El Hadary au FC Sion
- pinelardo
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Est-ce que quelqu'un peu mettre le lien des vidéos où l'on voit nos joueurs??Christophe a écrit :02/06/2008 Mondial-2010/CAN-2010: Essam El-Hadary sauve son équipe!
Lors de la rencontre du 1er juin 2008 entre l'Egypte et le Congo, remportée 2 à 1 par l'Egypte, Essam El-Hadary s'est une fois de plus illustré. Le gardien du FC Sion a effectué un arrêt monumental dans les arrêts de jeu et, par la même occasion, sauvé les 3 points de ce match. Concernant les autres internationaux du FC Sion: Kali, avec l'Angola, bat Jocelyn Ahoueya avec le Benin sur le score de 3 à 0. Ils ont tous les deux évolué 90 minutes lors de ce match. Paito, puni d'un carton jaune durant sa prestation, a perdu avec le Mosambique contre la Côte d'Ivoire sur le score de 0 à 1. Obinna Nwaneri a joué avec le Nigeria contre l'Afrique du Sud et son équipe a remporté la victoire sur le score de 2 à 0.
sit off du FC SION
Je n'ai pas réussi à trouver l'arrêt de Hadary.....
« J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. » George Best
hello,
here's a youtube video of the egypt/congo match. you will see the 2 goals scored by egyptian players. plus, you will see hadary preventing an obviously imminent goal ! it was awesome !
http://www.youtube.com/watch?v=I8nOrOqyJmc
hope u would find it helpful
here's a youtube video of the egypt/congo match. you will see the 2 goals scored by egyptian players. plus, you will see hadary preventing an obviously imminent goal ! it was awesome !
http://www.youtube.com/watch?v=I8nOrOqyJmc
hope u would find it helpful

- Trilu
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Merci pour le lien !rama0 a écrit :hello,
here's a youtube video of the egypt/congo match. you will see the 2 goals scored by egyptian players. plus, you will see hadary preventing an obviously imminent goal ! it was awesome !
http://www.youtube.com/watch?v=I8nOrOqyJmc
hope u would find it helpful
Mais j'ai pas vu d'arrêt monumental....
- jeje-fcsion
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[HS] J'adore l'égyptien, ça sonne super! [/HS]
L'action à 3:30 n'est pas si exceptionnelle pour Hadary, tout gardien standard en a sorti des comme ça. C'est marrant comme on entend passer des "suizi" ou autres dès que la caméra est fixée sur notre gardien.
Par contre, le premier but égyptien est splendide. On ne voit pas ça souvent chez nous...
L'action à 3:30 n'est pas si exceptionnelle pour Hadary, tout gardien standard en a sorti des comme ça. C'est marrant comme on entend passer des "suizi" ou autres dès que la caméra est fixée sur notre gardien.
Par contre, le premier but égyptien est splendide. On ne voit pas ça souvent chez nous...
...c'est tout.
Ce qu'il fait à 3:20 est superbe. Vous avez vu comme il sort de sa zone sans hésitation pour plonger dans les pieds de l'attaquant. Sans ça, comme tous ses défenseurs étaient aux pives, l'attaquant aurait facilement pu armer son tir et risquait bien de faire mouche. Là faut admettre qu'il sauve le match.jeje-fcsion a écrit :Il a arrété le ballon ... comme un gardien le fait ... je vois rien de monumental ... perso je m'attendais a une parade incroyable dans une lucarne ...Silvan a écrit :Bien sûr, il y en a un! Regarde à 3:20.
