - Pour Köbi Kuhn, Ralph Zloczower et Ernst Lämmli, le bilan du camp d'entraînement de l'équipe nationale en Floride est positif. Si tous sont d'accord pour dire que la défaite contre la Colombie noircit fortement le tableau, ils louent également le bon comportement des joueurs et la bonne ambiance retrouvée.
"Notre objectif était de reconstruire une équipe. A ce niveau, cette semaine a été très positive", explique Kuhn. Même son de cloche du côté du président Zloczower, qui ajoute toutefois que "cela aurait été mieux si les résultats avaient suivi". Mais aucun ne semble, face à la presse, préoccupé des performances en demi-teinte actuelles de la Suisse.
"Köbi Kuhn est venu il y a quelques semaines me présenter sa stratégie pour préparer l'équipe en vue de l'Euro", explique M. Zloczower. "Nous n'en sommes qu'à la première phase, celle des essais. Le sélectionneur fera très bientôt ses choix." Le stage en Floride a-t-il alors porté ses fruits ? "Je n'ai encore aucune certitude quant aux joueurs", répond Kuhn. "Je vais maintenant procéder à une analyse globale de ce qu'il s'est passé ici."
Le président de l'ASF et le délégué aux équipes nationales ont bien entendu eu droit aux questions relatives à la position de Köbi Kuhn. Tous deux ont balayé d'un revers de la main les rumeurs qui font du Zurichois un entraîneur en danger. "Köbi Kuhn n'est pas remis en question. Mais je ne dis jamais que je maintiens ma confiance en un entraîneur, parce que, d'habitude, il est licencié dans la semaine qui suit", explique avec humour M. Lämmli. "Je trouve risibles les demandes de démission que j'ai pu voir dans les médias. Les journalistes ont le droit d'écrire et de penser ce qu'ils veulent. Mais j'ai ma propre opinion, et je n'ai pas besoin de la presse pour me faire un avis."
Et, quand on demande à M. Zloczower s'il témoigne toujours sa confiance au sélectionneur, il répond: "Bien sûr qu'il a toute ma confiance ! Je n'ai pas de raison d'exprimer des doutes. Nous avons assez de temps pour être prêts. Nous ne devons toutefois pas nous endormir..."
(ats / 26 mars 2007 21:06)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Presse-purée a écrit :Tout comme Mad Max, je pense que Challandes ferait un excellent successeur de KK. D'une part il connaît parfaitement les joueurs mais en plus, il saurait élever le ton quand il le faut. C'est pas le style à se laisser marcher sur les pieds le Nanard.
Sans le connaître personnellement, j'aime beaucoup la personnalité de Challandes. Mais je le vois pas avoir un passé suffisant pour réussir à hausser le ton en cas de besoin. Avec des jeunes qui commencent, il est parfait. Avec des types qui gagnent bien leur vie, font partie du contingent de clubs étrangers et sont traités comme des stars, j'ai un un doute.
Je rêve peut-être un peu, mais j'aimerais beacoup mieux que KK décide d'arrêter sa mission un peu plus tôt comme en Floride que Pont reste en adjoint (quitte à mettre en avant l'intérêt supérieur de la nation et qu'il reprenne l'équipe après l'Euro) qu'il passe en 1,5 (j'ai été étonné qu'il dise que KK ne l'avait pas mis au courant des raisons de l'éviction de Vogel) et qu'un Hitzfeld vienne. Si pour Hitzfeld c'est pas possible, un bon sélectionneur qui s'entende bien avec Pont, voilà ce que j'aimerais.
C'est vrai que Challandes n'est pas habitué à coacher des "stars". Cependant, l'Euro approche à grands pas et s'il fallait changer Kuhn (ce qui ne risque certainement pas d'arriver à mon grand regret) il faudrait quelqu'un qui connaisse déjà bien le football suisse car il n'aurait pas beaucoup de temps pour choisir et préparer son équipe. En fait, je verrais trois solutions possibles :
1) Prendre un entraîneur suisse, style Challandes, connaissant bien notre football mais qui, il est vrai, n'a pas une expérience démesurée du haut niveau et qui aura sans doute un peu de mal à se faire respecter par certains joueurs.
