A ce jour, le club valaisan a remporté toutes les «vraies» finales - disputées jusque-là à Pâques ou à Pentecôte, chaque fois l'après-midi - auxquelles il a participé.
la finale !!
Re: la finale !!
Si jamais on tient notre excuse, que ce soit dit:
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Re: la finale !!
Surtout sur les coup-francs à 20-30 mètres !Baro a écrit :Par contre méfioons-nous de Zuffi...

Moins d'ambition, plus de passion !
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
Re: la finale !!
En ce jour, une pensée émue pour un mercenaire qui a lui tout seul, ou presque, nous l'avait ramenée, en ce rendant irrésistible le jour J, Ahmed dans nos coeurs à jamais:

La légion étrangère, comme son nom l'indique, est composée pour l'essentiel par des soldats qui ne sont pas des français de souche, il n'en reste pas moins qu'ils sont prêt à donner leur vie pour ce drapeau...puissent nos joueurs, qui ne sont pas tous des valaisans de souche, s'en inspirerUn étranger de passage, pas forcément très concerné par ce genre d’aventures, va-t-il dès lors trouver ce supplément d’âme qui permet de forger les plus grands succès? «La question me paraît pertinente, mais il est difficile d’apporter une réponse très précise, note Bonvin. En 1996 toujours, Ahmed Ouattara (ndlr: Côte d’Ivoire) s’était littéralement transcendé pour réussir une fantastique finale.»


en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Re: la finale !!
en effet, MERCI à Ahmed d'avoir fait rever tellement de fois le gradin nord et de nous avoir offert cette victoire face à GC
que les autres s'en inspirent et se bougent le cul ce soir !!!
OUAH OUATTARA OUAH OUATTARA....

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OUAH OUATTARA OUAH OUATTARA....

Michel Blanc - Saborio, même combat : sur un malentendu ils peuvent conclure !
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Re: la finale !!
Est-ce que qqn aurait une idee pour un endroit ou voir le match a Geneve?
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Re: la finale !!
Dans un "autre" registre, un article piquant du Blick à l'adresse de cette m*rde de Zloczower, qui nous a gentiment déplacé le jour de la finale pour que Monsieur puisse y assister avant d'aller se tirer les flûtes aux Bahamas...
)
Il y a 2 césures dans notre décompte du temps: L'introduction du calendrier grégorien en 1582. Et la finale de la Coupe de Suisse 2009. Dans le premier cas, on revient sur la date exacte du lundi de Pâques. Après des siècles de dispute, le pape Gregor XIII décide de casser avec la tradition. Les raison: Les nouveaux calculs des corps célèstes par Copernic.
Agendée au lundi de Pâques
Plus de 500 ans plus tard, la deuxième révolution du calendrier. Le pape Ralph I décide que, pour la première fois de l'histoire du foot suisse, la finale de la coupe se tiendra un jour de semaine. La raison: Le pape doit partir aux Bahamas, et y sera justement le lundi de Pâques. Depuis des générations se tient, le jour du lundi de Pâques, une fête sans pareil. Aujourd'hui, Ralph Zloczower redessine les astres...
Il faut le reconnaître, ce n'est que dans la crise que les grandes personnalités ressortent. Alors que le monde des dirigeants-dieux du football suisse voient diminuer leur pouvoir, la structure féodale de l'ASF reste intacte.
La raison officielle pour que la finale ne soit pas sifflée le lundi de Pâques cette année: Le 1er juin (Lundi de Pâques) a lieu un congrès important de la FIFA aux Bahamas. Les 208 associations sont invitées. Pour que l'ASF puisse aussi aller se taper des cocktails de Papaye aux Bahamas, le pape Ralph I change le calendrier...
Dans le style des grands seigneurs
Le plus irritant dans cette décision historique du boss de notre association est l'évidence avec laquelle il agit. Et sa perception déformée de la réalité - dans le style des grands seigneurs. Robert Breiter, juriste de l'ASF et organisateur en chef de la coupe, dans le «Südostschweiz» d'hier: «La coupe est le concours de l'ASF par excellence. Ce serait une plaisanterie si les membres du comité n'étaient pas là.»
La plaisanterie est ailleure: à savoir que l'ASF pense que le monde ne pourrait tourner sans son boss, ou en tout cas pas le match au Stade de Suisse. Ca lui aurait fait quoi de se faire représenter au congrès de la FIFA et de laisser la finale se dérouler le lundi de Pâques? On aurait pu sans problème sortir du tiroir 4 représentants de l'ASF et les envoyer aux Caraïbes.
La coupe est plus qu'un match de foot
Cette arrogance passe vraiment mal. Et fait preuve d'un manque certain de clairvoyance. La finale de la coupe, c'est bien plus qu'un match de football. C'est une fête unique dans une ambiance particuloère. On se rencontre entre amis pour faire une grillade, laper des mousses et tout cela sous un soleil rayonnant. C'est la finale de la coupe, La finale de la coupe, c'est un jour de fête, dans le sens propre du terme.
La fête, malgré le pape Ralph I
Le fait que le président soit étranger à cette fête est une preuve évidente de sa non-relation avec les fans. Ici, il y a une assymétrie entre les supporters et les dirigeants - à travers notamment le ridicule de cette situation de finale 2009. Le foot vit grâce aux fans et aux joueurs, pas grâce aux fonctionnaires. La raison véritable du changement de date de la finale est proprement scandaleuse
Mais réjouissons-nous de cette finale de ce soir, pas grâce, mais malgré le pape Ralph I.
A cet effet, nous souhaitons à sa sainteté un agréable séjour aux Bahamas. Température à Nassau: 24C°.