@rama0: Thanks for the video.
you are all welcome
maybe because you are only watching this little clip out of the "whole" match. that's why u don't see the judgement of hadary as monumental.
but to me, and most of the people who saw the match. it was not the best game for the egyptian team. they were not at the best shape. so when they scored two goals, it felt really super, that we are one point ahead of Congo. and when the Congo player attempted to score at the veryyyyy last minutes, it was really nerve-wracking
he could have easilyyyyy done it, and hadary & the defense could have failed in preventing it, despite its simplicity
so when hadary jumped in quickly and pushed the ball away, it "felt" monumental
. otherwise, we would have ended up 2/2. that would not be really lovely to us
thankssssss to u all for your input. wish u the best

maybe because you are only watching this little clip out of the "whole" match. that's why u don't see the judgement of hadary as monumental.
but to me, and most of the people who saw the match. it was not the best game for the egyptian team. they were not at the best shape. so when they scored two goals, it felt really super, that we are one point ahead of Congo. and when the Congo player attempted to score at the veryyyyy last minutes, it was really nerve-wracking


so when hadary jumped in quickly and pushed the ball away, it "felt" monumental


thankssssss to u all for your input. wish u the best

i have a question for you guys about a rumor regarding Hadary.
it has been repeated a LOTTTTT in egyptian newspapers, and TV sports programs. still i'm not sure about it, for all these sources can't be considered reliable
it's said that Essam Hadary is to be transfered to Olympique Lyonnais next season.
is there any truth to that piece of news?? i find it kinda confusing.especially that Lyon has already signed a contract with Hugo Lloris, as their new goalkeeper and the replacement of Grégory Coupet
is it possible that hadary would ALSO join their team? have you read or heard such a thing from swiss media outlets??
it has been repeated a LOTTTTT in egyptian newspapers, and TV sports programs. still i'm not sure about it, for all these sources can't be considered reliable

it's said that Essam Hadary is to be transfered to Olympique Lyonnais next season.
is there any truth to that piece of news?? i find it kinda confusing.especially that Lyon has already signed a contract with Hugo Lloris, as their new goalkeeper and the replacement of Grégory Coupet

- toujoursvalaisan
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Essam Al-Hadari, l’ex-gardien de but international d’Ahli, qui a défrayé la chronique lors de son départ précipité après la CAN 2008 vers le club suisse FC Sion, évoque sa nouvelle vie au sein de l’équipe helvétique et répond aux vives attaques qu’il subit encore.
« Ici je vis très bien, et je n’ai aucun problème »
Al-Ahram Hebdo : Cela fait plus de cinq mois que vous êtes au FC Sion. Les entraînements sont-ils très différents qu’à Ahli, votre ancien club ?
Essam Al-Hadari : Oui, et la différence des entraînements entre les deux clubs se situe au niveau de l’école allemande de mon actuel entraîneur, Uli Stielike, et celle du Portugais Manuel José Da Silva, l’entraîneur d’Ahli. La manière dont se déroulent les entraînements ici au FC Sion n’est pas nouvelle pour moi, je l’avais vécue avec Ahli au temps des anciens techniciens allemands comme par exemple Raïner Hollman, l’actuel directeur technique de Zamalek. A part cela, il n’y a pas vraiment de différence. On peut dire que les Ahlaouis ont un avantage, c’est l’esprit combatif des joueurs et leur amour extrême pour le club, ce qu’on appelle « l’esprit du maillot rouge » qui privilègie les joueurs d’Ahli et les distingue de ceux des autres clubs.
— Vos yeux brillent quand vous parlez d’Ahli ... Aimez-vous toujours autant ce club malgré ce qui a été dit et l’attitude des dirigeants et des supporters après votre départ ?
— Ahli est ma maison et le restera pour toujours. Ce sont ses dirigeants et ses supporters qui ont créé la popularité de Essam Al-Hadari et je leur suis reconnaissant. Les supporters qui m’insultent aujourd’hui, ce sont ceux qui, auparavant, hurlaient et criaient pour me supporter. Je sais que s’ils m’insultent maintenant, c’est parce qu’ils m’aiment et qu’ils n’auraient pas voulu que je quitte leur club.
Je veux profiter de cet entretien, qui est le premier « vrai entretien » que je tiens depuis longtemps — puisque beaucoup de petits journaux publient des interviews de moi que je n’ai jamais faites — pour assurer de nouveau que je n’ai jamais fui ma maison Ahli comme j’entends les gens dire. Je voulais seulement réaliser un des deux grands rêves de ma vie après une qualification pour la Coupe du monde, qui est de jouer en Europe sous les couleurs d’un grand club. Je pense qu’il est temps de réaliser ce rêve, surtout que j’ai déjà 35 ans.