2) Prendre un entraîneur de haut niveau qui soit familiarisé à notre pays. Mais à part Hitzfeld qui n'est plus disponible, la liste n'est pas bien longue.
3) Prendre un "magicien" à la Guus Hiddink, capable de faire des miracles en un temps restreint avec des joueurs qui ne sont pas les meilleurs du monde. Mais lui non plus ne me semble pas libre.
Donc à l'heure actuelle, bien que Kuhn ne risque pas d'être viré, je voterais Challandes.
Par contre, si quelqu'un a des propositions pour les points 2 et 3, j'aimerais bien entendre son opinion et je me ferai ensuite un plaisir de changer d'avis.
Juventino a écrit :J'le sens de mieux en mieux cet Euro....
Préparation désastreuse, matchs amicaux pitoyables, séléctionneur critiqué...On se croirait avec la France en 98 ou avec la Mannschaft version 2006..
L'Asf cherche des jeunes prodiges en Argentine qui ont la double nationalité.
Les dirigeants sont en visite la bas.
Cette méthode est vraiment ridicule et on voit que nos dirigeants ont vraiment peur de passer à côté de leur EURO.
Malgré la défaite contre la Colombie, Koebi Kuhn et les dirigeants tirent un bilan positif du camp d'entraînement en Floride. Confiance dans les plans du sélectionneur.
Pour Köbi Kuhn, Ralph Zloczower et Ernst Lämmli, le bilan du camp d'entraînement de l'équipe nationale en Floride est positif. Si tous sont d'accord pour dire que la défaite contre la Colombie noircit fortement le tableau, ils louent également le bon comportement des joueurs et la bonne ambiance retrouvée.
«Notre objectif était de reconstruire une équipe. A ce niveau, cette semaine a été très positive», explique Kuhn. Même son de cloche du côté du président Zloczower, qui ajoute toutefois que «cela aurait été mieux si les résultats avaient suivi». Mais aucun ne semble, face à la presse, préoccupé des performances en demi-teinte actuelles de la Suisse.
«Köbi Kuhn est venu il y a quelques semaines me présenter sa stratégie pour préparer l'équipe en vue de l'Euro», explique M. Zloczower. «Nous n'en sommes qu'à la première phase, celle des essais. Le sélectionneur fera très bientôt ses choix.» Le stage en Floride a-t-il alors porté ses fruits ? «Je n'ai encore aucune certitude quant aux joueurs», répond Kuhn. «Je vais maintenant procéder à une analyse globale de ce qu'il s'est passé ici.»
Confiance en Kuhn
Le président de l'ASF et le délégué aux équipes nationales ont bien entendu eu droit aux questions relatives à la position de Köbi Kuhn. Tous deux ont balayé d'un revers de la main les rumeurs qui font du Zurichois un entraîneur en danger. «Köbi Kuhn n'est pas remis en question. Mais je ne dis jamais que je maintiens ma confiance en un entraîneur, parce que, d'habitude, il est licencié dans la semaine qui suit», explique avec humour M. Lämmli.
«Je trouve risibles les demandes de démission que j'ai pu voir dans les médias. Les journalistes ont le droit d'écrire et de penser ce qu'ils veulent. Mais j'ai ma propre opinion, et je n'ai pas besoin de la presse pour me faire un avis.»
"Pas de doute"
Et, quand on demande à M. Zloczower s'il témoigne toujours sa confiance au sélectionneur, il répond: «Bien sûr qu'il a toute ma confiance ! Je n'ai pas de raison d'exprimer des doutes. Nous avons assez de temps pour être prêts. Nous ne devons toutefois pas nous endormir...»