Traduction approximative (j'fais ce que j'peuxEs gibt zwei Zäsuren in unserer Zeitrechnung: Die Einführung des Gregorianischen Kalenders 1582. Und der Schweizer Cupfinal 2009. Im ersten Fall ging es um die exakte Berechnung der Ostertage. Nach jahrhundertelangen Disputen entschied Papst Gregor XIII., mit der Tradition zu brechen. Grund: Neue Berechnungen der Himmelskörper durch Kopernikus.
Ausgerechnet am Pfingstmontag
Mehr als 500 Jahre später, die zweite Kalenderrevolution. Papst Ralph I. legt fest, dass der diesjährige Cupfinal erstmals in der Geschichte des Schweizer Fussballs an einem Werktag stattfindet. Grund: Der Papst muss auf die Bahamas. Und das ausgerechnet am Pfingstmontag. Seit Generationen wird an diesem Tag der Cup ausgetragen, ein Familienfest ohnegleichen. Jetzt ordnet Ralph Zloczower die Gestirne neu.
Man muss es neidlos anerkennen: Erst in der Krise schälen sich grosse Persönlichkeiten heraus. Während weltweit die gottgesalbten Herrscher ihre Macht schwinden sehen, bleibt die Feudalstruktur des Schweizer Fussballverbandes intakt. Die Kirche als politische Weltmacht ging an der Völlerei und Selbstüberschätzung ihrer Führer zugrunde, beim SFV hat das Obrigkeitsdenken bis heute überlebt.
Die offizielle Begründung, weshalb der Cupfinal dieses Jahr nicht zur gewohnten Zeit angepfiffen wird: Am 1. Juni (Pfingstmontag) findet auf den Bahamas ein wichtiger Fifa-Kongress statt. Alle 208 Verbände sind eingeladen. Damit auch der SFV in der Karibik am Papaya-Cocktail nuckeln darf, ändert Papst Ralph I. kurzerhand den Kalender.
Im Stil grosser Feudalherren
Das Irritierende am historischen Wurf unserer Verbandsbosse ist die Selbstverständlichkeit, mit welcher sie handeln. Und ihre verzerrte Wahrnehmung der Realität – ganz im Stil grosser Feudalherren. Robert Breiter, Hausjurist des SFV und Chef-Organisator des Cups, in der «Südostschweiz» von gestern: «Der Cup ist der Wettbewerb des Schweizerischen Fussballverbandes schlechthin. Da wäre es doch ein Witz, wenn die Mitglieder des Zentralvorstandes nicht anwesend wären.»
Der Witz ist ein anderer: dass der SFV nämlich glaubt, ohne Verbandsbosse würde sich die Welt nicht drehen, schon gar nicht der Matchball im Stade de Suisse. Was hätte es gebraucht, sich am Fifa-Kongress vertreten zu lassen und den Cupfinal wie gewohnt am Pfingstmontag auszutragen? Man hätte ohne weiteres sicherstellen können, mindestens vier SFV-Mitglieder in die Karibik zu schicken, da ein «Schieber» sonst schwierig würde. Aber abgesehen von einem Jass – geht der SFV davon aus, am Fifa-Kongress weltpolitische Entscheide fällen zu müssen und drum unentbehrlich ist?
Cupfinal ist mehr als ein Fussballspiel
Es ist letztlich diese Arroganz, die einem sauer aufstösst. Und der absolute Mangel an Feingespür, der ratlos macht (siehe auch Kommentar). Der Cupfinal ist eben mehr als nur ein Fussballspiel. Es ist ein Happening, ein Fest, das von der speziellen Atmosphäre lebt. Man trifft sich mit Freunden zum Grillieren, schleppt Bierharrassen in den Garten, ist gut drauf. Es ist Cupfinal. Man muss nicht aus dem Büro hetzen, weil man längst zu Hause ist. Cupfinal heisst Feiertag. Im wahrsten Sinne des Wortes.
Freude – trotz Papst Ralph I
Dass dem Verbandspräsidenten dieser einzigartige Cup-Groove fremd ist, sagt viel aus über dessen Verhältnis zu den Fans. Hier die Obrigkeit, dort das Volk – eine Asymmetrie, die 2009 nur noch lächerlich wirkt. Der Fussball lebt wegen den Fans, den Spielern, nicht wegen den Funktionären. Die Grundhaltung, die hinter der Cup-Verschiebung steckt, ist der eigentliche Skandal.
Nun denn, freuen wir uns auf ein wunderbares Spiel heute zwischen YB und Sion – nicht wegen, sondern trotz Papst Ralph I.
Auf diesem Wege wünschen wir Seiner Heiligkeit dann noch einen schönen Aufenthalt in der Karibik. Aktuelle Wassertemperatur in Nassau: 24 Grad.