— Mais un grand nombre de journaux égyptiens vous qualifient quand même de « fugitif » …
— (Il s’énerve et hausse la voix) Oui, je sais et c’est ce qui m’énerve. Je n’ai pas quitté le pays après avoir volé une banque pour être qualifié de « fugitif ». Il y a beaucoup de joueurs qui se sont vraiment enfuis de leurs clubs pour aller jouer ailleurs, bien qu’ils aient été sous contrat. Pourtant, personne ne les qualifie de la sorte. Mais je sais très bien qui est derrière cette qualification … Je le connais très bien, mais je ne dirais jamais son nom. Tout ce que je peux dire à cette personne et à toutes celles qui m’ont qualifié de fugitif, c’est que j’ai contribué avec mes coéquipiers à remporter 25 titres locaux, africains, arabes et mondiaux. Je crois qu’avec ce palmarès avec le club, j’avais le droit de réaliser mon rêve de venir évoluer en Europe. Même si la façon de mon départ n’a pas plu aux Ahlaouis, la manière dont cela a été traité est vraiment dure. Pourtant, je reste amoureux de ce club et je suis de très près ses nouvelles comme si j’y jouais encore.
— Avec qui, parmi les joueurs d’Ahli, gardez-vous des contacts après votre départ ?
— Avec la majorité des joueurs d’Ahli et de la sélection nationale. Mais les plus proches de moi sont Abou-Treika qui m’appelle souvent. Chadi Mohamad, Emad Al-Nahhas, Oussa (ndlr : le gardien international de Zamalek, Mohamad Abdel-Moncef), Hassan Chéhata et surtout l’ex-international Samir Kammouna sont aussi là.
— Quand vous jouez avec l’équipe nationale d’Egypte, les supporters d’Ahli vous insultent toujours méchamment dans les tribunes. Comment réagissez-vous à cela ?
— C’est vraiment décevant d’être insulté par des gens qui m’ont encouragé pendant de longues années et qui ont même composé des chansons pour me rendre hommage. Au début, lors des deux premiers matchs de la sélection au Caire, j’étais vraiment attristé. Mais je me suis habitué, ça ne m’irrite plus.
— Vous vous-êtes donc habitué aux insultes ?!
— Oui … vraiment. Je ne fais plus attention à ce que disent les supporters dans les tribunes, je me concentre seulement sur mon travail, le match. Ma philosophie est de répondre à tous ceux qui m’insultent soit dans la presse (journaux, télévision) soit dans les tribunes, en jouant très bien sur terrain. Je respecte tout le monde, ceux qui m’aiment et ceux qui m’insultent.
— Les médias ont critiqué Hassan Chéhata pour vous avoir sélectionné et l’ont accusé de ne pas respecter l’administration et les supporters d’Ahli. Qu’en pensez-vous ?
— Le capitaine Hassan est un grand entraîneur qui ne peut pas être influencé dans son travail par d’autres facteurs que le niveau technique. C’est un grand. Et il est sans aucun doute le meilleur entraîneur de foot que l’Egypte ait connu.
— Même meilleur que Mahmoud Al-Gohari ?
— (Surpris) … Ecoutez … On mesure la grandeur d’un entraîneur par ses exploits. Et sans doute Hassan Chéhata est l’entraîneur qui a réalisé le plus d’exploits (deux CAN consécutives et une Coupe arabe). Sur le plan technique comme sur le plan personnel, il est l’entraîneur le plus aimé des joueurs égyptiens. Voyez comment les joueurs déploient des efforts sur le terrain. Chéhata nous traite comme s’il était notre père et pas notre entraîneur, et le résultat est que les 23 joueurs de l’équipe se tuent sur le terrain pour gagner. Il sait comment préparer les joueurs pour les matchs. Avec Chéhata, l’Egypte a une grande chance de se qualifier pour le Mondial 2010. Personnellement, je le perçois comme mon père et non mon entraîneur, j’ai beaucoup appris de lui et je lui dois beaucoup.
— Regrettez-vous parfois d’être parti d’Egypte ?