Köbi Kuhn est-il alors particulièrement sous pression ? «Non», répond l'intéressé. «C'est normal qu'il y ait de la tension autour de l'équipe nationale. Je savais très bien que la période entre la Coupe du monde et l'Euro allait être très difficile.» Et M. Zloczower de venir à la rescousse de son sélectionneur: «Köbi Kuhn n'est pas fragilisé. Il se rend simplement compte de la critique qui lui est faite. Mais il ne se laisse jamais détourner du bon chemin.» Le bon chemin. Tous trois sont d'accord à ce sujet. Un optimisme qui interloque quand même quelque peu, compte tenu des piètres prestations de la Suisse ces derniers mois. L'avenir dira si l'ASF s'est voilé la face, ou si la presse s'est emballée sans laisser le temps à cette équipe de grandir et de progresser.
Les frouzes ont essayé de faire pareil mais Higuain a refusé l'invitation !
Faut pas rêver, un double national qui a du talent préfèrera 100% essayer d'arriver en sélection argentine plutôt que de venir jouer pour la Suisse. l'ASF c'est vraiment n'importe quoi !!!!!!!!!!!
FOOTBALL. Elu des cœurs il y a quelques mois encore, le sélectionneur de l'équipe de Suisse, fragilisé au moment de boucler un stage raté en Floride, connaît une chute vertigineuse dans les sondages. Un retour de flamme est-il possible?
Simon Meier, Miami, Mardi 27 mars 2007
«J'ai eu du plaisir à passer du temps avec les joueurs. C'est l'essentiel.» Rideau sur le stage de l'équipe de Suisse en Floride, Köbi Kuhn esquisse un rictus. Face à la presse en tout cas, cela faisait un moment. Alors qu'il s'apprête à tourner un spot publicitaire pour le sponsor principal de la Nati, ce lundi après-midi, le sélectionneur apparaît même de bonne humeur. Bizarre. La perspective de quitter Miami, peut-être? Dans une contrée où les sexagénaires nantis coulent des jours paisibles, le Zurichois vient en effet de passer une semaine fort désagréable. Une équipe qui ne tourne pas, des journalistes chafouins sur le paletot, des obligations à honorer auprès des partenaires, des doutes plein la musette... Entraîneur de foot? Un fichu métier, où le roi des types devient le dernier des abrutis quelques défaites plus tard.
Voilà exactement ce que le «Köbi national», élu du peuple il y a quelques mois encore, est en train de vivre: une sévère dégringolade dans les sondages. Dimanche soir sur la DRS, au terme du revers devant la Colombie, le présentateur référentiel Mathias Hüppi a réclamé la tête du «Suisse de l'année 2006». Qui l'eût cru? «J'ai entendu parler de son intervention», sourit le coach. «Cela ne m'effraie pas. Je savais que la période entre le Mondial et l'Euro serait difficile à vivre.» A ce point-là? «Ces jours, je ne l'ai pas trouvé en forme. Je crois qu'il est touché par les critiques», commente un observateur de longue date. «Sa personnalité et son attitude n'ont pas changé et c'est très bien ainsi», estime pour sa part le défenseur Johan Djourou. Vu de l'extérieur toutefois, depuis la faillite collective du 11 octobre dernier en Autriche, le sélectionneur n'est plus le même. Son regard ne pétille plus, son sempiternel sourire en coin s'est effacé. Aux yeux des critiques, les qualités d'hier sont même devenues des défauts. Le calme du bonhomme est réduit à une passivité de mauvais aloi. On assimile ses expériences tactiques à de l'indécision. Pire, le côté sympa du héros accessible dont on peut trouver le numéro de téléphone dans l'annuaire passe désormais pour un manque de professionnalisme. «Il y a des moments où il me fait vraiment de la peine», déclarait récemment dans le magazine Facts Marc Walder, rédacteur en chef du Sonntagsblick et ami proche du sélectionneur.