Il y a 2 césures dans notre décompte du temps: L'introduction du calendrier grégorien en 1582. Et la finale de la Coupe de Suisse 2009. Dans le premier cas, on revient sur la date exacte du lundi de Pâques. Après des siècles de dispute, le pape Gregor XIII décide de casser avec la tradition. Les raison: Les nouveaux calculs des corps célèstes par Copernic.
Agendée au lundi de Pâques
Plus de 500 ans plus tard, la deuxième révolution du calendrier. Le pape Ralph I décide que, pour la première fois de l'histoire du foot suisse, la finale de la coupe se tiendra un jour de semaine. La raison: Le pape doit partir aux Bahamas, et y sera justement le lundi de Pâques. Depuis des générations se tient, le jour du lundi de Pâques, une fête sans pareil. Aujourd'hui, Ralph Zloczower redessine les astres...
Il faut le reconnaître, ce n'est que dans la crise que les grandes personnalités ressortent. Alors que le monde des dirigeants-dieux du football suisse voient diminuer leur pouvoir, la structure féodale de l'ASF reste intacte.
La raison officielle pour que la finale ne soit pas sifflée le lundi de Pâques cette année: Le 1er juin (Lundi de Pâques) a lieu un congrès important de la FIFA aux Bahamas. Les 208 associations sont invitées. Pour que l'ASF puisse aussi aller se taper des cocktails de Papaye aux Bahamas, le pape Ralph I change le calendrier...
Dans le style des grands seigneurs
Le plus irritant dans cette décision historique du boss de notre association est l'évidence avec laquelle il agit. Et sa perception déformée de la réalité - dans le style des grands seigneurs. Robert Breiter, juriste de l'ASF et organisateur en chef de la coupe, dans le «Südostschweiz» d'hier: «La coupe est le concours de l'ASF par excellence. Ce serait une plaisanterie si les membres du comité n'étaient pas là.»
La plaisanterie est ailleure: à savoir que l'ASF pense que le monde ne pourrait tourner sans son boss, ou en tout cas pas le match au Stade de Suisse. Ca lui aurait fait quoi de se faire représenter au congrès de la FIFA et de laisser la finale se dérouler le lundi de Pâques? On aurait pu sans problème sortir du tiroir 4 représentants de l'ASF et les envoyer aux Caraïbes.
La coupe est plus qu'un match de foot
Cette arrogance passe vraiment mal. Et fait preuve d'un manque certain de clairvoyance. La finale de la coupe, c'est bien plus qu'un match de football. C'est une fête unique dans une ambiance particuloère. On se rencontre entre amis pour faire une grillade, laper des mousses et tout cela sous un soleil rayonnant. C'est la finale de la coupe, La finale de la coupe, c'est un jour de fête, dans le sens propre du terme.
La fête, malgré le pape Ralph I
Le fait que le président soit étranger à cette fête est une preuve évidente de sa non-relation avec les fans. Ici, il y a une assymétrie entre les supporters et les dirigeants - à travers notamment le ridicule de cette situation de finale 2009. Le foot vit grâce aux fans et aux joueurs, pas grâce aux fonctionnaires. La raison véritable du changement de date de la finale est proprement scandaleuse
Mais réjouissons-nous de cette finale de ce soir, pas grâce, mais malgré le pape Ralph I.
A cet effet, nous souhaitons à sa sainteté un agréable séjour aux Bahamas. Température à Nassau: 24C°.