— J’ai l’habitude de ne pas regretter mes décisions. Si j’en avais l’occasion, je referais la même chose, je repartirais au FC Sion. C’est une très bonne expérience qui m’a beaucoup enrichi.
— Les Suisses semblent aussi vous aimer beaucoup. Cela doit être réconfortant, non ?
— Oui, très, je suis vraiment content. Depuis mon arrivée ici, j’ai découvert que je suis connu et aussi célèbre qu’en Egypte. Les gens m’ont très bien accueilli ici et me demandent même souvent de danser (Il sourit).
— Vous avez changé un peu de coiffure. Pour avoir le look d’autres Egyptiens qui évoluent en Europe à l’instar de Mido et Zidane ?
— Pas tout à fait. Mais j’essaye de changer un peu. Je ne m’intéresse pas beaucoup à mon look, contrairement à une grande majorité de joueurs. Je préfère me concentrer sur le terrain.
— Sinon, vous avez aujourd’hui 35 ans. D’habitude, les joueurs égyptiens partent plus jeunes à l’étranger et reviennent à votre âge comme ce qu’ont récemment fait Ahmad Hassan et Aymane Abdel-Aziz. Mais vous, vous avez fait le contraire ...
— Chacun de nous a ses propres motivations pour prendre des décisions. Eux, ils ont évolué en Europe pendant presque 10 ans. Quant à moi, c’était ma dernière chance pour partir. Ma femme et mes 4 enfants sont très contents ici. Nous vivons dans une très belle et confortable villa et les enfants ont tout ce qu’il leur faut. Le club me fournit tout pour que je puisse vivre à l’aise et que je me concentre au foot. A mon arrivée au club, l’entraîneur allemand Uli Stielike, ancien joueur de Real Madrid et un des grands joueurs de l’histoire de l’Allemagne avec Karl-Heinz Rummenigge, Horst Hrubesch et le grand gardien Harald Schumacher, m’a dit qu’il me connaissait très bien depuis la CAN 2006. C’est un excellent entraîneur et je suis content d’évoluer à ses côtés.
— Votre équipe regorge de joueurs africains. Lesquels sont les plus proches de vous ?
— Le plus proche de moi est le Marocain Jamal Alioui puis le Kyné-Algérien de l’équipe, Omar. Ces deux forment mon petit groupe d’amis à Sion. Ils parlent arabe et couramment le français. Je révise avec eux le français que j’apprends en cours particuliers. Maintenant, je sais dire quelques phrases en français. Dans quelques mois, nous pourrons faire un autre entretien complètement en français !
Propos recueillis par Amr Moheb
« Ici je vis très bien, et je n’ai aucun problème »
Al-Ahram Hebdo : Cela fait plus de cinq mois que vous êtes au FC Sion. Les entraînements sont-ils très différents qu’à Ahli, votre ancien club ?
Essam Al-Hadari : Oui, et la différence des entraînements entre les deux clubs se situe au niveau de l’école allemande de mon actuel entraîneur, Uli Stielike, et celle du Portugais Manuel José Da Silva, l’entraîneur d’Ahli. La manière dont se déroulent les entraînements ici au FC Sion n’est pas nouvelle pour moi, je l’avais vécue avec Ahli au temps des anciens techniciens allemands comme par exemple Raïner Hollman, l’actuel directeur technique de Zamalek. A part cela, il n’y a pas vraiment de différence. On peut dire que les Ahlaouis ont un avantage, c’est l’esprit combatif des joueurs et leur amour extrême pour le club, ce qu’on appelle « l’esprit du maillot rouge » qui privilègie les joueurs d’Ahli et les distingue de ceux des autres clubs.
— Vos yeux brillent quand vous parlez d’Ahli ... Aimez-vous toujours autant ce club malgré ce qui a été dit et l’attitude des dirigeants et des supporters après votre départ ?
— Ahli est ma maison et le restera pour toujours. Ce sont ses dirigeants et ses supporters qui ont créé la popularité de Essam Al-Hadari et je leur suis reconnaissant. Les supporters qui m’insultent aujourd’hui, ce sont ceux qui, auparavant, hurlaient et criaient pour me supporter. Je sais que s’ils m’insultent maintenant, c’est parce qu’ils m’aiment et qu’ils n’auraient pas voulu que je quitte leur club.