Irascible face aux questions qui dérangent, fragilisé par la critique, Köbi Kuhn n'est pas aidé. A peine sorti des bains de foule aux huiles triomphales du mois de juin, l'homme paraît aujourd'hui très seul. L'éviction de l'ancien capitaine Johann Vogel, qu'il a décrétée sans consulter personne sinon son conseiller particulier Erwin Zogg, a sans doute fait du tort à la cohésion du duo qu'il forme avec son assistant Michel Pont. Et sans parler du fond, la manière employée a déplu à plusieurs joueurs - il se murmure qu'une partie du vestiaire ne lui soit plus guère acquise. Et dernièrement, ses dirigeants n'ont pas toujours fait preuve d'un soutien inconditionnel. Outre les quelques noms évoqués pour lui succéder un peu plus tôt que prévu, il fut question de lui colleter un manager en la personne de Jörg Stiel, son capitaine lors de l'Euro 2004.
En Floride, les pontes de l'Association suisse de football (ASF) se sont montrés davantage qu'à l'accoutumée. Pour alimenter une impression d'unité, de confiance et de solidarité retrouvées. Lundi, à l'heure du bilan, leur parole revêtait presque autant d'intérêt qu'à l'époque du crachat d'Alexander Frei durant l'Euro 2004. Köbi Kuhn est-il sur la sellette? «Tout ce que je peux vous répondre, c'est que je me suis battu pour que Köbi prolonge son contrat jusqu'en 2008», répond Ernst Lämmli, son supérieur direct en tant que délégué aux équipes nationales. «Et je n'affirmerai pas que le coach garde toute ma confiance parce qu'en général, lorsqu'un dirigeant dit ça, c'est qu'il est sur le point de le renvoyer.» A un jet de pierre, Ralph Zloczower, président de l'Association suisse de football, se lance: «Je maintiens toute ma confiance en Köbi Kuhn jusqu'à l'Euro 2008.»
Mauvais présage? Pas fatalement. En football, la roue tourne vite et dans tous les sens. L'abruti peut redevenir le roi des types. «Nous ne pouvons évidemment pas être satisfaits des résultats actuels», conclut Ernst Lämmli. «Mais il y a quelques semaines, nous avons défini une stratégie avec le coach, et nous la suivrons jusqu'à l'Euro 2008. L'équipe a retrouvé un esprit, nous sommes sur le bon chemin.» Affaire à suivre. Köbi Kuhn décoche un dernier sourire à ses détracteurs et puis s'en va. De tout l'amour qu'il a pu générer ces dernières années, le sélectionneur ne conserve, au terme d'une expédition floridienne éprouvante, que les vestiges. Reste à savoir s'ils pourront servir de terreau à une nouvelle idylle.
[Le Temps 2007]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
C'est clair qu'un double national argento-suisse préfèrerait nettement dans l'absolu jouer pour l'Argentine. Mais les places sont extrêmement chères pour joueur au sein de cette équipe alors qu'il semble bien plus aisé d'être sélectionné en équipe de Suisse.
Donc, un gars qui n'a aucune chance de jouer pour les Sud-américains verrait sans doute d'un bon oeil de rejoindre les rangs helvétiques.
Les propos de Behrami retranscrit par le Matin d'hier... on sait déjà qui sera le prochain exclu....
ah moins qu'une majorité de joueurs ait perdu confiance en Kuhn et que la fédératio n'est pas d'autre choix que de virer Köbi
Le Matin a écrit :
Un camp d'entraînement? Non, une course d'école!
ÉQUIPE DE SUISSE Une polémique chasse l'autre. Dans une interview au vitriol, Valon Behrami parle de la récente tournée américaine comme d'une excursion familiale entre amis. Dans la foulée, il en profite aussi pour asticoter Köbi Kuhn...