I'm forever blowing bubbles, pretty bubbles in the air!
Re: la finale !!
TSR2Est-ce que qqn aurait une idee pour un endroit ou voir le match a Geneve?
Michel Blanc - Saborio, même combat : sur un malentendu ils peuvent conclure !
Re: la finale !!
Tiré du Matin :
Sion jouera sous protêt
Rendu méfiant par la désignation de M. Circhetta, Christian Constantin aurait souhaité que l’arbitre signe une lettre dans laquelle il s’engage à garantir une direction d’acteurs neutre. Sion l’a fait par l’envoi d’un courrier à l’ASF, donnant un ultimatum expirant hier à 14 h pour recevoir le document réclamé. Son président n’ayant pas obtenu satisfaction, le club valaisan, par le biais de son avocat, a aussitôt demandé la récusation officielle de M. Circhetta. «L’arbitre n’a pas voulu nous apporter la preuve de sa loyauté et de son indépendance», déplore CC. Si l’ASF n’accédait pas à la requête présidentielle – et rien ne laisse supposer qu’elle le fera –, Sion jouera alors sous protêt. «Notre protêt sera déposé avant le coup d’envoi.» Pendant ce temps, le principal intéressé ne se laisse pas démonter par cette bataille juridique: «Par essence, je suis neutre, a expliqué Claudio Circhetta. Je n’ai pas besoin de le prouver en apposant ma signature au bas d’un quelconque document!»
Décidément avec CC !!!
Sion jouera sous protêt
Rendu méfiant par la désignation de M. Circhetta, Christian Constantin aurait souhaité que l’arbitre signe une lettre dans laquelle il s’engage à garantir une direction d’acteurs neutre. Sion l’a fait par l’envoi d’un courrier à l’ASF, donnant un ultimatum expirant hier à 14 h pour recevoir le document réclamé. Son président n’ayant pas obtenu satisfaction, le club valaisan, par le biais de son avocat, a aussitôt demandé la récusation officielle de M. Circhetta. «L’arbitre n’a pas voulu nous apporter la preuve de sa loyauté et de son indépendance», déplore CC. Si l’ASF n’accédait pas à la requête présidentielle – et rien ne laisse supposer qu’elle le fera –, Sion jouera alors sous protêt. «Notre protêt sera déposé avant le coup d’envoi.» Pendant ce temps, le principal intéressé ne se laisse pas démonter par cette bataille juridique: «Par essence, je suis neutre, a expliqué Claudio Circhetta. Je n’ai pas besoin de le prouver en apposant ma signature au bas d’un quelconque document!»
Décidément avec CC !!!
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Re: la finale !!
Je cherche plutot un bar/restauraut avec ecran... histoire d'avoir un peu l'ambiance sans pouvoir venir a BerneShake a écrit :TSR2Est-ce que qqn aurait une idee pour un endroit ou voir le match a Geneve?
- alexx
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Re: la finale !!
De l'ambiance dans un bar de genève pour un match de sionJules a écrit :Je cherche plutot un bar/restauraut avec ecran... histoire d'avoir un peu l'ambiance sans pouvoir venir a BerneShake a écrit :TSR2Est-ce que qqn aurait une idee pour un endroit ou voir le match a Geneve?


L'exigence mène à la perfection.
Re: la finale !!
Salut amis valaisans,
Je vous envie bien d'assister en direct au match depuis Berne. Nous sommes 3 valaisans vivant en ce moment a Damas en Syrie mais je crois bien que nous avons finalement reussi, apres maints emails et coup de fils suppliant tous ceux qui pouraient nous venir en aide, a trouver en endroit qui capte la TSR2 pour voir le match. Magique!
Alors on criera un HOP SION bien fort depuis cette ville pleine d'histoire ce soir, en esperant que Sion continuera a ecrire la sienne!!
HOP SION!!!
Je vous envie bien d'assister en direct au match depuis Berne. Nous sommes 3 valaisans vivant en ce moment a Damas en Syrie mais je crois bien que nous avons finalement reussi, apres maints emails et coup de fils suppliant tous ceux qui pouraient nous venir en aide, a trouver en endroit qui capte la TSR2 pour voir le match. Magique!
Alors on criera un HOP SION bien fort depuis cette ville pleine d'histoire ce soir, en esperant que Sion continuera a ecrire la sienne!!
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- Gullit
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Re: la finale !!
CC devrait se la coincer un moment....cette polémique de l'arbitre va jouer contre nous!
- Gullit
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Re: la finale !!
Le point commun entre la Syrie et le Valais, c'est la température d'aujourd'hui....tous les éléments sont réunis pour rapporter notre coupe.valeredr a écrit :Salut amis valaisans,
Je vous envie bien d'assister en direct au match depuis Berne. Nous sommes 3 valaisans vivant en ce moment a Damas en Syrie mais je crois bien que nous avons finalement reussi, apres maints emails et coup de fils suppliant tous ceux qui pouraient nous venir en aide, a trouver en endroit qui capte la TSR2 pour voir le match. Magique!
Alors on criera un HOP SION bien fort depuis cette ville pleine d'histoire ce soir, en esperant que Sion continuera a ecrire la sienne!!
HOP SION!!!
- dahu
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Re: la finale !!
Tiré de mes souvenirs de ce forum, mais je n'y ai jamais été. Donc c'est juste une idée à vérifier :Jules a écrit :Est-ce que qqn aurait une idee pour un endroit ou voir le match a Geneve?
Café le Rallye, 95, bd Carl-Vogt, en face de Uni-Mail
Voir ce sujet :
http://www.fcsion4ever.com/phpBB3/viewt ... f=2&t=4952
Mais à mon avis les principaux intervenants seront à Berne ce soir
Re: la finale !!
Et peut-être à l'auberge de Savièse dans les Paquis, si ils ont un bout de télé disponible !
Le dancing Brasilia, woua, c'est super sympa !!!
Re: la finale !!
Il joue un jeu dangereux :pyt68 a écrit :Tiré du Matin :
Sion jouera sous protêt
Rendu méfiant par la désignation de M. Circhetta, Christian Constantin aurait souhaité que l’arbitre signe une lettre dans laquelle il s’engage à garantir une direction d’acteurs neutre. Sion l’a fait par l’envoi d’un courrier à l’ASF, donnant un ultimatum expirant hier à 14 h pour recevoir le document réclamé. Son président n’ayant pas obtenu satisfaction, le club valaisan, par le biais de son avocat, a aussitôt demandé la récusation officielle de M. Circhetta. «L’arbitre n’a pas voulu nous apporter la preuve de sa loyauté et de son indépendance», déplore CC. Si l’ASF n’accédait pas à la requête présidentielle – et rien ne laisse supposer qu’elle le fera –, Sion jouera alors sous protêt. «Notre protêt sera déposé avant le coup d’envoi.» Pendant ce temps, le principal intéressé ne se laisse pas démonter par cette bataille juridique: «Par essence, je suis neutre, a expliqué Claudio Circhetta. Je n’ai pas besoin de le prouver en apposant ma signature au bas d’un quelconque document!»
Décidément avec CC !!!
- Déstabiliser un arbitre, c'est l'exposer à des erreurs importantes. Ca peut jouer d'un côté comme de l'autre.
- Cette fois, il ne peut pas s'en prendre à l'adversaire alors il s'attaque ailleurs
- S'attirer encore plus la haine de bcp de gens. En 06 on était la 1ère équipe à jouer une finale sous forfait (forfait retiré par la suite). En 09, on sera la seule équipe à l'avoir fait non pas une, mais 2x!!!
Par contre, force est de reconnaitre que les journalistes ne vont plus couvrir les faits et gestes des joueurs à l'hotel.
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Re: la finale !!
Ce bon Christian qui pense à tout, si Sion est avantagé par des décisions arbitrales qui lui donne la victoire, il fait quoi, il rend la Coupe? demande à ce que le match soit rejoué?
A mes yeux, cette fois ce brave homme a touché le fond, il en est devenu pathétique
A mes yeux, cette fois ce brave homme a touché le fond, il en est devenu pathétique