Je veux profiter de cet entretien, qui est le premier « vrai entretien » que je tiens depuis longtemps — puisque beaucoup de petits journaux publient des interviews de moi que je n’ai jamais faites — pour assurer de nouveau que je n’ai jamais fui ma maison Ahli comme j’entends les gens dire. Je voulais seulement réaliser un des deux grands rêves de ma vie après une qualification pour la Coupe du monde, qui est de jouer en Europe sous les couleurs d’un grand club. Je pense qu’il est temps de réaliser ce rêve, surtout que j’ai déjà 35 ans.
— Mais un grand nombre de journaux égyptiens vous qualifient quand même de « fugitif » …
— (Il s’énerve et hausse la voix) Oui, je sais et c’est ce qui m’énerve. Je n’ai pas quitté le pays après avoir volé une banque pour être qualifié de « fugitif ». Il y a beaucoup de joueurs qui se sont vraiment enfuis de leurs clubs pour aller jouer ailleurs, bien qu’ils aient été sous contrat. Pourtant, personne ne les qualifie de la sorte. Mais je sais très bien qui est derrière cette qualification … Je le connais très bien, mais je ne dirais jamais son nom. Tout ce que je peux dire à cette personne et à toutes celles qui m’ont qualifié de fugitif, c’est que j’ai contribué avec mes coéquipiers à remporter 25 titres locaux, africains, arabes et mondiaux. Je crois qu’avec ce palmarès avec le club, j’avais le droit de réaliser mon rêve de venir évoluer en Europe. Même si la façon de mon départ n’a pas plu aux Ahlaouis, la manière dont cela a été traité est vraiment dure. Pourtant, je reste amoureux de ce club et je suis de très près ses nouvelles comme si j’y jouais encore.
— Avec qui, parmi les joueurs d’Ahli, gardez-vous des contacts après votre départ ?
— Avec la majorité des joueurs d’Ahli et de la sélection nationale. Mais les plus proches de moi sont Abou-Treika qui m’appelle souvent. Chadi Mohamad, Emad Al-Nahhas, Oussa (ndlr : le gardien international de Zamalek, Mohamad Abdel-Moncef), Hassan Chéhata et surtout l’ex-international Samir Kammouna sont aussi là.
— Quand vous jouez avec l’équipe nationale d’Egypte, les supporters d’Ahli vous insultent toujours méchamment dans les tribunes. Comment réagissez-vous à cela ?
— C’est vraiment décevant d’être insulté par des gens qui m’ont encouragé pendant de longues années et qui ont même composé des chansons pour me rendre hommage. Au début, lors des deux premiers matchs de la sélection au Caire, j’étais vraiment attristé. Mais je me suis habitué, ça ne m’irrite plus.
— Vous vous-êtes donc habitué aux insultes ?!
— Oui … vraiment. Je ne fais plus attention à ce que disent les supporters dans les tribunes, je me concentre seulement sur mon travail, le match. Ma philosophie est de répondre à tous ceux qui m’insultent soit dans la presse (journaux, télévision) soit dans les tribunes, en jouant très bien sur terrain. Je respecte tout le monde, ceux qui m’aiment et ceux qui m’insultent.
— Les médias ont critiqué Hassan Chéhata pour vous avoir sélectionné et l’ont accusé de ne pas respecter l’administration et les supporters d’Ahli. Qu’en pensez-vous ?
— Le capitaine Hassan est un grand entraîneur qui ne peut pas être influencé dans son travail par d’autres facteurs que le niveau technique. C’est un grand. Et il est sans aucun doute le meilleur entraîneur de foot que l’Egypte ait connu.
— Même meilleur que Mahmoud Al-Gohari ?