NICOLAS JACQUIER
31 mars 2007
Ce n'est pas un poisson d'avril. Mais un nouvel avis de tempête soufflant sur les eaux déjà agitées sur lesquelles vogue l'équipe de Suisse depuis plusieurs mois... Au retour d'un camp d'entraînement en Floride qui n'aura rien réglé du tout sinon accentué l'impression de malaise régnant au sein du groupe, il émane cette fois de Valon Behrami. Relégué sur le banc plus souvent qu'à son tour, le titulaire de la Lazio Rome a choisi la très sérieuse «Weltwoche» pour dire, dans une interview au vitriol, tout le mal qu'il pensait de ce genre d'excursion destinée, nous avait-on pourtant expliqué, à «resserrer les liens». Le terme d'excursion n'est pas trop fort, sachant qu'il revient dans les propos gratinés de Behrami, déplorant le manque de sérieux d'un camp tournant, selon lui, à la mascarade. A l'entendre, le camp de Miami, au lieu de servir à mettre les problèmes sur la table, aurait davantage pris les allures d'une sortie de contemporains, d'un regroupement entre amis...
Car que dit Behrami? «L'atmosphère familiale qui règne entre nous me dérange personnellement. J'ai toujours le sentiment que nous sommes en course d'école ou en train de faire une excursion familiale. Tout le monde se connaît, tout le monde se tape sur les épaules amicalement entre copains. En Italie, cela ne se passerait jamais comme ça (...) Tout cela ne me gênerait pas si l'on parvenait à se concentrer ensuite sur les problèmes du terrain.» La suite de l'interview est du même acabit, Köbi Kuhn en prenant lui aussi pour son grade. Behrami, en l'occurrence, y dénonce l'apparent manque de transparence du coach national dans ses choix et le flou artistique qui entoure (rait) ses consignes. «Un entraîneur doit expliquer à chacun de ses joueurs ce qu'il attend de lui, et non se retourner sans rien dire.»
Dans la foulée, le Beckham suisse déplore aussi l'invasion quotidienne des médias, dérangeant, selon lui, l'harmonie (!) du groupe. «Chacun se retrouve assis derrière une table. Comme on est 23, il y a 23 tables, avec chaque fois le nom du joueur inscrit dessus (...) On doit sans cesse être tranquille, se contrôler car les journalistes peuvent sans cesse nous voir.»
Décrit comme un solitaire, mal intégré dans l'équipe selon certains, Valon Behrami a-t-il agi sous l'influence de son ami Johann Vogel? L'hypothèse n'est pas à exclure. Ce qui est déjà sûr, c'est que ce nouveau grand déballage ne va pas contribuer à ramener le calme dans la maison. Köbi Kuhn n'a d'ailleurs pas tardé à réagir: «Les propos de Behrami sont inacceptables, devait-il confier hier au Blick. Ils sont aussi nuisibles pour la Fédération. Un joueur qui ne se sentirait pas bien dans l'équipe a toujours la possibilité de venir me voir ou d'en discuter avec M. Lämmli (ndlr: délégué aux équipes nationales). Lorsque l'on parle de communication, cela doit aller dans les deux sens. Si un joueur n'est pas à l'aise dans ce groupe, il peut rester à la maison, cela n'est pas un problème.» Le 2 juin, la Suisse recevra l'Argentine à Bâle. Ce jour-là, il n'est pas certain du tout que Valon Behrami fasse partie de la famille...
L'article dont tu parles ne date pas de samedi mais bien déjà de ce dimanche 1er avril sur Le Matin online. Donc j'ose espérer qu'il s'agisse d'une plaisanterie, d'un poisson d'avril.
J'attendrai lundi pour être sûr que c'est bien la réalité car là, ça me semble vraiment incroyable que Valon ait osé dire ça. Qu'il le pense, je veux bien, ça pourrait tenir la route que ce camp ait été une sorte de colonie de vacances connaissant papy Köbi le G.O.