http://www.hatman.ch
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"Un con qui marche ira toujours plus loin qu'un intellectuel assis !"
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Re: la finale !!
Au contraire, je trouve cela assez habile! Il détourne l'attention de tous les journalistes là-dessus. Et pendant le temps l'équipe est tranquille et peut bosser sereine.
C'est clair que c'est de l'intox. Mais je pense pas que ça aie une influence sur l'arbitre. La seule chose que ça peut provoquer c'est une réaction de fierté et que ça pousse à le surpasser et faire un match parfait. Ceci serait bénéfique pour les 2 équipes!
Allez les gars!!! On va la ramener!
C'est clair que c'est de l'intox. Mais je pense pas que ça aie une influence sur l'arbitre. La seule chose que ça peut provoquer c'est une réaction de fierté et que ça pousse à le surpasser et faire un match parfait. Ceci serait bénéfique pour les 2 équipes!
Allez les gars!!! On va la ramener!

Re: la finale !!
La ligue aurait dû obtempéré immédiatement pour ne pas laisser enfler la polémique. Si l'arbitre est vraiment sûr de lui il n'a aucun problème à signer ce document. Mais ce sont que les gens qui ont des choses à se reprocher qui ergote pour ça un peu comme pour le passeport biométrique
Re: la finale !!
Le problème, c'est qu'une fois qu'il y a une décision arbitrale défavorable à sion, CC s'appuiera sur ce papier pour dire qu'il n'a pas respecté son engagement.Zitto a écrit :La ligue aurait dû obtempéré immédiatement pour ne pas laisser enfler la polémique. Si l'arbitre est vraiment sûr de lui il n'a aucun problème à signer ce document. Mais ce sont que les gens qui ont des choses à se reprocher qui ergote pour ça un peu comme pour le passeport biométrique
Il a raison de ne pas signer ce papier. Par définition, un arbitre est neutre. Et c'est sur le terrain que se décide le vainqueur, pas dans les cabinets d'avocats et autres tribunaux
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Re: la finale !!
Le FC Sion en route pour une 11e Coupe
Par Simon Meier
Sur dix finales de Coupe de Suisse disputées jusqu’ici, le club valaisan en a gagné autant. La 11e, mercredi soir contre Young Boys au Stade de Suisse, alimentera-t-elle la légende ou marquera-t-elle la fin d’une série mythique? En Valais, personne ne songe au second terme de l’alternative.
Un mythe, si persistant soit-il, peut-il repousser ad aeternam les assauts de la réalité? C’est la question qu’on se pose à chaque fois que le FC Sion atterrit en finale de la Coupe de Suisse. En dix participations et autant de victoires depuis 1965 (voir encadré), d’improbables retournements de situation en triomphes arrachés à la force du cœur et du jarret, le club valaisan a bâti sa légende au fil des trophées. Mercredi soir au Stade de Suisse, contre les Young Boys, il cherchera à ne pas froisser l’histoire et, accessoirement, à sauver sa saison.
Le FC Sion, toujours en lutte contre la relégation en championnat, vit un exercice tourmenté. Mais, comme par miracle, à l’approche de la finale, il redevient une équipe. Et par on ne sait quelle magie, l’Egyptien Essam El-Hadary, le Hongrois Vilmos Vanczak, l’Ivoirien Serey Die ou le Français Olivier Monterrubio se sentiront 100% Valaisans l’espace d’une soirée au Stade de Suisse. «Le message va passer. Je ne connais pas encore le résultat, mais je peux vous dire que les joueurs auront vécu une expérience particulière avec cette finale», promet Christian Constantin. «Quand les gars vont sentir la ferveur monter, voir la marche des Valaisans sur Berne et les 13 000 ou 14 000 drapeaux dans le stade, ils ne seront plus les mêmes.»
Selon Thomas Burgener, ancien conseiller national et conseiller d’Etat, abonné au stade de Tourbillon, le pluriculturalisme de l’effectif sédunois n’entame pas l’identification du public à son équipe: «Bien sûr, il n’y aura qu’un Valaisan sur le terrain. Mais en discutant du match avec les gens, je me suis rendu compte que ça ne changeait rien à leur passion.»
Aux yeux du socialiste, l’institution FC Sion constitue, avec les combats de reines et la Fête cantonale des fanfares, l’un des rares pôles de ralliement du Vieux-Pays. «Dans ce canton où il est difficile de maintenir l’unité, le club joue un rôle important, rassembleur. Il dresse des ponts entre les différentes couches politiques, sociales ou linguistiques.»