— (Surpris) … Ecoutez … On mesure la grandeur d’un entraîneur par ses exploits. Et sans doute Hassan Chéhata est l’entraîneur qui a réalisé le plus d’exploits (deux CAN consécutives et une Coupe arabe). Sur le plan technique comme sur le plan personnel, il est l’entraîneur le plus aimé des joueurs égyptiens. Voyez comment les joueurs déploient des efforts sur le terrain. Chéhata nous traite comme s’il était notre père et pas notre entraîneur, et le résultat est que les 23 joueurs de l’équipe se tuent sur le terrain pour gagner. Il sait comment préparer les joueurs pour les matchs. Avec Chéhata, l’Egypte a une grande chance de se qualifier pour le Mondial 2010. Personnellement, je le perçois comme mon père et non mon entraîneur, j’ai beaucoup appris de lui et je lui dois beaucoup.
— Regrettez-vous parfois d’être parti d’Egypte ?
— J’ai l’habitude de ne pas regretter mes décisions. Si j’en avais l’occasion, je referais la même chose, je repartirais au FC Sion. C’est une très bonne expérience qui m’a beaucoup enrichi.
— Les Suisses semblent aussi vous aimer beaucoup. Cela doit être réconfortant, non ?
— Oui, très, je suis vraiment content. Depuis mon arrivée ici, j’ai découvert que je suis connu et aussi célèbre qu’en Egypte. Les gens m’ont très bien accueilli ici et me demandent même souvent de danser (Il sourit).
— Vous avez changé un peu de coiffure. Pour avoir le look d’autres Egyptiens qui évoluent en Europe à l’instar de Mido et Zidane ?
— Pas tout à fait. Mais j’essaye de changer un peu. Je ne m’intéresse pas beaucoup à mon look, contrairement à une grande majorité de joueurs. Je préfère me concentrer sur le terrain.
— Sinon, vous avez aujourd’hui 35 ans. D’habitude, les joueurs égyptiens partent plus jeunes à l’étranger et reviennent à votre âge comme ce qu’ont récemment fait Ahmad Hassan et Aymane Abdel-Aziz. Mais vous, vous avez fait le contraire ...
— Chacun de nous a ses propres motivations pour prendre des décisions. Eux, ils ont évolué en Europe pendant presque 10 ans. Quant à moi, c’était ma dernière chance pour partir. Ma femme et mes 4 enfants sont très contents ici. Nous vivons dans une très belle et confortable villa et les enfants ont tout ce qu’il leur faut. Le club me fournit tout pour que je puisse vivre à l’aise et que je me concentre au foot. A mon arrivée au club, l’entraîneur allemand Uli Stielike, ancien joueur de Real Madrid et un des grands joueurs de l’histoire de l’Allemagne avec Karl-Heinz Rummenigge, Horst Hrubesch et le grand gardien Harald Schumacher, m’a dit qu’il me connaissait très bien depuis la CAN 2006. C’est un excellent entraîneur et je suis content d’évoluer à ses côtés.
— Votre équipe regorge de joueurs africains. Lesquels sont les plus proches de vous ?
— Le plus proche de moi est le Marocain Jamal Alioui puis le Kyné-Algérien de l’équipe, Omar. Ces deux forment mon petit groupe d’amis à Sion. Ils parlent arabe et couramment le français. Je révise avec eux le français que j’apprends en cours particuliers. Maintenant, je sais dire quelques phrases en français. Dans quelques mois, nous pourrons faire un autre entretien complètement en français !
Propos recueillis par Amr Moheb
Sédunois jusqu´à la mort, valaisan eternellement.
— Les Suisses semblent aussi vous aimer beaucoup. Cela doit être réconfortant, non ?
— Oui, très, je suis vraiment content. Depuis mon arrivée ici, j’ai découvert que je suis connu et aussi célèbre qu’en Egypte. Les gens m’ont très bien accueilli ici et me demandent même souvent de danser (Il sourit


SEULEMENT SION !
ItAlIa_RePrEzAnTe a écrit :— Les Suisses semblent aussi vous aimer beaucoup. Cela doit être réconfortant, non ?
— Oui, très, je suis vraiment content. Depuis mon arrivée ici, j’ai découvert que je suis connu et aussi célèbre qu’en Egypte. Les gens m’ont très bien accueilli ici et me demandent même souvent de danser (Il sourit![]()
je vois pas le but de ton post, à part les 13 types qui chantent "vailati-vailati-vailati" pendant les matchs, je ne connais personne qui n'aime pas El-Hadary....


