mad max a écrit :Mamadou Kanté
bon celle-là ... bravo --> je te l'accorde ...
elle était facile mais, fallait vraiment la placer juste et bien
nan mais voilà, Mister Georges au niveau du parcours en tant que footballeur a fait très fort mais l'après-football, en tant que canditat à la présidence du Libéria ne m'a pas-du-tout convaincu mais aussi plus facile, d’accord … pour Milla, de briller avec le Cameroun que Weah avec le Libéria mais voilà … à mon sens, Milla a vraiment porté l'Afrique au rang de contradicteur sérieux au niveau de la phase finale de coupe du monde (et bien avant les Aigles du Nigéria, les autres lions mais sénégalais et de la Teranga ou encore tous les autres éperviers, éléphants et donc toutes les autres nations qui ont suivi) et voilà, c'est bien des lions du Cameroun que tout est parti et Milla y est de toute évidence pour beaucoup
et pour Drogba, suis d'acc également mais pense qu'il n'a pas vraiment encore une "carrière" et que celle-ci peut encore évoluer, en bien ou en moins bien et qu'il n'entre pas « déjà » en ligne de compte ...
"Roger" is the only one
--> cf : Pour son charisme, Milla est de nouveau appelé pour disputer la Coupe du monde 1994. Le Cameroun ne passe pas le premier tour mais le vétéran des Lions Indomptables, entré en cours de jeu lors du match contre la Russie (Russie 6 - Cameroun 1) sauve l'honneur et marque un but. À 42 ans et 1 mois, repoussant les limites de l'âge, il inscrit 2 nouveaux records à son palmarès en devenant le plus vieux joueur et le plus vieux buteur de l'histoire de la Coupe du monde. Il est également le premier joueur africain à avoir disputé trois phases finales.
et au passage --> remember you :
" Le long de la ligne de touche, un retraité s’échauffe gentiment. Ce 14 juin 1990, à Bari, le Cameroun affronte la Roumanie. Après 58 minutes de jeu, le score est " nul et vierge ". Albert Roger Miller, alias Roger Milla, 38 ans, rentre sur le terrain. Un revenant puisque trois ans plus tôt, sa tournée d’adieu, de Yaoundé à Douala, avait embarqué le pays dans une bringue mémorable "
Mais ce soir, Roger va donner un autre gala. Dix-huit minutes après ses premières foulées, le vieux lion fusille le gardien roumain (Silviu Lung, pour les intimes).
Et là, au lieu de lever les bras, de se laisser étouffer par ses partenaires, il se dirige vers le point de corner. Face au poteau, bras droit ondulant vers le ciel, main gauche sur le ventre, il danse la makossa. Seul. Pour bien marquer les esprits, dix minutes plus tard, il récidive après son second but. Les poteaux de corner vont apprendre à le connaître. Car Milla va faire de la makossa une marque déposée.
Que de nombreux buteurs imitent encore. 
« Un jour les Valaisans domineront le monde. Mais pas demain, y'a apéro »