ah ouai, il a retrouvé la flamme du coup, je saurai resté de glace pis au pire c'est un coup pied dans sa canne de hockeyWallis a écrit :Fait gaffe si stéphane arrive par derrière...
malhonnêtefab a écrit :A l'image de tous les français...inter a écrit :Ouep, bah minimaliste le Joubert...mais il a assuré l'essentiel....
t'es vraiment un triste personnage mon bedj ! et change ton avatar. Le jour ou tu auras un niveau perso et profess, 1000x moins bien que lui tu pourra émettre une opinion !Wallis a écrit :Son copain lui manquerait il?
Mais tant mieux... Tu n'est pas modo donc si les modos ne sont pas contents ils l'enléveront mais c'est en tous cas pas à toi qui doit me dire ce que je dois faire!bouryves a écrit :t'es vraiment un triste personnage mon bedj ! et change ton avatar. Le jour ou tu auras un niveau perso et profess, 1000x moins bien que lui tu pourra émettre une opinion !Wallis a écrit :Son copain lui manquerait il?
incoryable le respect qu'ont certain !!!
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
Non sérieux, je veux bien éviter de regarder les journaux et de pas lire ses conneries mais il y a vraiment un souci à quelque part!«J'ai beaucoup aimé ce job!»
EXCLUSIF Le Petit Prince de Saxon (VS), Stéphane Lambiel, révèle ce qu'il a fait pendant sa crise de doute. On l'imaginait au bout du monde ou enfermé chez lui, il n'en était rien. Durant ses semaines de doute, Stéphane Lambiel travaillait comme manutentionnaire!
Il a suffi du «Simply The Best» de Tina Turner et de quelques mouvements d'échauffement du double champion du monde de patinage Stéphane Lambiel pour mettre le feu hier soir à la patinoire de Graben à Sierre (VS). «C'est incroyable, la soirée n'est que sur invitation et c'est plein!» commentait Jean-Yves Pannatier, responsable presse de la BCV, organisatrice du gala. Une foule déchaînée, enthousiaste qui était venue admirer le génie du patinage du double champion du monde. Mais un public qui était peut-être aussi venu se rassurer en constatant de visu si Stéphane Lambiel avait retrouvé le feu sacré. Et il n'a pas fallu longtemps au Petit Prince de Saxon, simplement le temps de son désormais célèbre flamenco, pour rassurer son public. Oui, Stéphane a toujours envie de patiner. Son désir et son émotion sont toujours là.
«Pardonnez-moi» de et avec Darius Rochebin
Une émotion d'autant plus forte que Stéphane Lambiel révèle, dans l'émission «Pardonnez-moi» de Darius Rochebin qui sera diffusée ce dimanche à 13 h 10, qu'il avait vécu une expérience unique alors qu'il traversait une crise existentielle avant de renoncer aux Championnats d'Europe de Varsovie. Le champion a en effet travaillé comme simple manutentionnaire à remplir des chariots de commande pour une marque de vêtements... Strictement incognito, pour une expérience qui «lui a fait du bien à la tête». «J'avais besoin de faire quelque chose de cartésien. Pendant la période de Varsovie, je me suis dit: Pourquoi ne pas essayer quelque chose de vraiment terre à terre, où là tu n'auras pas à t'exprimer, à être devant des gens? Tu auras simplement un numéro, tu auras quelque chose à faire, tu le feras, personne ne te jugera, comme c'est sans cesse le cas dans le patinage...»
Dans l'interview avec Darius Rochebin, Stéphane Lambiel n'exclut pas de reprendre ce travail de manutentionnaire dans l'avenir, raison pour laquelle il ne veut pas en dire trop sur l'endroit où il a travaillé. «Les gens qui m'entouraient savaient que j'allais venir. Ils avaient l'ordre de leur boss de me laisser travailler comme un employé normal de la boîte. J'ai beaucoup aimé ce travail. Ça m'a fait du bien de voir d'autres personnes, un autre entourage... C'est la première fois que je travaillais, en fait, que je faisais autre chose que soit des études soit du patinage.» Un travail normal en somme qui a permis au Petit Prince de reprendre pied après une crise dont il dit être sorti, pour l'instant du moins: «C'est simplement la vie qui est comme ça. J'ai été en bas de la vague. Maintenant je suis plutôt en haut. En espérant que cette vague commence à se stabiliser. Si on ne va pas en bas, on n'arrive pas à monter. Il faut un mouvement, une dynamique. C'est ça qui rend la vie intéressante!»
«Une vraie activité professionnelle»
A la fin de son exhibition à Graben, Stéphane nous accueille gentiment dans le vestiaire pendant qu'il se déchausse. L'occasion de lui demander le pourquoi de cette expérience professionnelle de deux jours. «Ça fait longtemps que je voulais essayer une vraie activité professionnelle. J'avais envie par exemple de servir dans un restaurant. Lorsque j'ai décidé de ne pas aller à Varsovie, je me suis dit que c'était l'occasion rêvée. Mon travail c'est le patinage, je ne compte pas mes heures et je n'ai pas de collègues mais un coach. C'était très agréable de travailler en équipe.» De là à se voir un dans un bureau avec des horaires fixes, Stéphane hésite encore: «Je ne pourrais en tout cas pas travailler coupé des gens, j'ai besoin d'être entouré. Mais un travail plus structuré un jour, ça me plairait peut-être.»
En tout cas hier Stéphane a offert au public de Graben ce qu'il sait faire de mieux: donner du plaisir. Tina avait bien raison. Simply The Best!
ça a du être l'émeute avec toutes ces jeunes filles criant "Lambiiiiiiiiiiieeeeeeeellllllll"Monsieur Belette a écrit :Au passage, je l'ai croisé au resto de l'Uni l'autre jour: se relancerait-il dans une carrière académique après sa courte tentative en 2004 ?
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
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