François-Xavier Amherdt, abbé né à Sion et professeur de théologie à l’Université de Fribourg, avoue, pour sa part, avoir du mal à se retrouver dans l’équipe actuelle, «vu les méthodes selon lesquelles le club est dirigé, entre valse des entraîneurs et marché des joueurs». Mais le caractère mystique de l’affaire ne lui échappe pas: «La relation entre le FC Sion et la Coupe de Suisse revêt quelque chose de quasi religieux. Il y a ce côté pèlerinage à Berne, où tout un peuple, le Valais, se met en route. La Coupe apparaît comme le Saint Graal, objet du triomphe et du salut, auquel on boit avec exaltation.»
On en a croisé beaucoup, samedi soir à Tourbillon, qui incarnent cette ferveur doublée d’un optimisme sans faille. «On va la gagner, cette onzième, ce n’est pas possible autrement», lâchent les supporters à l’unisson, des étoiles plein les mirettes, la foi chevillée au cœur. «Il y a des missions qui sont placées au-dessus de tout», exhorte Christian Constantin, grand berger devant l’Eternel.
«Gamin, j’ai trait les vaches, j’ai fait du fromage», rappelle le président architecte, prompt à parler du profond enracinement de la Coupe de Suisse dans le Vieux-Pays. «J’ai ramassé des cerises et des abricots, j’ai planté des asperges. En Valais, on a une relation intime à la terre. Et si les gens qui sont nés ici ne défendent pas la région, qui le fera?» Défendre la région, quand on a l’honneur de porter le maillot du FC Sion en finale, c’est ramener la Coupe sur la place de la Planta.
Ne jamais renoncer, lutter même lorsque la cause paraît perdue – en 1991 contre YB et en 1996 face à Servette, les Valaisans étaient menés 0-2 avant de renverser la vapeur –, aller au bout de soi: telle est la recette gagnante. Pour illustrer la fibre combative qui a traditionnellement mené au succès, Christian Constantin évoque ce coin de pays où on a dû creuser des tunnels et ériger des barrages pour exister; l’époque où, transis de froid l’hiver et brûlés par le soleil l’été, «certains Valaisans ont dû s’expatrier en Amérique du Sud pour pouvoir bouffer».
De l’appétit, il en faut pour renverser les montagnes. Christian Constantin, qui avait déjà passé en boucle le DVD retraçant les dix premiers triomphes à ses troupes avant les quarts et les demi-finales, a trouvé autre chose. Mardi, sur le lac de Thoune – l’équipe est «au vert» depuis lundi –, le skieur Didier Défago, vainqueur des descentes de Wengen et Kitzbühel cet hiver, est venu transmettre son expérience aux joueurs. Ou comment s’extirper du creux de la vague pour surfer sur les sommets.
«Dans l’esprit du citoyen valaisan, gagner la finale, c’est une chose normale. Tu dois aller à Berne et prendre la Coupe», ressasse le président sédunois avant, preuve de courage, d’avouer ses peurs. «La vérité, c’est que Young Boys est favori, qu’on va jouer sur un terrain synthétique et qu’on a la monstre trouille.»
A Thomas Burgener le mot de la fin: «Objectivement, tout parle contre le FC Sion; c’est pour ça qu’ils vont la gagner. Ils n’ont pas le droit de perdre, parce qu’ils ont peur de la honte qui en découlerait s’ils devenaient les premiers à ne pas ramener le trophée.» La réalité rattrapera-t-elle le mythe?
[Le Temps 2009]
Par Simon Meier
Sur dix finales de Coupe de Suisse disputées jusqu’ici, le club valaisan en a gagné autant. La 11e, mercredi soir contre Young Boys au Stade de Suisse, alimentera-t-elle la légende ou marquera-t-elle la fin d’une série mythique? En Valais, personne ne songe au second terme de l’alternative.
Un mythe, si persistant soit-il, peut-il repousser ad aeternam les assauts de la réalité? C’est la question qu’on se pose à chaque fois que le FC Sion atterrit en finale de la Coupe de Suisse. En dix participations et autant de victoires depuis 1965 (voir encadré), d’improbables retournements de situation en triomphes arrachés à la force du cœur et du jarret, le club valaisan a bâti sa légende au fil des trophées. Mercredi soir au Stade de Suisse, contre les Young Boys, il cherchera à ne pas froisser l’histoire et, accessoirement, à sauver sa saison.