Si c'est une plaisanterie du Matin, elle est de très mauvais goût. Et si c'est vrai, c'est une catastrophe... Peu de joueurs en Suisse ont le talent de Behrami et le perdre serait une immense perte.
Presse-purée a écrit :L'article dont tu parles ne date pas de samedi mais bien déjà de ce dimanche 1er avril sur Le Matin online. Donc j'ose espérer qu'il s'agisse d'une plaisanterie, d'un poisson d'avril.
J'attendrai lundi pour être sûr que c'est bien la réalité car là, ça me semble vraiment incroyable que Valon ait osé dire ça. Qu'il le pense, je veux bien, ça pourrait tenir la route que ce camp ait été une sorte de colonie de vacances connaissant papy Köbi le G.O.
Si c'est une plaisanterie du Matin, elle est de très mauvais goût. Et si c'est vrai, c'est une catastrophe... Peu de joueurs en Suisse ont le talent de Behrami et le perdre serait une immense perte.
Ce n'est pas une plaisanterie, les mêmes propos étaient tenus jeudi (ou vendredi) dans le Blick.
Primo ça ne peut pas être une plaisanterie puisque comme dit plus haut on en parle dans d'autres canards avant ce 1er avril. Et de deux je crois sincérement que l'on va vivre une période agitée avec la Nati et probablement un changement de coach car KK n'est pas Klinsmann et ses résultats ne sont pas bons ces temps et ses titres de gloires ne sont quand même pas autre chose qu'une qualif pour les 8ème avec le résultats que l'on connaît et nos 118 pénalty ratés et donc plus sérieusement comme il y a des soucis en général dans l'équipe (les équipes) hôtes qui sont qualifiées d'office et qui ne savent pas trop pendant 2 ans ou elles se situent ... et bien La Suisse ne va pas échaper à ce phénomène !
En résumé l'affaire Vonlanthen puis l'affaire Nkufo suivie de l'affaire Vogel elle-même suivie maintenant de celle de Berhammi et des suivantes qui manqueront pas vont doucement sonner le glas de Papy KK et cela n'est honnêtement pas pour me déplaire tant sa manière de ne surtout rien changer m'énerve en ce moment !
La vie n'est finalement pas un long fleuve tranquille !!
J'aimerais tellement que tu aies raison... Mais j'ai bien peur que tous ces remous dans l'équipe, que les résultats médiocres et surtout la triste manière affichée ne suffisent toujours pas aux pseudo dirigeants du football suisse à licencier Kuhn. Ils semblent encore plus mous que lui.
Il faudrait que d'autres joueurs affichent ouvertement leur désaccord et quand la moitié de l'équipe se sera rangée contre Kuhn. peut-être qu'enfin la révolution aura lieu.
Selon un sondage de l'institut Isopublic publié par la "Sonntagszeitung", 71% des Suisses seraient favorables à Köbi Kuhn. La grande majorité des personnes interrogées estime que le coach national doit aller au bout de son contrat et entraîner l'équipe de Suisse lors de l'Euro 2008.
Presse-purée a écrit :71% des Suisses soutiennent Kuhn
Selon un sondage de l'institut Isopublic publié par la "Sonntagszeitung", 71% des Suisses seraient favorables à Köbi Kuhn. La grande majorité des personnes interrogées estime que le coach national doit aller au bout de son contrat et entraîner l'équipe de Suisse lors de l'Euro 2008.
Source : txt
Des suisses allemands surement. Combien de romands dans leur pannel?
ben la Sontagszeitung est lue par 90% de romands comme tout le monde le sait !!
Plus sérieusement je les comprends les bourbines car ils savent au fond d'eux que le seul coach probable pour un remplacement de de KK serait en l'état un romand, genre Challandes ou Pont, et donc ... ils ne le voient pas d'un bon oeil !
La vie n'est finalement pas un long fleuve tranquille !!
...au moins on sait que le nouveau capitaine est conscient de nos problèmes de gardien.... 
!