Du tien non plus... Les 13 (j'en ai compté 18...) types qui chantent pour "Vailati" n'ont certainement pas grand chose contre El-Hadary mais préfèrent simplement Vailati ou lui apportent leur soutien vocalement... de la à dire qu'ils ne l'aime pas...je vois pas le but de ton post, à part les 13 types qui chantent "vailati-vailati-vailati" pendant les matchs, je ne connais personne qui n'aime pas El-Hadary....
21.05.2006 - SOS
fidel a écrit :Du tien non plus... Les 13 (j'en ai compté 18...) types qui chantent pour "Vailati" n'ont certainement pas grand chose contre El-Hadary mais préfèrent simplement Vailati ou lui apportent leur soutien vocalement... de la à dire qu'ils ne l'aime pas...je vois pas le but de ton post, à part les 13 types qui chantent "vailati-vailati-vailati" pendant les matchs, je ne connais personne qui n'aime pas El-Hadary....
alors raison de plus pour ne pas comprendre ou est le problème qu'El-Hadary dise qu'il est aimé ici



Exact,en ce qui me conerne j'ai rien contre El-Hadary,j'en veux plus à CC qui engage un gardien pour une somme astronomique alors qu'on en avait 2 très bon.fidel a écrit :Du tien non plus... Les 13 (j'en ai compté 18...) types qui chantent pour "Vailati" n'ont certainement pas grand chose contre El-Hadary mais préfèrent simplement Vailati ou lui apportent leur soutien vocalement... de la à dire qu'ils ne l'aime pas...je vois pas le but de ton post, à part les 13 types qui chantent "vailati-vailati-vailati" pendant les matchs, je ne connais personne qui n'aime pas El-Hadary....
Mais on va pas refaire le débat.
SEULEMENT SION !
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c'est pas el-hadary qui perd le ballon comme un gros gland à la troisième et treizième minute hier soir...
avec une défense comme celle-là...même avec buffon ou deux gardiens dans les buts on peut pas gagner des matchs...
à la limite si on avait qu'une défense de caque avec une attaque de feu on pourrait espérer qqchose...mais quand on voit qu'en plus de la médiocrité de la défense on a le mec qui est chargé de les mettre au fond qui rate ce qu'un gamin de 6 ans et demi aurait réussi lors de son premier jour à l'école de foot on peut se faire du vrai souci...et d'ores et déjà penser au maintien...
qu'on jette tabornio et nwaneri aux ortilles une fois pour toute...quit à payer pour qu'ils partent et qu'on nous engage un mec avec un semblant d'intelligence tactique en défense...(à la limite qu'on les échange contre le nouveau Djabou...ca sera toujours ca de pris)
déjà quand on arrêtera d'encaisser ca sera plus facile d'en mettre au fond...parce qu'avec la vitesse des attaquants à dispo on a tout pour jouer le contre...et c'est encore de cette façon que c'est le plus facile de marquer
avec une défense comme celle-là...même avec buffon ou deux gardiens dans les buts on peut pas gagner des matchs...
à la limite si on avait qu'une défense de caque avec une attaque de feu on pourrait espérer qqchose...mais quand on voit qu'en plus de la médiocrité de la défense on a le mec qui est chargé de les mettre au fond qui rate ce qu'un gamin de 6 ans et demi aurait réussi lors de son premier jour à l'école de foot on peut se faire du vrai souci...et d'ores et déjà penser au maintien...
qu'on jette tabornio et nwaneri aux ortilles une fois pour toute...quit à payer pour qu'ils partent et qu'on nous engage un mec avec un semblant d'intelligence tactique en défense...(à la limite qu'on les échange contre le nouveau Djabou...ca sera toujours ca de pris)
déjà quand on arrêtera d'encaisser ca sera plus facile d'en mettre au fond...parce qu'avec la vitesse des attaquants à dispo on a tout pour jouer le contre...et c'est encore de cette façon que c'est le plus facile de marquer
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!