Le FC Sion, toujours en lutte contre la relégation en championnat, vit un exercice tourmenté. Mais, comme par miracle, à l’approche de la finale, il redevient une équipe. Et par on ne sait quelle magie, l’Egyptien Essam El-Hadary, le Hongrois Vilmos Vanczak, l’Ivoirien Serey Die ou le Français Olivier Monterrubio se sentiront 100% Valaisans l’espace d’une soirée au Stade de Suisse. «Le message va passer. Je ne connais pas encore le résultat, mais je peux vous dire que les joueurs auront vécu une expérience particulière avec cette finale», promet Christian Constantin. «Quand les gars vont sentir la ferveur monter, voir la marche des Valaisans sur Berne et les 13 000 ou 14 000 drapeaux dans le stade, ils ne seront plus les mêmes.»
Selon Thomas Burgener, ancien conseiller national et conseiller d’Etat, abonné au stade de Tourbillon, le pluriculturalisme de l’effectif sédunois n’entame pas l’identification du public à son équipe: «Bien sûr, il n’y aura qu’un Valaisan sur le terrain. Mais en discutant du match avec les gens, je me suis rendu compte que ça ne changeait rien à leur passion.»
Aux yeux du socialiste, l’institution FC Sion constitue, avec les combats de reines et la Fête cantonale des fanfares, l’un des rares pôles de ralliement du Vieux-Pays. «Dans ce canton où il est difficile de maintenir l’unité, le club joue un rôle important, rassembleur. Il dresse des ponts entre les différentes couches politiques, sociales ou linguistiques.»
François-Xavier Amherdt, abbé né à Sion et professeur de théologie à l’Université de Fribourg, avoue, pour sa part, avoir du mal à se retrouver dans l’équipe actuelle, «vu les méthodes selon lesquelles le club est dirigé, entre valse des entraîneurs et marché des joueurs». Mais le caractère mystique de l’affaire ne lui échappe pas: «La relation entre le FC Sion et la Coupe de Suisse revêt quelque chose de quasi religieux. Il y a ce côté pèlerinage à Berne, où tout un peuple, le Valais, se met en route. La Coupe apparaît comme le Saint Graal, objet du triomphe et du salut, auquel on boit avec exaltation.»
On en a croisé beaucoup, samedi soir à Tourbillon, qui incarnent cette ferveur doublée d’un optimisme sans faille. «On va la gagner, cette onzième, ce n’est pas possible autrement», lâchent les supporters à l’unisson, des étoiles plein les mirettes, la foi chevillée au cœur. «Il y a des missions qui sont placées au-dessus de tout», exhorte Christian Constantin, grand berger devant l’Eternel.
«Gamin, j’ai trait les vaches, j’ai fait du fromage», rappelle le président architecte, prompt à parler du profond enracinement de la Coupe de Suisse dans le Vieux-Pays. «J’ai ramassé des cerises et des abricots, j’ai planté des asperges. En Valais, on a une relation intime à la terre. Et si les gens qui sont nés ici ne défendent pas la région, qui le fera?» Défendre la région, quand on a l’honneur de porter le maillot du FC Sion en finale, c’est ramener la Coupe sur la place de la Planta.
Ne jamais renoncer, lutter même lorsque la cause paraît perdue – en 1991 contre YB et en 1996 face à Servette, les Valaisans étaient menés 0-2 avant de renverser la vapeur –, aller au bout de soi: telle est la recette gagnante. Pour illustrer la fibre combative qui a traditionnellement mené au succès, Christian Constantin évoque ce coin de pays où on a dû creuser des tunnels et ériger des barrages pour exister; l’époque où, transis de froid l’hiver et brûlés par le soleil l’été, «certains Valaisans ont dû s’expatrier en Amérique du Sud pour pouvoir bouffer».
De l’appétit, il en faut pour renverser les montagnes. Christian Constantin, qui avait déjà passé en boucle le DVD retraçant les dix premiers triomphes à ses troupes avant les quarts et les demi-finales, a trouvé autre chose. Mardi, sur le lac de Thoune – l’équipe est «au vert» depuis lundi –, le skieur Didier Défago, vainqueur des descentes de Wengen et Kitzbühel cet hiver, est venu transmettre son expérience aux joueurs. Ou comment s’extirper du creux de la vague pour surfer sur les sommets.
«Dans l’esprit du citoyen valaisan, gagner la finale, c’est une chose normale. Tu dois aller à Berne et prendre la Coupe», ressasse le président sédunois avant, preuve de courage, d’avouer ses peurs. «La vérité, c’est que Young Boys est favori, qu’on va jouer sur un terrain synthétique et qu’on a la monstre trouille.»
A Thomas Burgener le mot de la fin: «Objectivement, tout parle contre le FC Sion; c’est pour ça qu’ils vont la gagner. Ils n’ont pas le droit de perdre, parce qu’ils ont peur de la honte qui en découlerait s’ils devenaient les premiers à ne pas ramener le trophée.» La réalité rattrapera-t-elle le mythe?
[Le Temps 2009]
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Re: la finale !!




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Re: la finale !!
Les supporters du FC Sion sont partout
C'est toute la Suisse romande que le FC Sion représentera ce soir pour sa 11e finale de coupe. Un fervent supporter affiche son soutien à travers le pays.
Les voyageurs qui empruntent la ligne Genève-Zurich aujourd'hui auront peut-être aperçu le fanion du FC Sion dans la cabine de pilotage. Sur l'écharpe rouge et blanche on peut lire : «Hop Sion, fiers d'être Valaisans». Le slogan prendra tout son sens à la fin du match de ce soir...
Sion battra-t-il YB et ramènera-t-il une 11e Coupe de Suisse en Valais? Sur 20 minutes online, partagez l'émotion des Valaisans depuis le départ en train des fans en début d'après-midi, jusqu'aux réactions d'après-match. Vivez également la finale, en direct dès 20h30.

(20minutes.ch)
C'est toute la Suisse romande que le FC Sion représentera ce soir pour sa 11e finale de coupe. Un fervent supporter affiche son soutien à travers le pays.
Les voyageurs qui empruntent la ligne Genève-Zurich aujourd'hui auront peut-être aperçu le fanion du FC Sion dans la cabine de pilotage. Sur l'écharpe rouge et blanche on peut lire : «Hop Sion, fiers d'être Valaisans». Le slogan prendra tout son sens à la fin du match de ce soir...
Sion battra-t-il YB et ramènera-t-il une 11e Coupe de Suisse en Valais? Sur 20 minutes online, partagez l'émotion des Valaisans depuis le départ en train des fans en début d'après-midi, jusqu'aux réactions d'après-match. Vivez également la finale, en direct dès 20h30.

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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Re: la finale !!
Dernier message et je saute dans ma bagnole :
HOP SION
HOP SION
Re: la finale !!
la marée rouge est en route!
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... --25537000

Edit:

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Edit:
Pour l'anecdote, au passage du train à Martigny, l'ensemble du convoi s'est mis à chanter «Martigny jamais!», en allusion au projet de nouveau stade dans la cité d'Octodure.
L´avenir nous dira ce qu´on va faire dans le futur. CC le 29 mai 2007
Re: la finale !!
L'heure est venue de rejoindre la marée rouge et blanche ...
Bonne route et bon match à tous !

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- Pulp'
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Re: la finale !!
Bon match !!
Je sens comme une boule dans votre gorge ...
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Re: la finale !!
Moi c'est l'estomac qui fait couic. Ici au Chili il tombe des trombes d'eau depuis hier et il fait froid, bref un bon temps d'hiver. Espérons un rayon de soleil !!!!!
Jean-Luc
Wankdorf 1980, 1982, 1986, 1995, 1996 et 1997 : j'y étais !
www.corobori.com
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Re: la finale !!
Déjà des débordements :
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... e-15045881
Comme on pouvait s'y attendre avec ces salopards de supporters bernois ...
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Qui a bu boira.
- Pulp'
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Re: la finale !!
Tiens, je me demandais. Lors de votre dernière finale, en 2006, au stade de Suisse, c'était déjà une pelouse synthétique ou ils l'ont posée depuis ?